Malebranche: « tout esprit limité est par sa nature sujet à l'erreur, de plus l'Homme à un esprit limité, donc l'Homme est sujet à l'erreur »

« efforts et donc d’augmenter son esprit (Philosophe par exemple) mais que malgré le mal qu’il se donne il est souvent pousser à croire des choses qu’il ne voit pas.

Il est ainsi dans le piège de l’erreur. L’auteur va quand même alléger sont jugement en précisant que l’homme fait ces erreurs « principalement lorsqu’il ne fait pas attention à la faiblesse et à la limitation de son esprit » il est donc possible d’éviter l’erreur quand on fait attention et qu’on admet ne pas tout savoir.

Finalement Malebranche nous dit quand même que l’homme ne tient pas souvent compte de ces faiblesses. On peut donc conclure cette partie en disant que l’Homme à une grosse faiblesse, c’est ca faiblesse d’esprit, celle-ci le poussant à l’erreur.

Mais nous savons maintenant que l’Homme à la capacité d’admettre ces erreurs et donc, en faisant attention il peut en éviter un certain nombre. Mais comment cela est ce possible ? Dans un second temps, nous allons nous concentrer sur la possibilité d’éviter toutes erreurs. Comme dans le premier paragraphe, Malebranche nous annonce tout de suite la couleur.

Il nous dit que l’Homme ne se tromperait jamais s’il faisait « bon usage de sa liberté ».

Autrement dit, l’Homme est capable de ne point commettre d’erreur si il utilisé les outils d’information offerte par la société (en admettant que l’ont parle de la liberté d’expression).

Par exemple, après avoir étudié ce texte, il m’est impossible de dire que l’Homme ne fait jamais d’erreur. Ensuite, Malebranche nous explique que l’erreur mérite d’être puni et « blâmé avec justice » car la société lui offre des moyen pour éviter l’erreur, des Hommes se sont même battues pour cette liberté.

Surtout que selon l’auteur l’Homme est en capacité de ne pas se tromper.

C’est se qu’il va nous expliquer maintenant.

En effet il nous dit dans sa thèse principale que : Pour ne pas se tromper il suffit de juger que se que l’ont voit et de ne jamais faire de jugements entiers que des choses qu’on est sur d’avoir examiné sous tous les angles.

Dans ces cas, comme Saint Thomas il ne faudrait croire que se que l’ont vois pour ne pas se tromper.

Or lui-même à fait une erreur en ne croyant pas à la résurrection du Christ, il est donc devenu l’image du doute religieux par la suite.

Mais le doute n’est-il pas une forme d’erreur ? Alors, pouvons nous en rester au principe du « je ne crois que se que je vois » ? Dans l’autre partie de sa thèse, Malebranche nous dis aussi qu’il ne faut jamais juger que se que l’ont à examiner avec précaution.

C’est le cas par exemple de l’école philosophique des sceptiques, en effet ces personnes refusent de porter n’importe quel jugement, ainsi il est impossible pour eux d’affirmer qu’il fait beau dehors par exemple.

Les sceptiques sont donc sur de ne jamais se tromper.

Mais, est ce que tous les Hommes peuvent tenir sans jamais apporter de jugements sur quoi que se soit ? Si tous les Humains étaient sceptique, le dialogue pourrait il persister ? Ne deviendrait on pas des sortes de robots ? Ainsi nous avons vu, grâce à Malebranche que l’Homme est tout à fait capable de ne point se tromper.

C’est aussi la raison pour laquelle l’erreur peut être sévèrement punit.

Il reste maintenant à voir si l’Homme à la volonté d’être toujours en réflexion sur les choses, même les plus communes.. »