Le désir : Cours

« l'imagination, notamment le sommeil (rêve inceste, meurtres ...).

L'idéal classique c'est de dominé ces désirs fous.

Calliclès disait qu'il fallait les laisser grandir et chercher à les assouvir par tout les moyens et Socrate a ironiquement dit que c'était impossible et à comparer les désirs à un tonneau percé dans Gorgias de Platon. Cet idéal se retrouve aussi chez les épicuriens, pourtant pour eux le bonheur consiste en le plaisir.

Mais le plaisir du sage est ataraxie, absence de trouble de l'âme obtenue seulement par l'accomplissement des désirs naturels et nécessaire.

Autrement dit     l'exclusion des jouissances superflues.

Il se retrouve aussi chez les Stoïciens, comme dit Epictète dans Pensées qu'il ne faut pas attendre que les choses arrivent comme on le désir, mais comme elles arrivent.

En plus aujourd'hui avec la technique, notre civilisation est tentée de renoncés à ces idéaux et rentrée dans la consommation de masse et de trouvé son bonheur dans la satisfaction maximale de ses désirs.   C)    Signification métaphysique du désir Etant donnée que le désir créer une souffrance, une inquiétude, elle peut être interprétée comme une recherche du métaphysique que la philo doit expliquer. La dialectique érotique (Platon) : Dans Le Banquet, Platon dit que le désir n'est jamais mauvais en sois même. Etre philosophe c'est comprendre qu'aucun objet sensible ne pourrait le satisfaire donc il faut se mettre en quête de l'Idée de Beauté, seule capable de l'apaiser.

Dialectique ascendante c'est quand on passe des ombres à la réalité, la vérité.

Il à dit que pour un homme, ce serait le bonheur de savoir reconnaître la vraie beauté au-delà des chairs. Dieu comme ultime objet d'amour (Augustin) : Avec la problématique Chrétienne, Saint Augustin comprend que l'amour c'est un désir de l'absolu, du divin, une quête qui peut s'ignorer elle-même. L'Homme désir être Dieu (Sartre) : Athée, Sartre refuse l'idée de divinité et encore moins qu'elle puisse donnée un sens à l'existence.

L'Homme est au monde sans cause, sans nécessité, sans raison.

Sa contingence est absolue, son manque d'être est radical.

C'est pourquoi il désir « être ».

Etre homme c'est tendre à être Dieu. »