L'amour ne fleurit que dans la douleur

« jalousie est-elle présente ? Après réflexion, il réalise qu’il l’apprécie bien plus que ce qu’il pensait.

Avec le temps, la jalousie peut commencer à le tracasser, ensuite à le ronger.

Une peine s’installe , des sentiments plus forts s’installent.

Il veut avoir cette fille encore plus . Un épanouissement, donc, dans la peine à nouveau. 2.

Maintenant, analysons la pièce Romeo et Juliette, de Shakespeare. Ces deux héros luttent , durant toute la pièce, à maintenir leur amour .

Les familles de ces deux sont contre leur union .

Roméo et Juliette mènent à mort leurs amis, leur famille, et même leur propre vie.

Le début de la fin de cette tragédie est lorsque Juliette, croyant que son Roméo est mort, met fin à sa vie en se poignardant.

Quant à Roméo, à son réveil, fait de même lorsqu’il voit sa Juliette morte.

C’était un amour et une douleur insoutenable. Dans cet exemple, les deux héros tombent amoureux avant de savoir que leur union est impossible.

On en conclu que même si la peine était présente très tôt, elle ne l’était pas lorsqu’ils ont eu le coup de foudre.

On confirme donc que la base d’une relation amoureuse se créait dans le bonheur et que la douleur n’arrive que plus tard pour faire fleurir cet amour. Mais qui souhaiterait continuer une relation qui débute dans la douleur ? Qui après avoir souffert à cause de l’autre s’imagine former un amour avec celui ou celle-ci ? Lorsque l’amour n’est pas encore installé, une personne qui nous est désagréable nous donne envie de nous éloigner de celle-ci.

Mais lorsque on l’aime, la peine que cette personne peut nous infliger ne nous éloignera pas forcement.

Par amour on pardonne, c’est un rapprochement, des nouveaux efforts à faire, un amour qui fleurit.

Pour autant que l’erreur qui nous à fait de la peine n’est pas à l’extrême.

3.

Tous les couples désirent, espèrent une sans souffrance.

Mais est-ce vraiment possible ? Nous connaissons tous l’expression « des hauts et des bas », est-il possible d’avoir des « hauts » sans avoir des « bas » ? Ce qui éveille le rythme d’une relation, c’est le changement comme nous l’avons vu dans les exemples précédents.

Si il n’y avait que des « hauts », plus aucun partenaire ne se rendrait compte qu’il y a des « hauts » et c’est la routine ainsi que la lassitude qui s’installera petit à petit. Pour remarquer les moments spéciaux qui sort de l’ordinaire, il faut des difficultés.

Sans vouloir quelque chose de meilleure, sans soif d’un meilleur bien-être, la vie ne serait qu’un désert, sans fin, avec des ruisseaux partout. Prenons le livre Aline , de Ramuz. On remarque dans ce livre que le bonheur ne peut rester sur une ligne droite. Aline se voile la vérité même si elle sait que amant profite d’elle.

Elle veut juste que l’amour qu’ils sont sensés avoir soit parfait.

Elle se dissuade qu’il est un mauvais amant mais tenter de nier devient plus dangereux.

Elle finit par se suicider lorsqu’il se mari avec une autre femme. Conclusion En accord avec la citation d’Anatole France et en s’appuyant sur nos exemple on en conclu donc qu’il n’y a pas de bonheur absolu.

Lorsqu’on aime, on s’ouvre et on baisse nos gardes.

C’est ainsi que nous devenons vulnérables. Ces exemples sont, certes, des extrêmes.

Mais, très souvent, la réalité n’est pas comparable avec la littérature et la cinématographie.

C’est pour que l’histoire soit plus captivante, plus. »