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L’Intervention de l’Etat dans la vision néoclassique

Publié le 06/11/2019

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régulations réduisent la fluidité du travail, les entrepreneurs sont obligés en retour de licencier leur main d’œuvre en excédent car leurs profit diminuent ou disparaissent. Sans ces réglementations on atteint un salaire d’équilibre, comme le montre le 

Le salaire est déterminé par la rencontre de l’Offre et de la Demande de travail. Lorsque les salaires

augmentent l’offre de travail s’accroît, lorsque les salaires diminuent l’offre d’emploi augmentent c’est à dire que la demande de travail par les entrepreneurs augmentent. On arrive par les mécanismes auto équilibrants, à un équilibre entre niveau d’emploi et salaire d’équilibre, sans que l’Etat ne soit intervenu.

Le salaire est déterminé par la rencontre de l’Offre et de la Demande de travail. Lorsque les salaires augmentent l’offre de travail s’accroît, lorsque les salaires diminuent l’offre d’emploi augmentent c’est à dire que la demande de travail par les entrepreneurs augmentent. On arrive par les mécanismes auto équilibrants, à un équilibre entre niveau d’emploi et salaire d’équilibre, sans que l’Etat ne soit intervenu.

 

 

III/ Les limites de la théorie néo-classique et de la non-intervention de l’Etat :

III/ Les limites de la théorie néo-classique et de la non-intervention de l’Etat :

 

 

 

 

Ainsi selon la théorie néoclassique l’intervention de l’Etat est inefficace mais plus encore elle perturbe les lois du marché et les calculs économiques des agents. Cependant cette analyse repose sur des hypothèses comme la rationalité des individus, la concurrence pure et parfaite, qui sont des idéaux guères illustrés dans la réalité. De plus de nombreux phénomènes économiques ne fonctionnent pas forcément avec les mécanismes du marché (phénomènes non marchands, effets externes, biens collectifs) qui nécessitent une intervention de l’Etat. Par exemple en 2010 l’Etat a investi 20 828 millions d’euros

« Cette analyse est donc nécessaire pour expliquer ce refus de l’intervention de l’Etat, car en effet selon cette vision de marché concurrentiel une intervention de ce dernier est inutile car on aboutit à un équilibre (partiel ou général) qui maximise l’utilité de l’Offre et de la Demande, mais qui ne peut être atteint seulement grâce au « libre jeu du B/ L’équilibre sur le marché du travail, assuré sans intervention de l’Etat Selon la thèse néoclassique à un moment l’offre et la demande sur le marché du travail vont se rencontrer et aboutir à un équilibre, on parle de mécanismes auto -équilibrants (présents également dans la thèse des libéraux). Ainsi le chômage est considéré par les néoclassiques comme étant volontaire, c’est à dire que l’individu refuse de travailler pour un salaire (même si celui-ci est d’équilibre) qui ne peut compenser l’utilité dont il dispose s’il ne travaille pas.

Le seul moment où le chômage est involontaire est quand cet individu veut travailler mais que son offre n’aboutit pas.

Si le chômage existe, il est dû également aux rigidités imposées par l’Etat comme le smic, qui ne motive pas les entrepreneurs à embaucher.

Ces régulations réduisent la fluidité du travail, les entrepreneurs sont obligés en retour de licencier leur main d’œuvre en excédent car leurs profit diminuent ou disparaissent.

Sans ces réglementations on atteint un salaire d’équilibre, comme le montre le Le salaire est déterminé par la rencontre de l’Offre et de la Demande de travail.

Lorsque les salaires augmentent l’offre de travail s’accroît, lorsque les salaires diminuent l’offre d’emploi augmentent c’est à dire que la demande de travail par les entrepreneurs augmentent.

On arrive par les mécanismes auto équilibrants, à un équilibre entre niveau d’emploi et salaire d’équilibre, sans que l’Etat ne soit intervenu. Le salaire est déterminé par la rencontre de l’Offre et de la Demande de travail.

Lorsque les salaires augmentent l’offre de travail s’accroît, lorsque les salaires diminuent l’offre d’emploi augmentent c’est à dire que la demande de travail par les entrepreneurs augmentent.

On arrive par les mécanismes auto équilibrants, à un équilibre entre niveau d’emploi et salaire d’équilibre, sans que l’Etat ne soit intervenu. III/ Les limites de la théorie néo -classique et de la non -intervention de l’Etat : III/ Les limites de la théorie néo -classique et de la non -intervention de l’Etat : Ainsi selon la théorie néoclassique l’intervention de l’Etat est inefficace mais plus encore elle perturbe les lois du marché et les calculs économiques des agents.

Cependant cette analyse repose sur des hypothèses comme la rationalité des individus, la concurrence pure et parfaite, qui sont des idéaux guères illustrés dans la réalité.

De plus de nombreux phénomènes économiques ne fonctionnent pas forcément avec les mécanismes du marché (phénomènes non marchands, effets externes, biens collectifs) qui nécessitent une intervention de l’Etat.

Par exemple en 2010 l’Etat a investi 20 828 millions d’euros. »

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