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Ma bohème Fantaisie - Arthur Rimbaud

Publié le 14/04/2013

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rimbaud
Introduction :   -       Réinterprétation personnelle de la Bohème. Ce n’est plus le groupe artistique Parisien. Mais le poète lui même vagabondant dans la nature sous la protection de sa muse Orphée. -       Terme de « Fantaisie «  -> Musique sur air libre, « Liberté libre «, sans contrainte. -       Récit évoquant les fugues du poète, fugue qui sera féconde.     Problématique : En quoi l’œuvre est à la fois le portrait heureux et libre ainsi que la définition d’une nouvelle poésie ?     I – Une figure de l’enfant poète.   1)                              – Un poète en mouvement.   -       « Course « dont on ne vois pas la fin : « Je m’en allais… «. On ne sait pas réellement où il est mis à part dans la nature.  « Sous le ciel « espace dégagé, et conforte une idée d’infini. « des routes « on ne sais pas lesquelles. -       A part l’indication « Ces bon soirs de septembre «, qui  nous donne une impression de septembre permanant et humide, pas de temps précis. -       Une fugue accentuée d’arrêt et de contemplation. «…je les écoutais, assis au bord dues routes, «. -       Cadre spatio-temporel mystérieux, poétique, imprécis même et dans lequel seul le poète mets des limites.   2)                              – Une figure proche de celle du conte.   -   ...
rimbaud

« -       Cadre spatio-temporel mystérieux, poétique, imprécis même et dans lequel seul le poète mets des limites.   2)                              - Une figure proche de celle du conte.   -       Poète se présente de façon idéaliser, se représente comme un enfant. -       Symbole de l'enfant : ouvert à l'avenir, absence de bornes de temps et d'espaces, innocence, pas de réelle contraintes. -       « ...

les poings dans mes poches crevées », figure de l'enfant révolté. -       Référence au vocabulaire de l'enfant, « paletot », « culotte ». -       Rimbaud se représente aussi comme un enfant de conte, celui de la célèbre tradition orale, retranscrit et transformé par Perrault, le Petit-Poucet.

Dernier de la famille, pas comme les autres.

Il fugue, il égraine et fait de la poésie au milieu d'ombres fantastiques.

Le poète n'égraine pas des cailloux, mais des rimes. -       Jeu poétique d'enfant avec élastiques à la fin.           3)       - Le dénuement de l'enfant poète.   -       Sans bagages, dénuement du poète.

Il se débarrasse de tout, et se contente du minimum : vêtement en lambeau mais qui semble être idéals «Mon paletot aussi devenait idéal », culotte troué. -       Même la poésie ne lui appartient pas, l'article des dans le début du vers 7, s'oppose aux pronoms personnels des vers 7 et 8, « Mes étoiles », « Mon auberge », et appuis l'idée qu'il ne possède finalement que la nature, appropriation d'éléments immatériels. -       Idée aussi que bagages entravent la poésie et empêchent l'homme aux semelles de vents d'être libre.. »

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