L'obéissance à la loi suppose-t-elle de renoncer à toute critique ?
Publié le 20/12/2011
Extrait du document
Obéir à la loi, est-ce s'interdire à toute critique ? Si la loi positive nous protège de la barbarie de l'état de nature, à quoi bon s'autoriser à la contester ?
L'absence de lois n'est-elle pas la pire des choses qui pourrait arriver à l'homme ?
Liens utiles
- Dans son ouvrage consacré aux figures du « moi » dans l'oeuvre de Jaccottet, le critique littéraire Jean-Luc Seylaz écrit : « Il y a (aussi) en lui un homme qui s'applique à dire simplement le plus simple, averti des dangers de la complaisance, soucieux par conséquent de s'effacer (renoncer aux images, c'est éliminer un moi « poétique » toujours menacé de s'enchanter de sa propre parole) et convaincu que le dénuement est à la fois son destin et sa chance (Jaccottet affirme) : « A parti
- Si le devoir suppose l’existence de la loi, les passions sont-elles nécessairement en contradiction avec celle-là ?
- « L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté » Rousseau
- L'obéissance à la loi doit-elle être absolue ?
- Le devoir est-il dans l'obéissance à la loi universelle ?