miklos Haraszti travail en perruque
Publié le 29/04/2022
Extrait du document
«
HLP
DM Miklos Haraszti
Question d'interprétation : En quoi le travail en perruque des ouvriers peut-il
être considéré comme une révolte?
Miklos Haraszti est un écrivain, journaliste, homme politique et
défenseur des droits de l'homme.
Le texte est un extrait de son livre salaire aux
pièces publié en 1975 dans sa langue natale puis traduit en français par J.
Svaradja et
J.
Aizac en 1976.
Le texte choisit est extrait des pages 139 à 141.
Celui-ci a pour
thème principal le travail en perruque des ouvriers.
Le travail en perruque est le fait
de travailler pour soi pendant son temps de travail et souvent avec des matériaux
détournés de l'usine.
Ce thème se rapproche de l'axe du programme l'humanité en
question et du sous thème humain et ses limites.La problématique principal de ce
texte serait donc :
En quoi le travail en perruque des ouvriers peut-il être considéré
comme une révolte ?
Pour répondre à cette problématique nous verrons tout d'abord que l'ouvrier ne doit
pas oublier son travail en dehors du travail en perruque.
Puis enfin nous verrons que
son imagination est la clé de son humanité au travail.
Premièrement, l'ouvrier qui pratique le travail en perruque ne doit
pas oublier de faire le travail pour lequel il est payé il doit donc faire preuve de
discrétion dans son travail masqué.
«Les différentes sortes de perruques n'obéissant
qu'a une seule et unique règle : la taille de l'objet fabriqué ne doit pas être trop grande
pour empêcher que l'on puisse le sortir en fraude.
» le début du texte exprime bien
l'idée que l'ouvrier doit être discret pour ne pas risquer de ce faire renvoyer si il se fait
prendre.Ils doivent donc créé des objets de leurs imaginations le plus discrètement
possible mais certains ne respecte pas toute a fait cette règle.
« le jour où ils quittent
l'usine,ils essayent de les sortir sans être pris et, si cela apparaît sans espoir, ils offrent
à quelqu'un d'autre.
» cette pharse montre bien ici que même lorsqu'il son licencié ou
qu'il parte de leurs plein gré il ne faut pas que leurs patron sois au courant de leurs
activité secondaire qu'il pratique pendant leurs heure de travail.
Ils essayent donc par
tout les moyens de cacher cette activité qui les détendes de leurs routine et de leurs
problème au boulot.
On peut d'ailleurs relié ce texte a l'idée de marks sur l'aliénation
du travail dans ses manuscrit de 1844 ou selon lui le travail à l'usine n'est qu'un
ravage pour l'ouvrier qui est esclave de la machine et n'est donc plus un homme.
Pour
lui 3 critères sont essentielle pour que le travail sois humain : la subjectivité,la
rationalité et la volonté.Ces 3 critère sont d'ailleurs le modèle parfait de l’artisan qui
lui fait ce qui lui plaît avec son imagination.
« Ce travail en perruque exécuté en
cachette et au prix de grands sacrifices
est la seule possibilité »Ici le but de
l'ouvrier est donc d'échapper à cette aliénation tout en étant le plus discret possible
pour ne pas se faire prendre.
Par seul possibilité ici l'auteur veut nous laisser entendre
que l'ouvrier n'a trouver que ce moyen pour pouvoir s’échapper et se retrouver lui-.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Le mot travail vient de tripalium, qui est un instrument de torture.
- Droit et marché du travail
- plan sur le travail: Le travail est il une obligation, une contrainte ou un nécessité ?
- Le travail
- Le travail et l'emploi (cours)