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L'amour ne fleurit que dans la douleur

Publié le 07/05/2024

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« L’objectif d’une vie peut être perçue sous trois formes, la première consiste en une quête : il s’agit de savoir s’il y a un mystère à découvrir (quelque chose à voir et à comprendre, un sens à déceler) et si oui lequel, la deuxième consiste à se fixer des objectifs de vie, à accomplir des actes conformes à la morale, aux valeurs universelles ou aux lois cosmiques. Dès lors, il s’agira de se fixer des objectifs et de s’y tenir, par exemple aider les autres, lutter contre les injustices, changer le monde, ou tout simplement fonder une famille, élever du mieux possible ses enfants… Enfin, une dernière approche consistera à accepter ce que nous vivons, sans montrer d’ambition particulière, sans se fixer d’objectif précis, sans chercher à changer le cours des choses.

Un peu comme si la vie portait en elle-même son propre but, qu’il s’agirait simplement de reconnaître et d’épouser.

Par-dessus tout ça il y aura toujours cette question qui est « Qui suis-je ? ».

On se voit, on s’entend, on pense et on agit mais se connaît-on réellement finalement ? La découverte du véritable moi peut être réconfortante comme synonyme de tragédie.

Le déni face à notre vraie nature ? « Connais-toi toi-même » mais quelle est la recette ? On peut se chercher toute une vie mais jamais se trouver alors peut-on vraiment se connaître soimême ? Finalement le fait de connaître nécessite un apprentissage, connaître c’est pouvoir préméditer le résultat et se faire confiance pour la suite, le moi dans tout ça n’est que sujet contrairement au terme soi-même qui va chercher plus loin au fond de nous et nécessite l’intervention du surmoi comme dirait Freud « Le moi n’est pas le maître de sa propre maison ».

Enfin pour répondre à la problématique qui reste « Peut-on réellement se connaître ? » nous verrons premièrement notre identité qui reflète notre appartenance à la société, dans un second temps les limites à la connaissance de soi et pour finir la « solution » pour vraiment se connaître. Notre identité nous définit aux yeux de tous et il ne s’agit qu’un ensemble d’étiquettes qui se chevauchent pour nous définir.

On y retrouve notre âge, notre nom et prénoms, nos origines, notre genre....

Cette identité c’est celle qu’on nous attribue lorsqu’on né.

Celle qu’on créer c’est celle qui enveloppe nos goûts, notre histoire, notre personnalité, ce qu’on est finalement.

C’est ce qu’on laisse paraître aux autres pour nous reconnaître.

Le reste nous le gardons pour nous et personne ne peut entrer dans notre tête.

Dans notre tête c’est là où se trouve nos peurs, nos sentiments, nos secrets…Nous avons une sorte d’intériorité à laquelle nous sommes seuls à pouvoir accéder.

On se connaît sur tous ces points mais comme dit précédemment notre histoire ne représente que le nous actuel car finalement le résultat nous est encore inconnu.

Même proche de la mort nous serons là à nous demander « Qu’ai-je accomplie ? Qui suis-je ? Ai-je été une bonne personne ? » Personne ne le sait, même pas nous.

Nous répondons peu à peu à notre problématique.

En comprenant que nous ne nous ne pouvons-nous connaître réellement et cela veut dire que quelque chose obstrue le chemin de la connaissance du moi Rappelons-nous que la mémoire parcellaire nous laisse oublier le passé comme des traumatismes et que notre inconscient retient pour nos protégés, l’inconscient fait partie de nous ainsi nos.... »

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