la conscience
Publié le 09/01/2025
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LA CONSCIENCE
Définitions :
conscience, au sens général, la conscience est le savoir intérieur immédiat
( sans intermédiaire ) que l’homme possède de ses propres pensées, sentiments
et actes.
La conscience exprime ainsi, notre capacité de réflexion et le pouvoir
que nous avons de viser quelque chose.
Son essence est Husserl
l'intentionnalité.
l’intentionnalité est la capacité de conscience de se rapporter à un objet qu’elle
vise.
La réflexion est l’action de penser et de revenir sur ses pensées.
En opérant un
retour sur elle-même, la conscience se divise en sujet et objet.
Le Sujet est un terme qui vient du latin “ subjectum “ qui signifie jeter sous.
Le
sujet est le fond essentiel de notre existence.
Il est le principe de toutes nos
pensées et celui a qui ont peu amputés des actions.
Un objet est ce qui est jeté devant soi par une prise de conscience.
Il est distinct
du sujet.
Médiat qualifie le rapport indirect à quelque chose.
Immédiat qualifie le rapport direct à quelque chose.
Personne vient du latin “persona” qui signifie le masque.
Au sens moral, la
personne a une valeur absolue.
Elle est digne de respect et doit être considérée
comme fin en soi.
“ Je pense donc je suis “ Par cette phrase, Descartes fait de la conscience le
fondement de la vérité.
En effet, il cherche une vérité absolument certaine sur
laquelle fonder la science, il entreprend de douter de tout ce qu’il tient pour
évident.
On est ce qui résiste au doute, c’est la certitude de notre existence ,
garantie par le fait même de penser et d’avoir conscience.
“ Toute conscience est conscience de quelque chose “ Husserl , Méditations
cartésiennes.
Husserl refuse de faire de la conscience une chose, c'est-à-dire
une substance.
Selon Husserl , la conscience est un rapport et elle n’existe que
par un visé.
Une conscience qui ne serait conscience de rien n'existerait tout
simplement pas.
“ L’homme n’est qu’un roseau , le plus faible de la nature , mais c’est un
roseau pensant“ Blaise Pascal , il montre que la pensée est ce qui fait la dignité
de l’homme quant bien même elle lui fait savoir sa place dans l'univers.
Elle
permet à l’homme de ne pas être ignorant de lui-même ni de sa condition
misérable.
LA CONSCIENCE
Définitions :
conscience, au sens général, la conscience est le savoir intérieur immédiat
( sans intermédiaire ) que l’homme possède de ses propres pensées, sentiments
et actes.
La conscience exprime ainsi, notre capacité de réflexion et le pouvoir
que nous avons de viser quelque chose.
Son essence est Husserl
l'intentionnalité.
l’intentionnalité est la capacité de conscience de se rapporter à un objet qu’elle
vise.
La réflexion est l’action de penser et de revenir sur ses pensées.
En opérant un
retour sur elle-même, la conscience se divise en sujet et objet.
Le Sujet est un terme qui vient du latin “ subjectum “ qui signifie jeter sous.
Le
sujet est le fond essentiel de notre existence.
Il est le principe de toutes nos
pensées et celui a qui ont peu amputés des actions.
Un objet est ce qui est jeté devant soi par une prise de conscience.
Il est distinct
du sujet.
Médiat qualifie le rapport indirect à quelque chose.
Immédiat qualifie le rapport direct à quelque chose.
Personne vient du latin “persona” qui signifie le masque.
Au sens moral, la
personne a une valeur absolue.
Elle est digne de respect et doit être considérée
comme fin en soi.
“ Je pense donc je suis “ Par cette phrase, Descartes fait de la conscience le
fondement de la vérité.
En effet, il cherche une vérité absolument certaine sur
laquelle fonder la science, il entreprend de douter de tout ce qu’il tient pour
évident.
On est ce qui résiste au doute, c’est la certitude de notre existence ,
garantie par le fait même de penser et d’avoir conscience.
“ Toute conscience est conscience de quelque chose “ Husserl , Méditations
cartésiennes.
Husserl refuse de faire de la conscience une chose, c'est-à-dire
une substance.
Selon Husserl , la conscience est un rapport et elle n’existe que
par un visé.
Une conscience qui ne serait conscience de rien n'existerait tout
simplement pas.
“ L’homme n’est qu’un roseau , le plus faible de la nature , mais c’est un
roseau pensant“ Blaise Pascal , il montre que la pensée est ce qui fait la dignité
de l’homme quant bien même elle lui fait savoir sa place dans l'univers.
Elle
permet à l’homme de ne pas être ignorant de lui-même ni de sa condition
misérable.
conscience qui accompagne nos pensées nous révèle également notre propre
existence: dès que nous prenons conscience de quelque chose, nous prenons
conscience directement de nous-même, de notre existence “je pense” et “ je suis ”,
suggérant une possible transparence du sujet à lui-même, capable de saisir ce qu'il est
par la conscience.
Selon cette théorie l'homme serait considéré comme un sujet
souverain ayant le contrôle de ses pensées et étant le garant de notre
connaissance .Dans les Méditations métaphysiques, Descartes s'exprime en tant que
métaphysicien interrogeant non pas le rapport entre nos idées et la réalité mais le
fondement de la réalité elle-même.
Le doute qui s'y manifeste dur et se prolonge, il
faut même le maintenir artificiellement.
Car Descartes doute de l'existence des choses
elle-même , se demandant si on peut être vraiment certain qu'elles existent.
Le
“cogito” apparaît dans la seconde méditation sous une autre formulation que celle du
Discours de la méthode.
“Cette proposition : je suis j'existe est nécessairement vrai
toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois dans mon esprit”.
Ici, le “ cogito
“ est le moment essentiel et fondamental de la réflexion: il vient garantir la certitude
d'une réalité, celle du sujet pensant, et il ouvre l'interrogation sur la nature même de
ce sujet par la question "qu'est-ce que donc que je suis?” .
Une telle vision de la conscience en fait une chose, une “substance” pensante.
En
effet, la conscience peut-être perçue comme une réalité « immatérielle », nos
diverses états sont , imprimés, tel sur une pâte à modeler.
Néanmoins cette
conception peut être remise en question.
Ainsi Kant, philosophe allemand du 18e
siècle affirme dans « anthropologie du point de vue pragmatique » que la conscience
est un....
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