Liberté, égalité et droit intermédiaire

« encore présente aujourd'hui en France (préambule de notre constitution actuelle notamment), mais aussi dans le monde entier (Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948). Parlons aussi de l'un de principal changement politique de la révolution : le passage d'une monarchie à la république.

Ce changement ne se fit pas en un coup, puisque de la monarchie absolu l'on passa à une monarchie constitutionnelle avant de se « lancer » dans le Première République. Le droit intermédiaire est aussi marqué par la liberté de la presse, car auparavant il était nécessaire de possédait permission du roi pour pouvoir publier n'importe qu'elle article.

Le nombre de journaux augmentât alors de manière exceptionnelle. Toutes ces mesures n'eurent pas l'effet escompter.

En effet bien que certaine inspirent toujours le droit actuel, tel que la séparation de l'État et de l'église, sujet très fort de l'actualité, ou bien la nation de divorce et de mariage, surtout en matière de consanguinité; d'autres ne connurent pas leurs heures de gloire.

Il est d'ailleurs difficile de voir la révolution comme une période forte tout en ayant du recul. Nous allons donc voir les effets du droit intermédiaire et de la révolution. II ) ..

Aux résultats qui en écoulent De nombreuses choses ressortirent de la révolution, que se soit des fondements pure et simple ou des principes juridiques.

Nous verrons donc dans une première partie les principaux changements qu'a opéré le droit intermédiaire, puis nous terminerons par voir ce qu'il en reste. A ) Les principes d'égalité et de liberté aux cœurs des changements. Car oui, la révolution fut le moment où l'égalité pris forme en France, où les droits de chacun commencèrent à apparaître, mais c'est aussi la période de la Terreur.

Les révolutionnaire soucieux de ne pas voir réapparaitre la monarchie, furent particulièrement virulent quand aux personnes qui critiquer la république ou chercher à lui nuire. C'est d'ailleurs de cette façon que fut anéanti le clergé, les prêtres furent emprisonnés, laïcisé ou bien abattu, en représailles à la période de l'Ancien régime, pour avoir conspirer avec le roi.

Démarra donc la séparation de L'État et de l'Eglise à travers le concordat (1801).

La séparation des pouvoirs naquit durant la révolution, même si le parlement nommait les juges, et possédait a la fois le pouvoir législatif et exécutif. La liberté de la presse comme évoqué précédemment fut aussi inventer pendant cette période, mais fut encadrer par la suite, pour « mater » la résistance à la République De nombreuses idée en matières de droit de la famille naisse aussi de cette époque, notamment une égalité en matière successorale des enfants légitime et illégitime.

Mais aussi des nouveautés pour ce qui est du mariage, et du divorce. L'assemblée constituante crée aussi les départements, le 22 décembre 1789.

Ils seront au nombres de 83. Mais rappelons aussi que le droit intermédiaire n'est pas seulement fait de la révolution, il s'étend aussi au Consulat, et c'est d'ailleurs avec Napoléon qu'il prendra fin, au moment de son sacre. La France fut perçut comme une nation affaibli durant la période de révolution, et les autres pays cherchèrent à attaquer la France, car un pays ou le peuple se soulève n'est jamais très bon, car risquent d'influencer leur peuple. B ) Les traces du droit intermédiaire dans le temps. Malgré la Terreur et le nombre d'exécution considérable provoquer par la révolution, cette période est plutôt bien vu de nos jours.

En effet, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, la devise « Liberté, Égalité, Propriété », la séparation de l'État et de l'Église, la séparation stricte des pouvoirs sont encore particulièrement présente aujourd'hui, et nous viennent tout droit de la révolution. Ce sont d'ailleurs toujours des sujets d'actualité, notamment avec la loi sur la laïcité et les symboles religieux voté il y a peu. On voit aussi que le droit de la famille est resté présent sous sa forme donné durant la révolution, et même si il fut modifier par la suite, on y retrouve encore des idées du droit intermédiaire, notamment quand à l'égalité des gens devant le mariage (il n'y a plus que le roi qui peut divorcer), mais aussi quand à l'existence du mariage civil.. »