LA CIVILISATION GRECQUE - L’INFLUENCE DE LA GRECE SUR L’EUROPE

« Table des matières INTRODUCTION I.

LA CIVILISATION GRECQUE............................................2 1.

L’organisation territoriale de la Grèce : les cités-états....2 2.

La vie quotidienne dans le monde grecque : riche en découverte...................................................................3 II.

L’INFLUENCE DE LA GRECE SUR L’EUROPE.......................4 1.

La naissance de la philosophie....................................4 2.

Le rôle de la philosophie dans la civilisation européenne : l’epoque hellénistique ...................................................6 CONCLUSION INTRODUCTION Lorsque l’on parle de Grèce Antique ou de monde Grecque Antique, on fait référence au développement d’une civilisation dans les environs de ce qui est devenu la Grèce mais à l’époque de l’Antiquité.

Pour rappel, l’Antique est la première période de l’histoire.

Elle débute à la découverte de l’écriture (-3000) et prend fin à la chute de l’empire romain (476). En effet, à l’époque de l’Antiquité, les grecs s’installent au-delà des frontières de la Grèce actuelle devenant ainsi un grand empire constitué de la Grèce elle-même et des différentes colonies fondées.

La Grèce étant le seul peuple de cette époque à mettre en place une organisation structurer, va contaminer ces peuples dit barbare qui vivaient sur les autres territoires plus précisément sur le territoire constituant aujourd’hui l’Europe.

Cette civilisation apportée par la Grèce poussera l’on à affirmer que la Grèce est le berceau de la civilisation Européenne donc l’Europe de l’Europe.

Si telle est le cas, alors demandons pourquoi dit-on que la Grèce est l’Europe de l’Europe ? Autrement dit pourquoi dit-on que la Grèce est le berceau de toute la civilisation Européenne ? Quels sont les éléments qui justifient que la Grèce est à l’origine de la civilisation Européenne ? Pour répondre à ces préoccupations, nous tenterons de présenter la civilisation de la Grèce Antique et ensuite montrer son influence sur l’Europe d’aujourd’hui. I. LA CIVILISATION GRECQUE 1. L’organisation territoriale de la Grèce : les cités-états Dans la période Antique, la Grèce ne formait pas un seul pays.

Elle était constituée de plusieur ville indépendante appelé cités-états.

Chaque cités-états avait sa propre organisation, sa propre gouvernance, sa propre loi, sa propre armée, et sa propre monnaie.

Dériver du terme Grecque polis qui signifie « ville », les cités-états était de véritable lieu de civilisation, arrachée à la sauvagerie.

Des communautés permettant de faire accéder les individus à une vie pleinement humaine.

Athènes, Spart et Thebes étaient les plus grande cites-états et ils avaient des particularités que nous tenterons d’exposer : - Athènes En -500, Athènes était la plus puissante des cités-états.

Elle portait ce nom pour honorer la déesse Athéna (déesses de la sagesse).

Parmi les nombreux héritages de cette période, on trouve le système politique démocratique mis en place par vers l’année -500.

Ce sont les athénien qui invente la démocratie c’est-à-dire le régime politique où c’est le peuple qui a le pouvoir et non le roi.

Le mot politique vient du mot grec « polis » qui signifie cité. Même ci le système politique d’Athènes présente une avancée par rapport aux autres systèmes de l’époque, il comporte encore des inégalités.

C’était une ville peuplé de plus de 250.000 personnes divisé en catégories sociales : les citoyens, les non citoyen (les femmes, les métèques, les affranchies et les esclaves).

Ainsi nous nous rendons compte que notre civilisation actuelle repose sur les bases politiques qui ont été jeté à Athènes au Vème siècle. - Sparte Contrairement à Athènes, sparte n’était pas une démocratie mais une aristocratie.

En outre, les spartiates étaient un peuple de guerrier.

C’était la seule cité à avoir une armée professionnelle constante.

A sparte, les garçons intègres l’école militaire dès l’âge de 7ans et sont définitivement intégré dans l’arme à l’âge de 20 ans.

Cela montre bien qu’il existait une bonne organisation et une bonne formation.

A force de constamment ce préparer au combat, ils délaissaient certain secteur tel que l’agriculture, la construction, l’artisanat et le commerce aux mains des habitant libre mais non citoyen et des esclaves. - Thèbes Thèbes se situe non loin de la vielle d’Athènes, au centre de la Grèce.

C’était une ville centrale qui avait une importante économique pour toute la région.

Comme il y a peu de montage dans cette région, des routes se développent.

La ville de thebes est associée à plusieur mythe.

Elle fut détruite par la macédoine et reconstruite quelque année plus tard mais malheureusement perd son influence. 2. La vie quotidienne dans le monde grecque : riche en découverte Une brillante civilisation va se développé autour des cités-états de la Grèce antique que ce soit au niveau de la culture donc des traditions, des coutumes, des croyances, mais aussi au niveau des domaines artistique comme la sculpture, la peinture ou l’architecture.

Les grecs ont aussi développés la plupart des sciences.

Notons que les mots comme « politique », «démocratie»,«économie»,«histoire»,«biologie»,«physique»,«ethique»,«mathematique», «logique», «théorie», «méthode», «idée», «système», - pour ne citer que quelques-uns – viennent de la Grèce.

Ainsi nous constatons qu’elle a influencé toute la culture de l’Europe telle qu’elle est présenté aujourd’hui.

En effet, comme il a été dit plus haut, c’est en grecs que l’on assiste à l’apparition des sciences telle que les mathématiques, la médecine, la géographie, l’histoire occasionnant le rejet des explications mythologiques en ce qui concerne le monde qui nous entoure.

Quelque exemple, nous avons Hippocrate (-460 à -377) qui explique dans des ouvrages sa manière de soigner, son observation sur les maladies.

Il est dit même qu’il est l’inventeur de la science la médecine.

Aujourd’hui, il est à l’origine des serments que prononcent les médecins après leur formation et avant leur intégration dans le corps médicale et qui les engages à ce comporté selon les règles de la médecine.

Un autre savant du nom d’Archimède (-287 à -212), un savant mathématicien qui inventa des machines de guerre.

Aussi Eratosthène (-276 à -194), mathématicien qui a calculé la circonférence de la terre et a réalisé la première carte du monde.

Bref, même si aujourd’hui toutes ces sciences ont pris une évolution considérable, il convient de reconnaitre leur origine dans la Grèce Antique. - Le divertissement Selon l’histoire, c’est en Grèce, plus précisément à Athènes que des acteurs ont racontés pour la première fois des histoires devant un public lors des fête en l’honneur du dieu Dionysos (dieu du vin).

Aussi, il invente les jeux sportifs tels que les jeux olympiques, un sport pratiqué tous les 4 ans et qui rassemblait une foule immense qui venait de partout pour y prendre part.

C’est de là que vient les jeux olympiques que pratique le monde aujourd’hui. II. L’INFLUENCE DE LA GRECE SUR L’EUROPE 1. La naissance de la philosophie La philosophie est une activité qui met en avant la raison, le désir de comprendre et d’expliquer les choses.

Elle trouve son origine dans l’opposition aux explications mythologiques qui jusqu’à lors attribuaient aux dieux tous les phénomènes terrestre.

Cette science propre à la Grèce, à jouer un rôle décisif dans le système Européenne.

Comment a-telle vu le jour ? En effet, Les premiers penseurs à chercher des réponses différentes de celle proposée par la mythologie grecs souvent contradictoire, et peu réaliste sont nommés les présocratiques.

Vers les années – 600, ils développent des théories pour tenter de comprendre le monde.

Ces premiers philosophes étudies la nature et cherches à découvrir ce qui est à l’origine de tout.

L’un d’eux, Thales de millet, pensait que l’eau était à l’origine de toute chose.

Anaximandre qui était son disciple, imaginaire que le principe premier n’est pas l’eau mais quelque chose d’infini appelé le remous.

Anaximène, lui, fait de l’élément premier l’air. Apres ces penseurs constituant l’école de millet, nous avons Parménide et Héraclite qui permettent à la philosophie de prendre un autre tournant, de changer son discours.

Ainsi se pose la question de l’être.

Dès lors l’on s’intéressera à l’être de la chose.

Parménide dira ; « l’être est le non être n’est pas » à entendre par là que la chose existe par elle-même et pour elle-même.

Donc pas besoin de chercher son principe explicatif.

Néanmoins,.... »