La croyance n'est-elle qu'une démission de la raison ?
Publié le 17/09/2018
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On dit bien que « le cœur a ses raisons que la raisons ignore » alors comment un raisonnement rationnel pourrait-il l’expliquer ? On peut donc parler de croyance, croire en l’autre, croire en l’amour… Autant de choses qui restes mystérieuse aux yeux de la raison car même si aujourd’hui on sait quelles parties du cerveau sont en activité lorsque l’on ressent un sentiment amoureux on ne peut pas en expliquer la cause, c’est un fait, un constat. Et encore sait-on vraiment quand on ressent de l’amour ? C’est pourquoi la croyance se propose, non pas d’expliquer mais plutôt de comprendre ses rapports, en dehors de toute raison. Cette dernière serait donc,de fait, démise de ses fonctions, elle ne démissionnerait pas mais serait renvoyée et ceci en toute « logique » finalement. Car même cette analyse est basée sur la raison, c’est de façon raisonnable que l’on conçoit que la raison n’est pas apte a expliquer certains phénomènes, donc son renvoie est fait de façon consciente, en connaissance de cause. Ainsi qui peut dire ce qu’il y a après la mort, rien ? Un paradis ? Autre chose ? La raison laisse se domaine à la croyance, qui permet à chacun de croire en ce qu’il veut. De même on ne peut pas expliquer par la raison ce qui pousse un kamikaze à ce faire exploser : la foi ? Le devoir ? Encore des notions inconnues au rang de la raison pure. L’irrationalité de ce geste n’est pas temps dans l’acte lui-même que dans sa cause, dans l’adhésion à ce type de croyance.
Au premier abord la croyance peut donc paraître irrationnelle mais elle est en fait nécessaire à la raison et donc à l’homme qui ne peut concevoir un monde sans une part d’absurdité. La croyance n’engendre pas une démission de la raison, au sens ou elle ne se démet pas de sa fonction mais qu’elle accepte l’existence de phénomène qu’elle ne peut, même provisoirement, comprendre et expliquer.
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En outre, la croyance, par certains côtés est une facilité de pensée qui permet à l’homme de mieux traversé les
moments les plus dures de la vie.
On peut prendre comme exemple l’idée d’une vie après la mort, qui rend celle-ci
moins effrayante.
Ainsi la croyance s’éloigne plus ou moins consciemment de la raison pour éviter d’être face à une
réalité qui peut faire peur ou être dérangeante.
La croyance permet donc « d’arranger » les vérités énoncées par la
raison.
Cependant, en matière de religion, on peut observer des fanatiques qui n’acceptent pas le raisonnement
rationnel.
Ce genre de conviction n’est pas cloisonner aux croyances religieuses, on peut également avoir une
croyance aveugle en quelqu’un, sans aucunes raisons apparentes.
C’est la nature humaine qui explique de telles
croyances irrationnelles, elles permettent en effet d’appartenir à un groupe, de ce reconnaître, elle fait partie de la
vie.
Face à cela on peut dire que la raison démissionne, elle préfère ne pas essayer de comprendre, elle se laisse
aller a
des idées complètement improbables mais si simples et pratique à penser.
On peut maintenant dire que jusqu’ici la raison c’est toujours placé au-dessus de la croyance au sens ou elle
explique consciencieusement et scientifiquement des faits là où la croyance ne fait que proposer une réponse sans
justification.
Mais il semble raisonnable de concevoir qu’il existe des choses qui ne peuvent pas être dominé par la
raison.
L’exemple le plus flagrant est les relations entre les personnes.
Comment expliquer l’affection entre deux
personnes ? L’amour ? On dit bien que « le cœur a ses raisons que la raisons ignore » alors comment un
raisonnement rationnel pourrait-il l’expliquer ? On peut donc parler de croyance, croire en l’autre, croire en
l’amour… Autant de choses qui restes mystérieuse aux yeux de la raison car même si aujourd’hui on sait quelles
parties du cerveau sont en activité lorsque l’on ressent un sentiment amoureux on ne peut pas en expliquer la
cause, c’est un fait, un constat.
Et encore sait-on vraiment quand on ressent de l’amour ? C’est pourquoi la
croyance se propose, non pas d’expliquer mais plutôt de comprendre ses rapports, en dehors de toute raison.
Cette dernière serait donc,
de fait, démise de ses fonctions, elle ne démissionnerait pas mais serait renvoyée et ceci en toute « logique »
finalement.
Car même cette analyse est basée sur la raison, c’est de façon raisonnable que l’on conçoit que la
raison n’est pas apte a expliquer certains phénomènes, donc son renvoie est fait de façon consciente, en
connaissance de cause.
Ainsi qui peut dire ce qu’il y a après la mort, rien ? Un paradis ? Autre chose ? La raison
laisse se domaine à la croyance, qui permet à chacun de croire en ce qu’il veut.
De même on ne peut pas
expliquer par la raison ce qui pousse un kamikaze à ce faire exploser : la foi ? Le devoir ? Encore des notions
inconnues au rang de la raison pure.
L’irrationalité de ce geste n’est pas temps dans l’acte lui -même que dans sa
cause, dans l’adhésion à ce type de croyance.
Au premier abord la croyance peut donc paraître irrationnelle mais elle est en fait nécessaire à la raison et donc à
l’homme qui ne peut concevoir un monde sans une part d’absurdité.
La croyance n’engendre pas une démission de
la raison, au sens ou elle ne se démet pas de sa fonction mais qu’elle accepte l’existence de phénomène qu’elle ne
peut, même provisoirement, comprendre et expliquer..
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