Devoir de Philosophie

L'appologie de Socrate selon Platon

Publié le 08/04/2021

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?Devoir 2H (15 %) Consignes  Dans ce devoir, vous devez accomplir les trois tâches suivantes, indépendantes les unes des autres. 1. À partir d?une mise en situation et d?une question, rédiger une courte argumentation d?environ 300 mots. Ce texte doit contenir les éléments suivants : a) Une présentation claire de la thèse défendue, qui répond à la question donnée ; b) Deux arguments pertinents qui proviennent de la mise en situation et de l?Apologie de Socrate ; c) Une courte conclusion, qui résume la réponse à la question. 2. Identifier quatre sophismes parmi huit argumentations. Il y a donc quatre argumentations cohérentes et valables. Une fois ces sophismes identifiés, indiquer avec précision de quel type de sophisme il s?agit et justifier sommairement ce choix. 3. a) Déposer un sophisme (tiré de l?actualité, notamment entendu à la radio, vu à la télévision ou encore lu dans un journal ou une revue) dans le Forum du devoir 2. Notez bien que votre tutrice ou tuteur refusera votre devoir si vous ne participez pas à ce forum. b) Choisir un sophisme déposé par un autre étudiant dans le Forum du devoir 2, puis en faire l?analyse à la troisième partie de ce devoir. Indiquez de quel type de sophisme il s?agit et justifiez ce choix. Vous devez inscrire vos réponses dans les espaces de ce document prévus à cet effet. Première partie Mise en situation Aux funérailles de sa grand-mère, une jeune fille entend les propos de la parenté, qui est fortement touchée par le décès. Les uns disent que la mort est une libération et que l?âme de la grand-mère ira rejoindre celles des personnes décédées, dans une sorte de paradis où les âmes continuent d?exister pour l?éternité, sans corps pour troubler la sérénité de leurs pensées. Ainsi, la grand-mère pourra rejoindre les gens qu?elle aimait et discuter avec eux jusqu?à la fin des temps. D?autres personnes présentes aux funérailles soutiennent au contraire que la mort est une fin abrupte, qu?il n?y a rien d?autre après qu?un grand sommeil ininterrompu. C?est comme si l?on ne se réveillait plus jamais, expliquent-ils. La jeune fille ne sait pas quoi penser de ...
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« Devoir 2H 2 D’autres personnes présentes aux funérailles soutiennent au contraire que la mort est une fin abrupte, qu’il n’y a rien d’autre après qu’un grand sommeil ininterrompu.

C’est comme si l’on ne se réveillait plus jamais, expliquent- ils.

La jeune fille ne sait pas quoi penser de cette mort qui la bouleverse, car elle aimait énormément sa grand-mère. Question À partir de cette mise en situation et du texte l’ Apologie de Socrate de Platon, dites si vous êtes d’accord avec Socrate, qui soutient qu’on ne doit pas craindre la mort.

L’Homme est un être avide de pouvoir et de contrôle, il aime tout savoir, pour mieux agir, et lorsque quelque chose lui est inconnu, il devient fou, comme la mort par exemple.

Ce grand questionnement de la vie, qui n’est résolu qu’une fois atteinte, mais qui reste pour tant chose à résoudre.

La mort est le pire qu’il puisse arriver pour un être, c’est la fin, mais que nous réserve ce sort, est-il définitif, est-il une entrée vers un autre monde, est-il rien ? Plusieurs philosophes se sont questionnés sur ce sujet et on élaborer là-dessus, lequel dit vrai, lequel dit faux, nous ne le serons jamais.

C’est le cas de Socrate, qui lors de son procès, prend parole sur ses condamnations, il élabore des arguments utilisés pour se défendre sur les accusations qui lui étaient reprochées, Platon plus tard, écrit alors un texte nommé l’Apologie de Socrate là-dessus, dans lequel il partage les idées de Socrate sur la mort.

Premièrement, dans l’Apologie de Socrate, on élabore que pour Socrate, la mort n’est pas chose à craindre, car elle n’est d’un, pas contrôlable et de deux, incontournable.

Tout Homme meurt un jour de toutes façons.

Il croit qu’il faut justement combattre la peur de la mort, car celle-ci, est inconnue, et qu’elle ne peut qu’être bénéfique, une échappatoire à nos problèmes.

Lorsque Socrate parle de mort, il parle de la mort de la conscience morale et non pas de la mort physique, il n’incite justement pas la mort physique.

Pour Socrate, la mort est un bien, elle est soit deux choses ; un sommeil éternel dans lequel nous reposons en paix, ou une sorte de passage vers un autre monde ou nous pouvons rencontrer les morts du passé.

Dans les deux cas, tout problème de notre vie de vivant, seraient que superflus, et dans lequel notre sort n’est qu’une justice sur nos actes du passé.

Socrate, exprime que pour qualifier la mort, il faut la connaître, ce qui est donc choses impossible, puisqu’aucun vivant n’est au courant de ce mystère, il ne sert donc à rien de la craindre, puisqu’elle est peut-être merveilleuse. L’inconnu est maladif pour l’Homme, il laisse alors place a toutes sortes d’imaginations et de pensées qui souvent se rattachent au pire possible.

Il faut donc, contrôler son imagination, et se concentrer sur le présent, sur ce que l’on sait.

Socrate, pense qu’il faut plutôt se concentrer sur ses actes et sa vie présente, qu’il faut vivre en fonction de ce que l’on sait et non ce que l’on ne sait pas.

Si toute notre vie se résume à craindre la mort, nous vivons alors dans la peur et dans le stress, et si au contraire, nous vivons pour ce que l’on aime et pensons à l’instant présent, nous serons heureux.

Pour conclure, je suis en parfait accord avec Socrate lorsqu’il dit que la mort n’est pas chose à craindre, venant d’une famille non religieuse et étant moi-même athée, la mort n’est pas pour moi un grand questionnement.

J’ai toujours été dans l’idée, que de toute façon, peu importe ce qu’elle est, elle est incontournable, tout Homme Philosophie et rationalité 340-101-MQ (60.3)340-101-MQ_dev2H. »

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