La brièveté de la vie

« Devoir Maison : La brièveté de la vie-Sénèque -1/ Une vie heureuse dépend-elle de la quantité de sa durée ? Pourquoi ? Une vie heureuse ne dépend pas de la quantité de sa durée, car elle est assez longue pour celui qui sait s’en approprier et courte pour celui qui la gaspille.

Elle ne dépend donc pas de la quantité de sa durée mais plutôt de sa qualité, du temps consacrer à soi-même.

Un homme qui vie de pendant de longue année en se consacrant à des choses oiseux, la à une vie vaine. -2/ En quel sens peut-on comparer le temps de notre vie à une somme d’argent que l’on possède ? Il est possible de comparer le temps de notre vie à une somme d’argent dans le sens ou les hommes gaspille plus leurs temps à faire des choses insignifiantes, ils oublient la valeurs de ce temps qui leurs est limités.

On peut toujours gagné de l’argent contrairement au temps, il est impossible pour l’homme de revenir dans le passé. -3/ Dans quelle mesure peut-on « perdre son temps » ? L’hommes perd son temps et donc gâche sa vie en se consacrant à des activités vaines, des divertissement et buts inutiles, aux affaires, ne cesse de faire des prévisions pour le future, ne pense à profiter du présent et attendent la fin de leur vie pour réellement vivre.

D’autre encore, perdent leurs temps en le consacrant aux autre et à leurs opinions, les dédiant ainsi une part de leur vie au lieu de la vivre eux-mêmes. -4/ La vie sociale est-elle propice au bonheur, selon Sénèque ? La vie sociale selon Sénèque n’est pas propice au bonheur, on croit pouvoir être heureux en se détournant de leurs condition existentielles en consacrant leur temps à des activités vaines et inutiles ou encore à leur travail, mais en réalité, le vrai bonheur doit être une quête individuelle, basé sur soi-même et la nature, à la recherche de la vertu.

Le bonheur ne peut donc pas être collectif. -5/ En quel sens le véritable bonheur se trouve-t-il dans le temps consacré à l’étude de la sagesse ? Le véritable bonheur se trouve dans le temps consacrer à l’étude de la sagesse, dans le sens où, le sage s’approprie son temps, en a conscience et n’a pas peur de l’avenir, il fait usage sa raison et recherche toujours l’équilibre et l’ataraxie qui désigne la tranquillité de l’âme résultant de la modération et de l’harmonie de l'existence.

Il sait discerné le vrai, indépendamment de la vie social.

Il se consacre principalement à luimême et n’as pas peur de la mortalité.

Ainsi, lorsque le dernier arrivera, le. »