Mercredi, 12 juin 2 NON A LA MESURE ACTUELLE !
Publié le 03/04/2020
Extrait du document
«
peuvent y parvenir et y avoir accès que les courtisans.
Cependant, la pire des humiliations qu’on puisse
faire subir à une nation soit disant indépendante, démo cratique et souveraine, c’est de lui impos er des
lois (mesure) iniques.
Ou est alors le régime démocratique ou le savoir que l’on prône à l’Université
Omar Bongo ? Et dans ce tte ordre d’idée, le pire ennemi de l’esclave , c’est « l’affranchi », l’exécuteur
impitoyable de ce que son maître ne peut et surtout ne veut accomplir de ses propres mains.
A l’adresse donc de notre gouvernement, de nos juristes, hommes de droit et aux politologues et
même aux « présidents » de la mutuelle de l’Université Omar Bongo, j’ai simplement envie de
dire : « Ne vous reniez pas : Redressez -vous ! S’il y a lieu de mourir de faim, il vaut mieux la subir dans
l’honneur, avec l’honneur, aux côtés des étudiants et élèves, l’avenir de demain, cette jeunesse sacrée
comme le dis ait le défunt Omar BONGO ONDIMBA .
Ne tombez pas dans l’infamie de la déchéance
morale et politique sous prétexte d’œuvrer pour l’ amélioration des conditions d’apprentissages de s
étudiants , de déboucher de la crise actuelle, alors que tout le monde sait que vous agissez non pour le
bien des étu diants, l’avenir de demain mais pour vos ventres, votre égoïsme, cupidités et vos proches
dans une dictature coréenne.
En ce sens, ce n’es t que l’expression de la diplomatie du ventre ou le
déni de la justice.
En effet, j’appelle la diplomatie du ventre, cette politique « frança fricaine » de la
prédation et de domination esclavagiste sur fond de génocides, de crimes contre la jeunesse
gabona ise.
Ne sous -estimez pas ce peuple (étudiants) qui a ses yeux rivés sur vous.
Ne pensez pas qu’il ne sait
rien ou ne voit rien car, ce serait vous tromper sur lui.
Ainsi, il est encore temps de vous ressaisir.
En
ce sens, les étudiants longtemps brim és, longtemps maltraité s, longtemps torturé s, long temps
martyrisés et qui n’attendent plus rien de personne, finissent toujours par se révolter.
Ce jour -là, plus
rien ni personne ne pourrai t le contrôler, il s’en prend d’abord à l’objet réel de ses malheur s avant de
se retourner, si nécessaire, contre ses propres leaders.
Ne l’oubliez surtout Jamais.
UNE AUTRE FORME D’EXTERMINATION DES ETUDIANTS : AVENIR DE DEMAIN
Dans le cas du Gabo n, ce n’est pas un secret pour personne aujourd’hui, la situation
politique, économique et sociale qui ravage ce pays sans que personne ne bouge, ne dit mot
au niveau de la communauté internationale ( ONU -UE -UA), renferme un autre aspect plus
précieux, plus destructeur et ravageur.
Cet aspect, indolore et incolore, est celui qui prive les
étudiants voués à l’extermination d’a ccéder au savoir, à l’éducation, à la culture et à leur
bourse convenablement.
La violation des loi s, de toutes les lois qu’un q uelconque État souverain puisse s’ octroyer ,
la première est la constitution.
Dès lors que celle -ci est violée, souillée, foulée aux pieds par
ceux -là même qui l’ont promulguée ou imposée à la Nation entière, la notion de l’ État n’a plus
de raison d’être.
I l cesse d’exister.
Dans ce cas, le gouvernement et le président, et par
extension « les présidents » de la mutuelle, même démocratiquement élu, deviennent des
fant ômes, et l’anarchie s’installe .
Dans la plupart des cas, l’arbitraire se substitue à l’État et les
truands ou les aventuriers à l’instar de MAKAYA « président de la mutuelle « » s’accaparent le
pouvoir, incarnant l’État et agit en son nom !
Créant un poste auprès du gouvernement afin d’être au service de l’État qui selon
Nietzsche « l’État est le plus froid de tous les montres froids », prévu nulle part dans sa.
»
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