L'individu n'est il que le produit de sa culture ?
Publié le 09/01/2013
Extrait du document
«
l’individu surajoutent des manières d’agir a sa propre nature.
En effet, l’homme accompagne ses actes tels qu’ils soient par une culture :
Les « choses » que la nature a donn
ée a l’homme, ce qu’il a d’inn é comme, se
nourrir, ou autre, sont accompagn
ées par des rites culturels. Par exemple manger a
des horaires en particulier, manger du porc ou non... L a culture, d'apr
ès Durkheim
serait donc naturelle chez l'homme. L'individu r
ésulte alors de sa culture social.
Le mythe de Prom
éth ée nous montre bien cela:
L'Homme est la derni
ère esp èce à recevoir un don, or il ne reste rien a Prom éth ée
pour assurer sa survie alors que les autres esp
èces poss ède toutes un don qui
leur est propre. Prom
éth ée volera alors le feu sacr é de l'olympe pour l'offrir aux
hommes.
Le feu sacr
é repr ésentant la connaissance apport ée aux hommes apr ès leur
naissance nous pouvons dire que L'Homme nous est montr
é comme inachev é
dans ce mythe. Il va donc partir en qu
ête de perfectionnement (ici, l'apport du feu).
Il para
ît logique qu'il r ésulte aussi de sa culture individuelle car l'homme est dans
une perp
étuelle recherche du perfectionnement
Pour Andr
é Malraux, « Un homme est la somme de ses actes, de ce qu'il fait, de ce
qu'il peut faire. Rien d'autre.» La Condition Humaine
L'homme se d
éfini ici selon les actes qu'il a r éalis é dans sa vie.
Ses exp ériences font sa personnalit é. Il en va de m ême pour ce qui est de l'acquisition de ses comp étences et de sa culture. L'acquisition d'une organisation sociale ainsi que les acquisitions intellectuelles ou spirituelles (connaissance, science, la religion …) vont permettre à chaque individu de se distinguer. L'individu est alors le produit de sa culture. L’homme en tant qu’homme, avant l’ éducation, n’est qu’une simple éventualit é, c’est àdire moins m ême qu’une esp érance. » nous explique Jean Marc Itard. Un individu qui ne re çoit aucune éducation soit aucune culture restera dans un état primitif il sera consid éré comme animal. Jean Marc Itard l'a bien compris, dans ses « M émoire et rapport sur Victor de l'Aveyron » i l explique qu'il tente d' éduquer un enfant sauvage (d épourvu de toute . »
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