l'inconscience selon Freud
Publié le 09/02/2015
Extrait du document


«
La deuxième partie du texte enchaine directement sur ce que l’auteur a dit auparavant.
Ainsi
Freud explique aux lecteurs pourquoi l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire.
En effet
celui-ci traite les données déjà en notre possession sur la conscience comme « lacunaire ».
Qu’entend-il par la ? Insulte ou remarque a ceux qui ont autrefois étudié le sujet de la
conscience, Freud les caractérises comme trop fragile pour les utiliser comme une unique
base d’étude sur le psychisme chez les hommes sain et Malade.
Le fait qu’il existe deux
catégories montre aussi aux lecteurs que personne n’y échappe et donc qu’ils sont tous
concernée renforçant ainsi leur désir de comprendre ce que dit l’auteur.
Freud ne s’arrête pas
là pour autant.
Il continu à vouloir mettre à thèse en valeur en limitant celles des autres.
Car
oui l’auteur prône qu’il existe des actes psychiques qui lorsque l’on les explique
« présupposent » c’est-à-dire qui peuvent amorcer « d’autres actes » qui eux ne disposent pas
d’un lien direct avec la conscience du sujet.
Cependant Freud ne donne pas d’exemple, mais
il empêche tout de même les lecteurs de ne pas faire d’amalgame avec leurs raison et la
sienne.
J’entends la que l’auteur fais une liste de ce que ces actes non liée a la conscience
pourraient être pour les deux catégories qui sont rappelons-le « les sain et les malade ».les
exemple sont donc : les actes manqués ou rêves pour les hommes sain d’esprit, c’est-à-dire
les actions ou les choix que l’on n’a pas pris et que on ne sait pas pourquoi, et les rêve que
l’on explique pas faute de lien entre les éléments de nos rêve qui pourtant notre esprit
coordonne pour qu’il y ait du sens.
Puis il y a les symptômes psychiques et les Phénomènes
compulsionnels pour les malades qui désigne les comportements étranges telle que le
dédoublement de personnalité, la schizophrénie ou peut-être tout simplement la folie et les
tics et les tocs ainsi que d’autre syndromes que le corps ne contrôle pas mais qui pourtant
doivent tout de même provenir d’un commandement intérieur que le corps et la conscience dû
a la maladie n’a pas su contrôler.
Tout cela bien sur Freud le résume en mettant c’est
caractéristiques dans le même panier : dont l’origine est inconnue.
Freud ne s’arrête pas là avec ceux qui ne sont pas d’accord avec son hypothèse.
Désignant les
actes conscients comme incohérent et incompréhensible si l’on se force à voir la conscience
comme un ensemble d’actes psychiques.
Le « si » dans cette remarque a son importance car il
offre une place à la thèse de Freud dans ce raisonnement et celui le fait immédiatement par
une objection débutant par le mot « mais ».
En effet Freud pense que si l’on additionne les
actes inconscients a ceux qui sont conscient c’est-à-dire ceux dont le corps et l’esprit on le
contrôle, alors survient un ensemble ordonne ayant du sens telle un calcul.
Mais comment se
l’imaginer ? L’exemple le plus prompt serait de prendre une situation où l’esprit agit
d’instinct et donc de manière un peu inconsciente car ce n’est pas notre raison qui a choisi de
nous faire agir ainsi mais l’évènement et la réaction inconsciente de notre esprit qui prend
alors une influence sur notre agissement.
Le choix étant alors fait de manière rapide et
inconscient c’est ensuite au corps que nous contrôlons avec plus d’agilité qui pourtant suis la
confiance et la détermination de notre inconscience nous faisant alors commettre des actes
par moment surprenant voir insoupçonné.
Il s’agit ici d’un enchevêtrement rapide d’acte
conscient et inconscient ne faisant qu’un de manière cohérente.
La quatrième partie se voit être comme une conclusion de ce que Freud a démontré ici aux
lecteurs.
L’auteur débute donc sur le résultat de son raisonnement en fin de la troisième
partie.
La cohérence qui jaillit si l’on additionne actes de conscience et inconscience se voit.
»
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