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Le bonheur est il en accord avec la morale

Publié le 09/01/2024

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« Cours de Philosophie de Terminale Philosophie : étymologie = amour de la sagesse activité philosophique c’est l’exigence du savoir et de valeurs Début de la philosophie : 4ème et 5ème siècle avant J.-C. Socrate a vécu de -470 à -399 Platon a écrit un dialogue mettant en scène Socrate et son enseignement Sophismes : champions de la parole, Socrate s’oppose à eux, les plus connus sont Gorgias et Prodicos Les présocratique : Thalès, Pythagore, … parmi les plus connus hédonisme = quête du plaisir eudémonisme = quête du bonheur ataraxie = l’absence de trouble le bonheur a pour étymologie la chance = le fait d’être heureux provient de facteurs externes bonheur : satisfaction de toutes nos inclinations et inspirations en multiplicité, intensité et durée état de satisfaction complète et durable peut on avoir un bonheur permanent ? Ce questionnement remet en question l’aspect durable et équilibré du bonheur Idée grec du bonheur stable : sagesse antique.

Avec l’Épicurisme : dans La Lettre à Ménécée, Epicure développe l’idée d’un bonheur stable et durable. L’Alégorie de la Caverne ou la difficile conquête de la vérité.

= Plato, Livre 7 de la République Platon ( 428-348 avant J.-C.) La vérité n’est atteinte qu’au terme d’un parcours long et difficile.

Dépassement des apparences Exercice : imaginé une autre suite que celle de Platon pour l’allégorie de la Caverne. Une fois sortie de l’illusion de la caverne, face une réalité trop dur à accepter, une réalité terrifiante qui détruit ce en quoi il a toujours cru.

Une réalité qui créé une sentiment de peur indescriptible : la peur de l’inconnu et la peur d’être rejeté.

L’individu préfère retourner dans la grotte, dans le confort d’une vie illusoire plutôt que se confronter à la réalité.

Il préfère être enchaîner au près des siens plutôt que de vivre une vie de liberté et de vérité, en étant jugé de fous par ses paires. Définition de l’opinion : Du latin opinari : « avoir dans l’idée », « croire que », « opiner », issu du grec doxa : « gloire ».

Souvent considérée comme le plus bas degré du savoir, l’opinion ou « doxa » est une croyance adoptée sans examen critique.

L’exercice philosophique, parce qu’il se veut rationnel, est volontiers présenté comme « paradoxal ».

Ainsi Socrate critique-t-il les sophistes parce qu’ils recherchent leur propre gloire (doxa) sans souci de vérité.

Toutefois, il admet qu’il existe une « opinion droite », connaissance vraie mais non justifiée.

L’opinion peut alors être légitimée comme un avis provisoire qu’on adopte par défaut en l’absence d’une meilleure solution. Depuis l’avènement de la démocratie à la fin du XVIIIe siècle, on distingue l’opinion privée et l’opinion publique.

Celle-ci désigne l’ensemble des convictions plus ou moins partagées par la population d’une société donnée.

Formée par imitation, l’opinion publique est souvent manipulée par le pouvoir, en particulier médiatique – de même que la confusion entre opinion et fait peut se trouver sciemment alimentée par calcul politique.

Selon Tocqueville, « L’opinion publique mène le monde » et fragilise la démocratie en exerçant sur les individus une « tyrannie de la majorité ». L’opinion a en général un sens péjoratif chez les philosophes latins.

Ne pas avoir d’opinion est un caractère du Sage. L’opposition de l’opinion et du savoir ou pensée rationnelle remonte à la philosophie grecque et tient une grande place dans l’œuvre de Platon (voir Le Ménon et la République (livre IV)). Mettre en liens avec les notions suivantes : la vérité, raison, bonheur, liberté La vérité est elle toujours moralement exigible ? Ce sujet nous interroge sur le devoir de vérité. Doit on dire toujours la vérité ? Position de Benjamin Constant (il dit que parfois la vérité ne vaut mieux ne pas être révéler) et la réponse Kant (qui dit que la vérité est toujours le mieux).

Kant a déjà soutenu cette thèse dans son œuvre La doctrine de la vertu. Maïeutique : l’art de faire accoucher les esprits Dans le Ménon, la question posée est « qu’est que la vertu ? », la recherche l’essence de la vertu et de la connaissance.

Le Ménon questionne aussi la transmission de la vertu et de la connaissance. Pour Socrate, la connaissance est l’affaire de tous.

Donc a chacun d’atteindre cette connaissance. Sujets : Faut-il préféré le bonheur à la vérité ? Le mensonge est il toujours un faute morale ? Faut-il préférer la vérité à l’illusion ? Conseils méthode disserte : Construire une problématique Argumenter vos idées avec rigueurs. Il n’y a pas de plan type : mais l’idéal c’est de faire 3 parties Poser 3 grandes questions au sujet posé et cela créer les 3 parties (parties de même taille) Entre chaque partie faire une transition (conclusion/résumé de la partie et introduction/question de l’autre) Une référence philosophique minimum pour chaque partie (montrer sa connaissance mais ne pas réciter le cours) Définir et élaborer les concepts utiliser dans la dissertation (exemples : bonheur, liberté, vérité, …) Faut-il préféré le bonheur à la vérité ? Pour Aristote considère le bonheur comme le souverain bien, supérieur a tout. Conseil méthode commentaire de texte : Suivre l’ordre des idées du texte Le plan est un découpage du texte en partie en fonction des idées clé du texte (partie de même longueur) Repérer les transitions et souligner les idées principales Chaque partie doit être expliquée et interprétée Page 456 texte de Descartes Selon moi, la vérité est toujours moralement acceptable car le mensonge est la gangrène de notre monde.

C’est notamment le point de vu de Kant qu’il développe dans son ouvrage La doctrine de la vertu. Je suis d’accord avec vos points de vus : la vérité doit être dite de manière à ne pas avoir de conséquences néfastes pour les autres (moins que le mensonge) ce qui est tjr le cas car la vérité cacher derrière un mensonge sera tjr découverte de manière violente.

De plus, il est vrai que dans des exemples semblables aux vôtres la vérité semble moins acceptable moralement qu’un juste mensonge.

Cependant, si à la base l’humain cherche la vérité avec un point de vu totalement objectif il aurait un point de vue tout à fait rationnel et ainsi renierait tout mensonge.

Et c’est le mensonge qui est source de violence et de haine dans le monde : que ce soit aux autres (arnaque, manipulation) que soit même (haine, dont notamment les antisémites qui se mentent et croit à leur suprématie face aux juifs).

Donc, la vérité doit être une quête humaine, morale et scientifique.

Si cette quête est suivi par tous, la vérité sera toujours moralement acceptable. I/ Vérité = valeur morale → conformité de la pensée et du réel → le devoir de la sincérité → kart → utilité et limites de la sincérité → J.

Stuart Mill (l’utilitarisme) La vérité est essentielle → la confiance est le fondement principal de notre bien être social..

Cependant, c’est un fail reconnu par tous les moralistes que cette règle aussi sacrée soit elle peut comporter des exceptions : aussi sacrée soit-elles peut comporter des exceptions : ainsi et c’est la principale dans le cas où pour préserver quelqu’un (et surtout un autre que sois-même) d’un grand malheur immérité..

» II/ (cf philosophie Magazine : Charles Pépin » La question reformulée : Le mensonge est-il tjr une forte morale ou encore : peut-on mentir à quelqu’un pour son bien ? Kant contre Benjamin Constant D’après Kant, ne pas mentir relève d’un « inférieur catégorique ».

En ce sens, le mensonge est tjr immoral puisqu’il met en péril la foi en la parole humaine.

Pour Kant, il ne faut donc jamais mentir. B.

Constant lui objecte que ne pas mentir relève non pas d’un impératif catégorique mais d’un « impératif hypothétique » (valable dans certains cas).

Par exemple, pour suive la vie de qqun pensent-il contre Kant, nous avons le droit de mentir aux assassins qui le fournissent. morale →devoir→ raison→ la loi morale est un fait de la Raison pratique (Kant) → cour → générosité/compassion → agapè en grec→ l’amour de l’humanité (≠ eros/philia) agir par intérêt ≠ agir par morale →devoir cour totalement.

Une action morale existe t-elle ? Question de l’intention et des conséquences de l’action est un fait de la raison pratique. Faut-il adopter une morale de l’attention ou consubstantialité ? La conscience de soi doit elle quelque chose à la présence d’autrui ? Faut-il définir l’homme par sa conscience ? Être libre, est ce subir aucune influence ? Conscience immédiate : la simple présence de l’homme à lui même La première certitude que le doute va permettre de mettre à jour est celle de la pensée. C’est à dire celle du cogito : pensée donc je suis. Je suis, j’existe.

Le doute ne peut remettre en question cette évidence.

Si je doute c’est que j’existe moi qui suis entrain de douter. Ce sujet soulève une problématique assez classique sur le bonheur : celle de savoir quelle place nous devons/pouvons lui accorder dans nos existences.

Le bonheur constitue.... »

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