Le travail n'est il qu'une lutte contre la nature ?
Publié le 12/07/2012
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Il est important de souligner le plaisir que l’homme peut éprouver lors de ses travaux. Selon Nietzsche, c’est la « sensation d’un accroissement de puissance « (in La Volonté de Puissance, Livre II). Si l’homme prend du plaisir à travailler, cela signifie donc que le travail provoque chez lui un sentiment « d’accroissement de puissance «. Du latin potens, puissance signifie pouvoir, faculté. Ainsi l’homme qui acquiert des habiletés en travaillant, a un sentiment de satisfaction lorsque le travail est abouti et lui donne l’impression d’avoir quelque chose en plus que son voisin. On peut en déduire que le travail ne se réduit pas à la satisfaction des besoins vitaux mais s’étend jusqu’à l’amélioration des facultés, des possessions matérielles. Le travail est donc un progrès. Mais pour progresser, il faut d’abord se baser sur un élément : l’autre.
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