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L'art Est Il Un Travail ?

Publié le 02/01/2021

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Dm philosophie Philosophe allemand, Friedrich Nietzsche est à l'origine de la notion du Surhomme. Auteur d'"Ainsi parlait Zarathoustra" sa philosophie remet en cause les valeurs morales de la société de son époque. C’est un philosophe allemand également philologue, poète, pianiste et compositeur. Le texte que nous étudions aujourd’hui est un extrait du premier paragraphe du chapitre « Schopenhauer éducateur » du livre troisième Considérations inactuelles, publié en 1874. L’extrait que nous analysons évoque le faite que nous nous cherchons, que l’homme cherche son vraie soi. Quelques questions peuvent se poser tels que, Est-ce qu’en nous cherchant nous aurons des réponses clair sur nous-mêmes ? Est-il nécessaire de ce connaitre sois même ? En quoi peut-on savoir que l’on est prêt à ce connaitre réellement, à entendre les réponses ? Nous pouvons alors évoquer le sujet de la conscience. On admet généralement que la conscience est le propre de l'être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains animaux et aux êtres humains. On distinguera donc la conscience spontanée, commune aux animaux supérieurs et à l'homme, et la conscience réfléchie, propre aux êtres humains. Ce qui est peut-être le plus fondamental, dans la philosophie de Nietzsche, c’est la découverte simultanée de l’inconscient et de la nécessité de l’interprétation. L’écrasante majorité des phénomènes, selon Nietzsche, sont inconscients. Pire, tout ce qui parvient à la conscience n’est que mensonge : la conscience appauvrit, falsifie, déforme, corrompt les phénomènes. Par conséquent, il faut s’attendre à ce que toutes nos idées spontanées soient de grossières erreurs d’interprétation. Pour parvenir à la vérité il faut s’armer de méfiance et surtout ne pas s’en tenir aux premières évidences mais interpréter les phénomènes pour découvrir leur sens caché, inconscient. Pour mieux comprendre le texte nous l’avon...
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« citation nous énonce le regard qu’on les autres personnes sur nous.

L’auteur hésite sur continuer de persévérer pour se connaitre, si s’infliger toutes ses souffrances est nécessaire pour se connaitre. Nietzche a alors trouver solution qui est de regarder à l’extérieur de soi au lieu d’intérieur de soi.

En revanche l’auteur pense qu’il est important de douter de soi, de se poser des questions, que le questionnement de soi-même est le clé de la progression.

Dès la ligne 7 on distingue un lien avec la ligne 1.

A la ligne 8, il cite deux questions successive « qu’as-tu vraiment aimer jusqu’à ce jour ? Vers quoi t’es-tu senti attirée, par quoi t’es-tu sentie dominée et comblée à la fois ? » ces questions prennent vis dans notre tête et font vivres nos âmes.

Le but d’une vie est d’apprendre à se connaitre sois même.

Qui nous sommes ? Nietzche évoque également le domaine de la vénération aux lignes 9 à 10 « Fais repasser sous tes yeux la série entière de ces objets de vénération, ».

En effet « La vénération est un mélange d'admiration et de crainte » dit René Descartes.

Nous pouvons vénérer une personne, nos entourages ou une personne assez proche de nous.

Le fait de vénérer quelque chose ou quelqu’un, nous permet de croire en lui et en nous.

Croire en quelque chose nous fait vivre, nous donne du courage de continuer.

On est évidemment attiré par ce qu’on vénérer, puisque qu’on aime ce qu’on vénère.

Aimer à un sens très large et est propre à chacun.

Mais qu’est-ce qu’on aime vraiment ? Aimer quelque chose nous permet de rentrer dans une satisfaction totale, de ne plus rien craindre, de se dévoiler entièrement à l’autre.

Cependant Nietzche cherche à nous montrer qu’il faut regarder plus loin que ça, ne pas s’arrêter à ce que l’on voie.

Il faut arrêter de regarder en soi mais regarder à l’extérieur de soi.

Ensuite l’auteur poursuit à la ligne 11 « la loi fondamentale de ton vraie moi », ici la loi fondamentale fait référence aux lois scientifiques.

Comme nous avons pu l’évoquer avant on constate une opposition entre Descartes et Nietzche.

Descartes pense que ce qui nous définit est la conscience, le fait que l’homme est le seule à pouvoir penser, raisonner, que nous nous connaissons comme un être conscient.

Que notre vraie nous ne se dévoile que quand nous pensons.

Pour Descartes il est normal de mieux pouvoir contrôler ses penser plutôt que son propre corps, car nos pensées représente notre identité.

A ses yeux nous ne nous connaissons pas complètement, car pour se connaitre réellement il faut se connaitre au-delà des pensées.

Il faut dons apprendre à se connaitre sans se préoccuper des pensés.

Ces deux philosophes s’opposent car Descartes affirme que lorsque l’on pense nous sommes nous-même alors que Nietzche lui évoque que les objets que nous vénérons révèle notre vraie soi.

La citation lignes 11 à 13 « Compare ces objets entre eux, vois comment ils se complètent, s’élargissent, se surpassent, s’illuminent mutuellement, comment ils forment une échelle graduée qui t’a servi à t’élever jusqu’à ton moi.

».

Nietzche affirme dans cette deuxième partie que lorsque nous regardons à l’extérieur de nous-même, nous nous trouvons.

Nous pouvons constater que Nietzche remet en doute le fait que l’on ne se connait pas vraiment, que nous ignorons le fond de nous-même, pour régler ses différents problèmes il décide d’inviter une nouvelle méthode qui est de regarder au-dessus de soi.

De plus Nietzche pense que pour se connaitre vraiment il faut regarder loin, hors de sois même, sortir de sa zone de confort.

En revanche nous pouvons constater qu’il donne plusieurs façon d’apprendre à se connaitre ? Premièrement il nous dit qu’il faut regarder au fond de soi, qu’il faut creuser, que cela sera long et pénible, ensuite il propose l’idée de regarder à l’extérieur de sois, de se détacher de nos penser.

Pour finir il nous propose une dernière méthode pour apprendre réellement à se connaitre, c’est de regarder au-dessus de soi.

Dans le texte une citation peut nous aider à la comprendre aux lignes 13 à 14 « Car ton vraie n’est pas caché tout au fond de toi : il est placé infiniment au-dessus de toi ».

Dans ce texte nous observons deux phénomènes qui se contredisent.

Dans cette phrase l’auteur nous explique que le fait de se chercher au fond de soi n’est pas la bonne méthode, la bonne méthode est de regarder au-dessus de soi.

Au début du texte on aperçoit un aspect plongeant mais à la fin c’est un aspect d’élévation qui domine.

En effet dans cette fin de texte, Nietzche nous fait partager son idées. Il tente de nous expliquer que ce qui nous contrôlent c’est ce qui est au-dessus de nous, que quand on ne se connait pas, on sait que ce qui nous contrôlent c’est ce qui est au-dessus de nous.. »

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