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La connaissance scientifique est-elle une connaissance de Dieu ?

Publié le 09/03/2004

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scientifique

CONNAISSANCE (lat. cognoscere, chercher à savoir)

Le terme de connaissance désigne d'abord l'acte par lequel la pensée s'efforce de saisir et de définir un objet qui se présente à elle. Il désigne ensuite le savoir résultant de cette action. On oppose principalement croyance et connaissance, non par le degré de certitude éprouvé soit par le sujet qui croit, soit par le sujet qui connaît, mais par le fait que la croyance n'est pas nécessairement fondée en raison, autrement dit n'implique pas nécessairement l'idée de vérité.

scientifique

« La connaissance scientifique n'est pas une connaissanc e de Dieu ·~[•]~· Dieu est transcendant au monde.

Par la raison, je peux connaître le monde, mais pas Dieu.

Pour connaître Dieu, il me faut recourir à la foi et à la spiritualité.

Les vérités scientifiques n'ont pas besoin de Dieu pour garant.

Les vérités sont connaissabl e.

Je ne peux La vérité dans mon esprit pas le co nn aître, j e peux n'a pas besoin M ale br a n ch e, qui se ulem e nt en avoir l'idée.

de garantie divine éta it pr être , a On connaît Dieu po ur les pos itivis tes d é form é la pen sée d e par le cœur co mm e Aug u ste Des cart es dan s un se ns Co mt e , l es vér ités r e li gie u x.

Po ur Des - p ascal pense que l'o r- s cientifiqu es s e so u - ca rtes, co nn aître, c'est dre des vérités scie n - tie n ne nt pa r e lles - s e re prése nte r m e ntale- tifiqu es est r adi cal em en t mêm es et n 'o nt au cun diff é re nt de ce lu i des beso in d e D ieu po ur «Si on soumet tout à la rai- vé rités d iv in es.

La rai - l es gara nti r.

Croi re , son , notre religion n'aura so n m e pe rm et d e déco u- co mm e le fa it M ale - rien de mystérieux et de vrir des vé rités ma thé- br anc he, qu e les l ois surnaturel .• Blaise Pascal, mati qu es ou ph ysiqu es.

m athé matiq ues de la Pensées Mais p o ur accé d er à na tu re so nt un e exp res - la connai ss a n ce d e si on d e la to u te- p uis- m ent des vé rités, ce n'est Di e u , je doi s abdiqu er sa n ce div ine , c' es t en pa s al le r l es co ntemp le r ma rai son et utilis er reste r à l' état théo lo- dan s la ré a li té divine.

mon «cœ ur », c'est- à - gigue, c'es t avoir recours Dieu , ce rte s, garantit dir e m a spiritualit é, a u surn a tur el pour expli - que je ne m e tromp e mon s e ntim ent mys- qu er les vér ités nat u- p a s.

Mais lui -mêm e tiqu e.

Le m ys ticis m e es t re lies.

est au -delà du mond e supérie ur au r a tionalism e.

On n e peu t pas m éla n ge r l a co nn aissanc e ra ti o nn elle , sc ie ntifiqu e, et l e m ys ticis me.

La co nnaiss an ce de Di e u est affair e de foi , d e s piritu alit é.. »

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