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Moi et le monde

Publié le 04/12/2022

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« 📄 [ KhĂŽlle ] : Moi et le monde Brouillon Question de la pluralitĂ© des mondes Question de l’égoĂŻsme ➜ Mon monde Ă  moi / Moi en tant qu’individus et le/les mondes ➜ Descartes “les autres n’existent peu ĂȘtre pas” / le monde comme illusion Question de ma relation au monde ? ➜ Aspect environnementale / Social ? Moi en tant qu’individus j’impact “mon” monde, celui des idĂ©es ou celui de ma sphĂšre social restreinte Question de comment je vois le monde, comment je l’apprĂ©hende / Notion de subjectivitĂ© et de relativitĂ©, le monde est relatif Ă  chacun Moi “Moi” dĂ©signe un individu, mais pas n’importe lequel, il me dĂ©signe en tant que personne et individus, et chez Freud, le moi correspond Ă  la partie dĂ©fensive de notre personnalitĂ©, il est considĂ©rĂ© comme la plus consciente.

Il tente grĂące Ă  un rĂŽle de mĂ©diateur de rĂ©pondre aux intĂ©rĂȘts respectifs du ça, du surmoi et du monde extĂ©rieur afin de trouver [ KhĂŽlle ] : Moi et le monde 1 un certain Ă©quilibre. Le moi dĂ©signe ici mon existence, ma conscience, mes sentiments. Le monde Le monde dans son aspect le plus englobant et universel compose tout, il comporte tout.

Le monde c’est tout.

Cependant, il est possible de restreindre la notion de onde à des sujets moins vagues et plus précis. Comme par exemple, le monde des hommes, le monde des idées ou le monde sensible chez Platon.

Ainsi la notion de monde semble pouvoir tout dĂ©finir, du plus petit microcosme au plus vaste univers. DĂšs lors, si la notion de monde peu s’avĂ©rer Ă  la fois si vaste et si prĂ©cise, il devient Ă©vident que le monde peu ĂȘtre pluriel, de ce faite l’interaction d’un individus peu trĂšs bien se faire sur le monde, comme sur les mondes. Comment dĂ©crire alors le rapport de l’individus aux mondes ? L’homme Ă  titre individuel est affecte il positivement ou nĂ©gativement le monde ? De mĂȘme si l’on peut envisager un rapport entre moi et le monde, n’est il pas aussi possible d’imaginer un rapport entre le monde et moi, le monde Ă  t’il besoin de moi ? Ainsi, le rapport entre moi et le monde soulĂšve plusieurs question, dans quelle mesure moi en tant qu’individus puis-je impacter le monde ? Mais Ă©galement, comment le monde vas il s’imposer Ă  moi ? On comprend dĂšs lors que se demander si le monde a besoin de moi, en parlant de la premiĂšre dĂ©finition, est insensĂ©, car l'univers est trop vaste et Ă©norme pour avoir besoin d'un petit ĂȘtre comme moi.

Cependant, si l'on prend la seconde définition, la question prend une toute autre tournure, car, aprÚs tout, je ne suis pas un Dieu pour pouvoir observer l'univers tout entier, donc, le monde est aussi et avant tout ce que je vois à travers mon existence, ce qui m'entoure, mes perceptions, mes projets, mon travail. comment savoir si le monde me transcende , ou si c'est ma conscience qui le transcende grùce à la signification qu'il lui donne ? la conception du monde en tant qu'il est perçu par ma conscience, nous démontrerons que son existence dépend de moi.

la nécessité de mon existence pour le monde humain, ne dépend que de ce que j'y réalise. le monde comme Volonté et comme représentation, le philosophe allemand Arthur Schopenhauer dit la chose suivante : "Le monde est ma [ KhÎlle ] : Moi et le monde 2 représentation".

il n'y a pas de monde sans perception mentale.

Le terme "reprĂ©sentation", doit ĂȘtre compris ici au sens d'acte par lequel l'esprit rend prĂ©sent les objets.

Or, si le monde dĂ©signe tout ce qui m'entoure, c'est Ă  dire ma reprĂ©sentation sous la forme d'espace et temps, alors il est une totale formation de mon esprit. Introduction “Le monde est ma reprĂ©sentation”.

Cette citation d’Arthur Schopenhauer dans le monde comme VolontĂ© et comme reprĂ©sentation exprime la chose suivante, le terme "reprĂ©sentation", doit ĂȘtre compris au sens d'acte par lequel l'esprit rend prĂ©sent les objets.

Or, si le monde désigne tout ce qui m'entoure, alors il est une totale formation de mon esprit. Ainsi, le monde peut désigner la totalité de ce qui existe, englobant les réalités matérielles mais aussi spirituel.

Toutefois, si le monde est tout, il n’en est pas moins possible de le distinguer en diffĂ©rent aspect plus prĂ©cis, ne parle t’on pas de monde des hommes, ou encore de monde des idĂ©e et de monde sensible chez Platon ? Le monde est ainsi une notion Ă  la fois trĂšs vaste qui comporte tout, un univers englobant, mais aussi une multitudes de rĂ©alitĂ© pouvant aller du plus petit microcosme Ă  la plus vaste galaxie.

Le “moi”, dĂ©signe ici mon existence, ma conscience et mes sentiments.

DĂšs lors il semble Ă©vident qu’en tant qu’individus je ne puis seul impacter le monde dans sa globalitĂ©, le monde est dans son immensitĂ© parfaitement inatteignable et trop vaste pour avoir besoin d’un petit ĂȘtre comme moi, je ne suis pas un Dieu pour pouvoir observer l'univers tout entier, donc, le monde est aussi et avant tout ce que je vois Ă  travers mon existence, ce qui m'entoure, mes perceptions, mes prwojets, mon travail.

Ainsi il serait pertinent de s’interroger sur le rapport qu’entretient le sujet avec le ou les mondes, comment moi en tant qu’individus vais-je envisager le monde ? mais Ă©galement, dans quel mesure le monde vas il pouvoir s’imposer Ă  moi ? I - Les diffĂ©rents visage du monde A - Le monde comme une rĂ©alitĂ© illusoire Le monde n’est qu’une illusion.

Qui na jamais eut cette pensée ? Il est vrai que rien ne semble pouvoir déterminé si le monde dans lequel nous déambulons est véritablement réel ou le pur fruit de notre imagination.

Si la rĂ©alitĂ© dans laquelle nous vivons n’est rien d’autre que le produit de notre imagination alors le monde lui mĂȘme n’est qu’une crĂ©ation de mon esprit.

L’homme ne peut dĂšs lors pas distinguer le vrai [ KhĂŽlle ] : Moi et le monde 3 du faux, comment savoir si ce qui m’arrive est vrai puisque je suis incapable de distinguer si je suis Ă©veiller ou si je suis endormie ? L’indistinction du rĂȘve et de la rĂ©alitĂ© ces lĂ  une des affirmation s de Descartes afin de donner encore plus d’ampleur Ă  son doute, et selon cet argument il est impossible d’ĂȘtre parfaitement certain qu’en se moment je ne soit pas entrain de rĂȘver, il n’y a aucun moyen d’en ĂȘtre sĂ»r.

Descartes prĂ©tend avoir dĂ©jĂ  rĂȘver d’ĂȘtre entrain de rĂȘver.

Il n’existe aucun moyen de distinguer le vĂ©cus du rĂȘve de celui de la rĂ©alitĂ©.

Ainsi je peux trÚs bien sans contradiction considérer que.... »

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