Le dopage est-il une fatalité ?

« c) Limites et risques II) Un moyen risqué pour un pays de s’affirmer a) Impact médiatique positif Le sport de haut niveau est le moyen pour différentes organisations (Etats, nations, villes) de se mesurer entre elles.

Pour se faire, ont été créé de nombreux événements sportifs nationaux, continentaux et mondiaux (Coupe de France pour le football, coupe d’Europe de rugby, Jeux olympiques).

Ces événements sont grandement médiatisés et leur retransmission est faite dans le monde entier.

Le sport devient ainsi une compétition, la compétition engendre une recherche de meilleur résultat.

De bon résultat donne ainsi à un Etat une notoriété plus ou moins grande vis-à-vis des autres Etats et du public.

Un pays plus performant attirera des athlètes du monde entier pour se joindre à leurs équipes (Dixit le football) Cela permet même d’attirer des IDE, comme l’a fait le PSG avec les IDE des investisseurs qataris, qui, en vue de résultat satisfaisant, ont choisis de s’y intéresser.

b) Dopage d’Etat Mais alors, existe-t-il des Etats qui usent de dopage ? Officiellement, les « Dopages d’Etats » se comptent sur les doigts d’une main.

Celui de la RDA n’est plus à prouver.

Une population de 10 000 athlètes allemands était concernée par ces dopages, la plupart n’étant même pas conscient de ce qu’on leur injectait.

Le but ? Imposer sa supériorité, comme l’aurait fait Hitler ou Mussolini durant les JO de Berlin ou tout simplement se maintenir par rapport aux autres Etats qui feraient de la concurrence.

L es athlètes chinois, notamment ceux participant. »