La science a-t-elle pour fin de garantir notre action sur la matière ?
Publié le 27/02/2008
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La science a-t-elle pour fin de garantir notre action sur la matière ?
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- «La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n’est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. » Expliquez à l’aide d'exemples.
- Racine définit ainsi la composition de ses tragédies : « Une action simple, chargée de peu de matière et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages. » Vous chercherez, en prenant comme exemple une de ses pièces, à montrer comment il a réalisé cette conception.
- Racine : une action simple, chargée de peu de matière, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passion des personnages.
- Dans quelle mesure le théâtre de Racine illustre-t-il la définition qu'il en donne lui-même, dans la préface de Britannicus : « Une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages » ?
- ACTION (L’), Essai d’une critique de la vie et d’une science de la pratique, Maurice Blondel (résumé)