L'aliénation dans le travail (Marx)
Publié le 22/02/2012
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marqué se développe dans les toutes les classes sociales, en effet par exemple les patrons « travaillent » aussi poursubvenir à leurs besoin, toutefois il dirigent uniquement et ne produisent rien par eux-mêmes, on peut doncconsidérer que puisque les patrons ne respectent par leur nature, celle-ci étant de produire des objets entransformant la nature, alors il subissent eux aussi une aliénation.
En outres, des conséquences néfastes suivent à ce travail qui est aliéné.
D'abord l'homme ne s'épanouit pas puisqu'ilne se « déploie pas » , avec ce terme Marx montre bien que le travail est un obstacle qui freine l'homme dans ledéveloppement de ces véritables capacités, par exemple de sa créativité, ainsi son « esprit est ruiné » .
De plus, iln'est libre ni physiquement ni intellectuellement : en effet il est contraint dans son activité mais aussi dans son être,et il ne peut donc pas faire se qu'il veut, ainsi le travailleur ne possède alors ni un esprit sain, ni un corps sain.
Letravail est donc perçut comme une souffrance d'abord pour le corps, qui répète inlassablement les même gestes,attitude typique du taylorisme, tel une machine le ferait, mais il également perçu comme une privation puisqu'ilempêche l'homme de se réaliser, le travail est donc une « mortification » pour l'homme.
Par ailleurs on peut poser des limites dans la définition du travail qu'utilise Marx, il est question dans le texteprincipalement du travail dans les usines, à la chaine, qui se développe beaucoup lors de l'âge industriel avec lecapitalisme, et système du taylorisme par exemple.
Il est important de ne pas généraliser abusivement cettesignification péjorative du travail à l'ensemble des formes que peut prendre le travail.
Cette forme de travail est aliénante dans le sens qu'elle dépossède l'homme de lui même .Ainsi l'aliénation du travailentraine l'aliénation de l'homme.En effet, dans un premier aspect les « choses » que produit l'ouvrier lui sont totalement extérieures car il ne pas sereconnait dans son travail bien qu'il y mette une partie de lui-même.
L'ouvrier produit « des parties de choses » etnon des choses entières et il ne peut ainsi se reconnaitre dedans, c'est donc une aliénation du travail.
L'ouvrier estdonc incapable de s'épanouir en travaillant.
De plus ce qu'il produit lui est ensuite repris, l'ouvrier par le travail perddonc toujours un peu de lui en échange d'argent, il effectue « un sacrifice » de lui-même.De ce fait, l'ouvrier se sent et devient un homme « en dehors du travail », lorsqu'il est libre, sans domination, et qu'ilpeut réaliser ce qu'il aime faire.
Le travail n'est « pas son élément » ramène à l'idée que le travail n'est pas dansl'essence humaine.Toutefois on peut poser des limites à cette affirmation de Marx, car si l'ouvrier subit une extrême aliénation par letravail ou il est totalement dépossédé de lui, il est possible que cet ouvrier garde des séquelles de cette aliénationtrès forte en dehors du travail encore; en effet il difficile d'imaginer les travailleurs alternent constamment despériodes de « pertes » complètent d'eux mêmes, puis qu'ils soient de nouveaux entièrement eux mêmeimmédiatement leurs sorties du travail.
L'homme ne contrôle plus le travail, celui-ci s'impose à lui car l'homme est obligé de travailler dans notre sociétépour survivre il y est « contraint » .En effet les ouvrier n'ont pas d'autre choix pour survivre que de vendre la seulechose qu'il possède, c'est à dire leurs capacités de travail.
Les hommes se vendent ainsi à leurs employeurs, maissans volontés, il y sont « forcés » par le système de cette société, ici donc capitaliste, système par définition ou laproduction et le bénéfice surtout l'emporte sur l'humanité.
En conséquences, ce que produisent eux même lesouvriers ne leurs appartiennent pas, ainsi on voit bien que le travail des ouvriers leurs est aliéné, car il leurs estextérieur mais leurs leur devient également étranger.
On ne travaille pas pour satisfaire un besoin mais pour satisfaire des besoins en dehors du travail.
On ne travailledonc pas, (plus) pour vivre directement,( la définition première du travail étant de subvenir à ces besoin poursurvivre, )mais pour pouvoir consommer et donc vivre en dehors de ce travail.
Le travail dans notre société estdevenu une étape, dans le processus de « survit », il a ainsi perdu sa fonction originelle, ce qui peut être égalementêtre considéré comme une forme aliénation du travail.De plus on travail dans le but de gagner de l'argent pour vivre à l'extérieur du travail, donc également pour sedivertir afin d'essayer d'oublier ce travail si destructeur.
Une absurdité pouvant entrainé une aliénation apparaitalors, car cela signifie que d'une certaine façon l'homme travaille afin d'oublier son travail.
On peut aussi supposerque par le salaire, soit un moyen d'ignorer les conditions de travail, l'homme se « vend » et donc et se dévalorisehumainement.Par ailleurs, Marx pour soutenir sa thèse montre à l'aide d'un contre argument que si l'homme fuit le travail dès qu'ille peut, cela signifie que l'homme a peur de ce travail qui lui devient étranger.
Le travail est ici comparé à la peste,soit une maladie incurable et donc mortelle, le travail prend donc une valeur complètement destructrice et nuisiblepour l'homme.Le travail finalement s'oppose à l'homme, en effet il est « mortification »soit souffrance que l'on subit pour fairepénitence et « sacrifice de soi », ces deux termes expriment bien une contradiction avec la vie et la liberté.
De plusces deux qualificatifs du travail font références à la religion, on peut donc penser au christianisme où le travail estconsidéré comme une punition afin de racheter la faute originelle.
Enfin, dans le travail l'ouvrier appartient à un autre, il y a une idée de servitude, il ni a pas de liberté.
En effet laliberté est par définition l\'état d\'une personne ou d\'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, deservitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère.
C\'est aussil\'état d\'une personne qui n\'est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu\'un.
Le travailleur appartient à sonemployeur comme le serai une vulgaire machineDe plus, on considère le travail comme pénible et contraignant et on l'oppose ainsi aux loisirs et au temps libre.Cette expression nous fait immédiatement penser que le travail s'oppose à la liberté.
Il y aurait distinctement dans la.
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