l'art et la métaphysique, comment accéder à ce qui est?
Publié le 18/02/2013
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Comment accéder à ce qui est ? L'oeuvre d'art comme lieu de l'expérience métaphysique Intro La métaphysique comme expérience : C'est à dire les réalités dont je ne peux pas faire l'expérience (noumène). Une connaissance réelle et objective n'est donc pas possible en simplifiant). La métaphysique comme ouverture fait surgir la question de Dieu. Le chemin de la Raison, la différence entre la fides et la ratio. Theos est le principe de Dieu. Mais la raison peut elle affirmer l'existence ? La raison est toujours défaillante lorsqu'elle s'approche de la question de l'existence de Dieu. Au contact des questions principales la Raison semble défaillir. La métaphysique est toujours inachevée. retour à Aristote : une science sans nom (ontologie-philosophie première- « théologie «) La métaphysique est lieu des questions existentielles. Déjà c'est le nom d'un de ses livres, or il n'utilise pas ce mot. Cours qui succède les réalité physiques et pourtant elle ne peut se comparer avec aucune science. Aristote, dans Métaphysique, parle de l'être en tant qu'être et donc l'étant en tant qu'étant. La physique, la chimie et la botanique s'intéressent a un étant mais de manière scientifique. Etudier en tant qu'être c'est se rendre attentif au fait que l'arbre est, ce qui est est, je me rends attentif au fait d'être. Toutes les sciences le supposent mais ne se prononcent pas sur cet événement d'être. (Leibniz) L'ontologie est la connaissance de l'être. Et donc le fait qu'une chose soit, à la présence même de l'être. Lorsque tout disparaît je fais l'expérience que je suis (Descartes). Mais alors d'où vient l'être ? La démarche vers l'archè, ce qui soutient tout ce qui est dans l'être. Le fait d'être trouve sa racine dans l'être. La philosophie première est la recherche de la compréhension de se fait d'être. La métaphysique va scruter l'être premier. La théologie est la recherche par la raison d'un principe fondamental de l'être, un étant qui a l'être pour essence même. (« Je suis celui qui est «) Partant d'une science qui recherche l'être Aristote est conduit à développer une philosophie première. On voit chez Aristote une « science sans nom « La visée de la métaphysique : la différence entre l'étant et de l'être. Avec l'ontologie il faut apprendre à s'étonner, car l'étonnement est mère de philosophie. Notre regard glisse sur le réel, il n'y a pas de réelle rencontre. Nous réduisons les autres à l'usage. Le clocher de Méséglise montre que quand nous cessons d'instrumentaliser les choses nous devenons attentifs à leur présence. Nous sentons la différence entre l'être et l'étant, dont Heidegger nous dis que nous l'oublions et que la retrouver serait de saisir le réel. ...
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