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La tragédie chez Aristote

Publié le 23/07/2012

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aristote

La fatalité qui s’abat sur les personnages les rend particulièrement faible face aux évènements, Phèdre qui est complètement anéanti du début jusqu’à la fin de la pièce ou elle est décrite comme mourante et ne pouvant plus tenir sur ses jambes « Je ne me soutiens plus, ma force m'abandonne : Mes yeux sont éblouis du jour que je revois, Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi. « La fatalité les détruit aussi psychologiquement, Phèdre est usé psychologiquement, elle ne peut plus supporter la pression de sa passion. Les passions et la fatalité les poussent à l’aveu, dans Phèdre on peut discerner trois aveux différents l’aveu de Phèdre pour Oenone, l’aveu à Hippolyte et l’aveu à Thésée qui sert de dénouement à la pièce. 

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