Le pouvoir que nous avons sur la nature repose-t-il sur la connaissance de ce qu'elle est ?
Publié le 19/01/2004
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Il postule en cela qu'il est au sommet de l'échelle naturelle, donc que ses intérêts prévalent sur ceux des autres (anthropocentrisme). Et il est indifférent à la connaissance de la nature des êtres dont il se sert.
2. La considération des moyens (comment ça marche ? à quoi ça sert ?) prend ainsi le pas sur l'examen des fins (est-ce légitime ?). Ce qui compte, c'est d'être efficace et rentable, mais non de connaître pour éventuellement respecter (cf. la critique de cet « impératif de l'habileté » chez Hans Jonas, et l' « impératif catégorique » chez Kant).
KANT : le devoir comme impératif catégorique
Selon Kant, la volonté n'obéit pas toujours naturellement à la raison.
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