Panorama de la critique
Publié le 08/12/2022
Extrait du document
«
Panorama de la critique
La critique est un dialogue, un discours, les critiques se répondent les uns et les
autres.
Réflexion sur l’acte de critique, l’acte de réflexion.
Comment parvenir à
une forme de vérité sur les phénomène humains qui ne soit pas en rapport avec
la subjectivité.
Premier exercice : Critique d’un objet artistique : un livre, une bande- dessinée,
un film, une série, peinture, sculpture, jeux vidéo.
S’ouvrir à des objets non
canonique.
En faire une critique personnelle, trouver une forme à cette critique.
Deuxième exo : Compte rendu d’ouvrage ou de chapitre.
Analyse qui se veut
plus ou moins linéaire.
Site : fabula.
Résumé qui va montrer derrière ce qui est
dit comment ça fonctionne.
A la fin partie sur les limites de l’ouvrage.
L’extrait
doit faire entre 10 pages et 50 pages.
Ce qui va différencier le critique du spécialiste c’est que celui-ci est doté d’un
savoir que l’on ne doit pas contester, savoir qui n’est pas dialogique.
Le discours
du critique est un discours d’autorité qui ouvre un dialogue puisque les effets
d’une œuvre d’art sont différents selon les spectateurs.
Le critique
gastronomique c’est celui qui sait analyser au sens chimique du terme, dissocier
les différents éléments.
Arrive à dissocier une réalité confuse et arrive à nous la
faire comprendre.
Engage à une nouvelle réalité des choses.
La science se bases sur des phénomène.
Plaquer nos conception contemporaine sur un texte qui ne correspond pas à
notre époque.
Les émotions peuvent être des biais interprétatif.
Etude
scientifique, remettre en question nos préjugés et nos émotions.
Les sciences et
l’histoire littéraire ont en commun une attitude scientifique : la soumission aux
faits qui s’oppose donc aux émotions et aux préjugés.
Renvoie à la doctrine
philosophique : le positivisme.
Pour analyser un fait social, littéraire on ne
s’intéresse pas à ce qui est connoté mais à ce qu’on peut établir de manière
factuelle.
Il y aurait donc une forme de positivisme dans la littérature.
Lanson : on ne peux pas appliquer cette méthodes à la science.
Répétions de
faits identiques.
La méthode littéraire repose sur la singularité.
Il faut mettre en
avant l’observation.
1er mvt : (page 23) impossibilité d’appliquer la même méthode
2ème mvt : Montrer cependant qu’ils peuvent partager une attitude, un esprit.
(Page 27).
Il sépare science et littérature, il fait une définition de la littérature, faits uniques,
singulier (page 27 à 28).
A partir de la on peut trouver la méthode pour analyser la littérature.
Méthode de
l’histoire (phénomènes uniques) l’histoire est que des faits singuliers comme la
littérature.
Emotion encore présente liée à la mise en forme, au style.
La forme est
intemporelle.
Lanson fonctionne par distinction, il oppose.
La science s’occupe du
général et la littérature du particulier mais c’est aussi le cas de l’histoire, ce qui
les distingues c’est la forme.
La beauté d’un tableaux relève de l’impression, de la sensation, des sens.
Met en
avant notre impression, notre sensation.
Sorte de garde-fou pour que l’interprétation n’aille pas dans tous les sens.
But
interprétatif et critique, il s’agit de critiquer nous-même notre savoir.
= savoir= contrôle (philologie+ rhétorique).
Méthode propre à la littérature est
une méthode de contrôle, de savoir propre.
Un contre rendu critique devra identifier les mouvement du texte.
Le texte peut
se structurer en deux passages.
Méthode scientifique et littéraire.
Ensuite question de la liberté d’interprétation.
Fléau de la littérature.
Censure.
Premier ennemis de l’interprétation sont les ennemis extérieurs, l’état le clergés.
Mais nos ennemis les plus a craindre sont nos passion.
Il aspire à une science
universelle qui pourrait réunir tous les pays européens.
Epoque : entre deux
guerres.
Vise à la réunion de tous les pays euro.
Pour empêcher une nouvelle
guerre d’advenir.
On ne peux pas tirer un savoir d’une sensation.
L’intérêt de la littérature serait de Savoir le texte, quelque chose du texte.
Estce que la littérature vise à transmettre des savoir ? Elle peut être didactique.
La littérature peut transmettre un savoir mais certaines œuvres n’ont pour but
que d’émouvoir, de toucher.
Exemple : le dernier jour d’un condamné.
Le
recours aux émotions est fondamentale à la littérature.
Il est difficile de
distinguer savoir et sentir.
L’émotion n’est pas complétement subjective, il y a un
partage des émotions.
Le sens d’un texte se trouve dans son contexte.
Selon lui,
nécessaire de recourir à l’érudition.
Restituer un écrivain dans son temps.
L’histoire littéraire à se but de remettre l’auteur dans son temps, de s’adresser
aux public.
Elle a donc une prétention à l’objectivité.
On ne peux pas juger selon
nos gout.
Le sens de l’œuvre c’est ce que l’auteur à voulu y mettre, comment à
été perçue cette œuvre.
Il faut retrouver les intentions de l’auteur.
Il préconise
donc l’utilisation des documents et de faits historiques pour éclairer la
personnalité de l’auteur.
L’histoire littéraire assimile le texte à son contexte.
Pour
comprendre un texte il faut nécessairement revenir à son contexte.
Il y a des
signification de l’œuvre qui ne sont pas toujours comprises par le public de
l’époque.
Ce qui permet de l’interroger différemment.
De plus, il considère
qu’une partir de l’œuvre n’est pas produite par le contexte immédiat, il l’appelle
le génie.
L’histoire littéraire consiste à savoir, à établir tout ce que l’on peux
savoir et à la fin de ses recherches dire ce qui relève du génie.
Il sait très bien
qu’on ne peux pas enlever cette part de génie, il y a toujours une partie
inexplicable.
Proust, « La méthode de Sainte-Beuve » (1954)
(Voir les notes sur le texte).
Seulement compte l’œuvre.
Details vie auteur.
Comparaison de la littérature et
de l’art.
2 nous : auteur ou nous lecteur.
Immersion moi en tant qu’auteur.
Auteur
Méthode sainte Beuve : l’homme + œuvre = un / Proust = pas de dissociation.
Nous renvoie à l’auteur, lecteur : approprier moi de l’auteur.
Méthode sainte Beuve critiqué, réception
Thèse « qu’un livre…pourrons y parvenir » p.3.
Écrit livre = pas même
personnalité que le « moi social ».
Meilleure version de nous-même.
Version
sociale= comédie, masque : pensées, ressentis, sentiments, opinion.
Sainte Beuve : ses écritures sont avant tout des écritures de convenance.
Critique beaucoup sainte Beuve : texte polémique.
Il retourne la méthode de
sainte Beuve contre lui.
Il fait un pastiche.
Sa thèse : il faut séparer le moi sociale du moi créateur.
Cette séparation est
réelle.
Dans la poésie on ne triche pas selon Proust on montre notre vrai moi.
Ce
n’est pas Proust qui parle pour lui-même.
Sainte Beuve : être lâche et indigne
d’estime.
Expliquer page 2 intro quel et le rapport de Proust à la critique.
Reprendre le deuxième paragraphe de la page 3 « cette méthode profonde de
nous-même »
Et enfin page 4 « en aucun temps » la fin en haut de la page 5 « richesse ».
Présupposé.
Thèse : moi créateur différent du moi social.
Méthode : pastiche et réfutation/
démonstration par l’absurde.
Proust fait une critique car il n’est pas capable
d’écrire.
Il écrit une critique pour dévaloriser.
Ce qu’il y a de réel dans la littérature c’est tout ce qui est liée à des images.
(Page 3) : Pour se connaitre il faut se recréer.
Si vous voulez retrouver le moi
étouffé par la vie sociale il faut écrire, créer.
Hypothèse de la création, du coté
de l’auteur.
Phrase qui vise aussi la lecture.
Il faut recréer l’œuvre en nous.
Le
lecteur doit recréer.
Faire un acte de reprise, d’invention en ré éprouvant le
sentiments que l’auteur décrit.
Une bonne critique relève d’une approche
artistique et non intellectuel.
La critique profonde qui comprend ce qu’à été
l’auteur (s’interroger sur des choses qui ne relève pas de l’intelligence) tout ça
peut passer que d’un autre livre.
L’essence des émotions ne se trouve que dans
la littérature.
Comme si on parlait un autre langage, comme un code
informatique, on code la littérature dans un autre langage.
La lecture participe à une entreprise de relecture de soi-même.
Pas seulement un
divertissement, relève de la quête existentielle.
Il essaie de montrer qu’une
espèce d’émotion nous submerge, c’est ce qui fait la magie de la littérature.
Trois dernière pages : Le critique est changeant, médisant (comme SB).
C’est
celui qui n’a pas grand-chose a écrire.
Proust raille la vanité de SB.
Il peint SB en
enfant ahuri qui se délecte de sa propre importance.
A la fin il y a un portrait
plus acerbe.
Formalisme.
Jakobson, Tyaninov, Chuloski.
Cercle linguistique de Moscou.
Fondateur de la linguistique : Saussure.
Il est connu pour avoir posé certaine
distinction fondamentale pour fonder la linguistique.
Première distinction : entre
la langue et la parole, c’est une étude de la langue et non de la parole.
Un
homme ou une femme qui est privé de parole conserve la langue.
La langue c’est
une structure commune qui n’est pas lié à un individus.
La linguistique
s’intéresse à une forme générale, abstraite.
C’est un système de signes, tout est
mit en réseaux, ensemble articulé par des liens.
Signifié (sens de ce que veut
dire un mot), signifiant (le mot en lui-même).
Ce qui va intéresser Saussure
c’est l’absence de lien entre le signifiant et le signifié, l’arbitraire du signe.
« Le
mot chien n’aboie pas ».
S’oppose au Cratylisme renvoie à Cratyle, dialogue de
Platon sur le langage, défends la thèse : au départ les hommes utilisaient des
mots semblable à la langue utilisé.
Platon va remettre en question cette idée
mais c’est surtout Saussure qui va tout remettre en question.
La linguistique
c’est l’étude d’un code.
Ce qui est important c’est le rapport des signifiant et
signifié entre eux.
Le mot chat se défini par ce qui est non-chat.
Une langue ne
fonctionne pas avec son rapport au réel, elle fonctionnement entre signe
systémique.
Le formalisme est une réaction contre le subjectivisme et le
symbolisme.
Il s’agissait de mettre en avant l’individus, les sensation.
L’important n’est pas la subj de l’auteur, le rapport sensoriel à la réalité, ce qui
est important c’est le fonctionnement interne de l’œuvre.
Ça sera donc une sorte
de science automne qui considère les qualités intra sectes essentielle des
matériaux littéraires.
C’est l’analyse du style, de la syntaxe, de la morphologie et
autre.
Il s’agit de couper les ponts avec les approches historique mais aussi
esthétique de la littérature.
Le formalisme est une recherche de formalité, il ne
s’agit pas de voir si c’est beau ou pas beau mais de voir comment ça fonctionne.
Ne s’occupe pas de la littérature mais de la littérarité (ce qui fait qu’une œuvre
est littéraire, les conditions d’un discours pour qu’il devienne littéraire).
Les
formalistes vont chercher dans chaque énoncés ce qui le tire du coté de la
littérature.
La littérarité c’est le principe de la sensation de la forme.
La forme
prime sur le message.
Ce qui définit la littérature ou l’art en général, c’est la
capacité de détruire l’automatisme perceptif.
Le surréalisme : mvt po qui essaie
de mettre une distance entre l’art et le réel.
C’est une manière de détruire le
sens habituel des mots.
Donc il y a poésie et littérature quand la forme prime sur
le contenu.
Distinction opérée par les formalistes : celle qui oppose l’histoire au discours.
Propp qui a écrit la morphologie du comte.
Pour savoir ce qu’est un conte il faut
analyser sa morphologie.
Il va identifier 31 fonctions narratives auxquelles
répondraient tous les contes.
Séquence préparatoire, première séquence et
deuxième séquence.
On doit avoir au moins une fonction par séquences et elles
doivent se suivre.
Derrière toutes les fonction il imagine un récit matriciel, une
variation des contes.
Tout ça a exercé une influence sur la narratologie.
Il refuse
de s’intéresser au style car il est variable.
Est-ce que le style ne définit pas un
genre ? c’est une analyse de l’action mais pas du décor, de l’environnement.
Ya va infléchir le formalisme dans une autre direction.
Qui va donner naissance
au structuralisme.
Il va remplacer la notion de forme par celle de formalité ou de
fonction.
Ce qui l’intéresse n’est plus tant la forme mais la fonction d’un énoncé.
Pour Ya, au départ le langage à une fonction soi de communication.
Quand
l’énoncé est dirigé vers le signifiant, alors il a une fonction poétique.
L’énoncé
poétique est considéré comme une sorte de violence faite à la langue,
déformation de la langue quotidienne.
Donc, ce qui est important dans la langue
poétique ce n’est pas le signifié mais le signifiant, la manière de le dire par les
sons.
La langue poétique ne doit pas être étudier par son message mais en ellemême.
La fonction poétique est une mise en valeur de la forme du message.
C’est pourquoi ya va privilégier l’analyse de la poésie à celle de la prose.
La poésie se désigne par un usage métaphorique de la langue, la prose par un
usage métonymique (figure de la contiguïté).
Ce qui va désigner la poésie c’est la
méta.
Et aussi la phonétique.
Usage des images mais surtout un usage du son.
Un énoncé dit une fois n’est pas forcément poétique, s’il est répété plusieurs fois
il devient poétique.
La répétions permet d’arrache son message à son usage
quotidien.
A la fin de sa carrière Ya va affiner son analyse en distinguant six
fonctions du langage.
La poésie est au centre du langage.
Contexte
(référentielle), destinateur (expressive), message (poétique), destinataire
(conative), contact (phatique), code (méta-linguistique).
Bakhtine Figure importante pour ses travaux sur le roman et l’intertextualité.
S’oppose à l’idéologisme.
Il s’oppose à l’extension exclusive à la forme et au
fond.
Contrairement aux formaliste il va essayer de comprendre le discours
comme un phénomène social.
Discours entre la langue et le phénomène social.
Il
est connu pour ses études sur Dostoïevski et Rabelais.
Il s’agit d’auteur qui ont
été sujet de nombreuses études qui s’attachaient à découvrir l’idéologie des
auteurs.
Dans les romans de Dostoïevski il y a beaucoup de polyphonie.
Auteur
qui fait beaucoup parler ses personnages, qui ont un avis très tranché.
« Les
frères Karamazov ».
La vérité de l’œuvre est dans la forme même du discours,
qui est une forme romanesque et non pas l’idéologie.
La forme du résonnement
et non pas le résonnement en lui-même.
Pour propager une idéologie il faut
écrire un essaie (se voit plus dans la philo).
Dialogisme : plusieurs discours dans
une œuvre.
Plusieurs discours qui sont en dialogue, on ne peux pas réduire tous
les discours des personnages en un discours unique, on ne peux pas les réduire
les uns aux autres.
Le dialogisme vient de la satire ménippée et du dialogue
socratique.
Le dialogisme a pour principe que la vérité n’est pas en possession
d’une seule personne, la vérité se construit dans le dialogue.
« La vérité née entre les hommes qui la cherchent ensemble »
C’est pourquoi Socrate dialoguait, Socrate ne sait rien.
C’est le dialogue qui fait
naitre la vérité.
Satire ménippée : genre antique, mélange de genre entre des
éléments grossier, recherche philo, du fantastique.
Mélange indéfinissable de
genre.
Très compliqué d’y trouver une idéologie.
Le dialogisme, qui est un
principe, se réalise dans deux formes : la polyphonie (Dosto) et le rire
carnavalesque (Rab).
Les perso de bak ne sont pas des prolongements de ceux
de Dosto.
Les perso de Dosto sont des consciences étrangères, le héros à une
indépendance par rapport à l’auteur.
Selon Bak, Dosto est l’inventeur de la
polyphonie.
Capacité à accueillir un point de vue différent du sein, à ne pas la
jugée.
Pas dans un discours idéologique mais refus d’un discours qui
emprisonnerais la vérité.
Dialogue toujours ouvert, inachevé.
Roman est par
excellence la forme pour l’expression de la vérité.
Il n’y a pas de militantisme pour Rabelais.
La vérité pour lui se trouve dans le
rire.
Refus de l’esprit de sérieux, refus de dénoncer une réalité définitive sur les
choses, rire qui rend tout incertain.
Le rire : vision du monde de Rabelais.
C’est
l’affirmation triomphante de la vie qui l’emporte sur toute vérité achevée, c’est
l’explosion du corps.
Théorie générale du roman.
Il cherche à analyser un genre dans sa globalité.
Il
cherche à voir à déceler derrière les grandes mutations individuelles, les grandes
mutations générales du roman.
Pour B le roman comme la poésie est un
phénomène particulier du langage.
Le langage est avant tout une interaction
entre deux personne, pas seulement un code ou un système clos.
Ce qui fait que
B s’intéresse à la parole et non pas seulement à la langue.
Pour lui le langage
n’existe pas en dehors de la parole, c’est le dialogue qui fait vivre le langage.
Il
va s’intéresser autant à l’énonciation qu’à l’énoncé.
Passage étudier= plusieurs
idées : Une œuvre n’est pas close sur elle-même, elle est ouverte sur la sté, c’est
un phénomène social.
La stylistique doit donc prendre en compte le style
particulier du milieu social.
Le style c’est une reconnaissance social particulière.
Le style renvoie à des problèmes concrets.
La stylistique traditionnelle est
incapable de saisir la spécificité du discours romanesque.
Elle est fondée sur une
rhétorique dépassée.
N’existe pas, abstraction.
Dans cet essaie B va essayer de
forger une nouvelle stylistique capable de prendre en compte ce discours
romanesque qui donne la voix à des personnages complétement divers.
Roman : plurilingual, plurivocal, pluristylistique.
Le style du roman c’est un
assemblage de style.
Opposer le style du roman à celui de la poésie.
D’après Bakhtine Discours romanesque composé d’une diversité sociale de
langues.
La langue romanesque est une imitation de la langue nationale, elle
n’est jamais unique c’est un assemblage de dialecte, de jargon, de manière
particulière de parler.
Dialogisme : diversité de langage.
Il s’oppose à l’idée d’une
unité stylistique du style romanesque.
La rhétorique réfléchi par genre unifié.
Chacun de ces genres a un style bien défini.
La rhétorique considère l’énonciation
comme monologique (s’oppose à dialogique) : un locuteur qui parle un seul
langage, qui parle de manière unifié.
Derrière l’unité stylistique se cache l’idée
qu’il n’existerait qu’une bonne....
»
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