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Introduction à la philosophie esthétique Sherringham, Marc

Publié le 06/10/2024

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« Introduction à la philosophie esthétique by Sherringham, Marc Heidegger (1936-1940) « Six faits fondamentaux de l’histoire de l’esthétique » 1.

L’art grec (grand art) est mis hors de l’estethique car apparu avant la métaphysique qui voit l’art comme permettant aux humains de s'approcher de la vérité transcendante, bien que de manière indirecte, car il ne serait qu'une copie de la copie (imitation du monde sensible qui est lui même une imitation du monde des idées). 2.

Et esthétique la manière dont l'Être se révèle à travers l'art, ce transcende. 3. 4.

L’ésthetique de Platon et Aristote concordance entre Art et Philosophie. Pour Heidegger esthétique apparait à la fin du grand art et de la grande philosophie. 5.

Descarte, le cogito fait bouleversement de la sturcture de pensée de l’être, l’homme devient au centre de tout et l’art/ l’estethique ce limite alors à l’état affectif qu’on lui parle 6.

« L’accomplicement de l’estthetique » melon hegel est « quelle recconait et annonce cette fin du grand art » 7.

Tentative de Richard Wagner de creer « l’oeuvre d’art intégral » mais échec qui signifie l’impasse de la moderne esthétique sur soi et limite l’art à des affects 8.

Nietze met l’art comme solution contre le nihilisme et pour le progrés mais réduit l’art à une psychologie de l’artiste. Lien important entre philosophie et art Pour Goethe l’art n’a pas pour objectif de montrer la « profondeur métaphysique des choses » mais simplement de montrer des phénomènes naturels Paradigme = ensemble de croyances, de valeurs, de techniques et de pratiques qui définissent une manière particulière de voir et de comprendre le monde dans un domaine donné (doit rester assez large pour permettre des variables).

Kuhn le perçoit comme un moyen de recherche qui permet du nouveau, de ne pas ce répéter dans les théories. Dimension permettant de « faciliter l’identification des paradigmes esthétiques à l’oeuvre dans l’histoire de la philosophie » : -1 : création d’une géographie imaginaire du beau (qui, quoi, pourquoi, ou..) « localisation du beau » -2 : réflexion du le « statue du beau » est ce que la beauté est indépendante de l’art? -3 : quel statut à l’art, ou ce situe t’il par rapport au beau -4 : l’appréhension du beau, que nous provoques t’il, nous apporte il?` -5 : La production artistique, comment l’artiste créer son oeuvre, comment ça évolue, change selon l’artiste _____ Chap 1: C’est au IVe que Planton créer les règles et définit les statues du beau et de l’art en mettant en scène l’opposition entre Socrate qui dégage les fondement de la théorie de l’etre ce basant sur l’interogation sur la justice, la vertu et la beauté, et les sophistes Hippias majeur: (définition du beau par Platon).

Définition de ce qui ne peut l’être; pas de raiponce satisfesante autre que « ce qui est beau » Nouvelle méthode, beauté est toujours particulière elle est toujours montré, présenté (« ceci est beau »), 3 exemple de la beauté par hippias mais pb « comment fais tu (…) pour savoir ce qui est beau et ce qui est laid » Puis 3exemple de Socrate mais avec limite, problème Pour pouvoir dire ce qui est beau, il faut d’abords savoir ce qu’est le beau La question du beau reste sans réponse définitive Mais 3 charactéristiques générales découvertes : l’universalité, la causalité et l’absolu Dans « l’éthique à Nicomaque » Aristote décris la vie contemplative (mode de vie centré sur la réflexion, la méditation, et la quête de la sagesse) comme « la connaissance des réalités belles et divines » Et quand il parle du premier moteur (Dieu/dieux) il le décris comme parfais et beau P.46: l’éclat de l’etre épistémologique: Étude critique des sciences, destinée à déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée (théorie de la connaissance). La philosophie est présentée comme un désir fondamental de comprendre le monde et la réalité qui nous entourent à Travers la connaissance. « Philosopher, c’est désirer connaitre la réalité » Alors: qu’est ce que la réalité ? (Qu’est ce qui existe vraiment) Qu’est ce que connaitre? (Comment savons nous ce que nous savons? Est ce que l’on sait vraiment?) Question sur la connaissance amène à question sur ce qui est connaissable donc à l’être La connaissance à une définition paradoxale puisqu’elle est est unique alors que les choses auxquelles elle renvoie sont innombrables, elle est inchangée et pourtant en perpétuel évolution..

L’essence de la connaissance doit exister. « La science est à la fois la connaissance de l’être et celle de la définition de la chose », elle permet d’en découvrir plus sur ce qui existe et donc de perfectionner les définitions de ses réalités Définition : Opération par laquelle on détermine le contenu d'un concept en énumérant ses caractères.

(Doit être intelligible) Alors au moyen âge, problème avec les questions de l’existence des « vérités éternelles en Dieu ».

3 arguments pour l’expliquer - La réalité sensible est multiple, hors la multiplicité implique l’unité qui permet celle çi.

Cet unité pourrait alors être dans le monde sensible car non perceptible et elle serait divine. - La réalité sensible est un mélange d’être(chose qui existe) et de nonêtre(chose qui aurait pu être?) Donc pour que les deux ce mêle il fait quelque chose de pur, mais l’être pur ne peut être rencontré dans le monde sensible donc il (référence à Dieu) existe de façon non sensible. - La réalité est contingente (une fleur est soumise au loi de la physique etc..) hors pour que réalité contingentes existent, il faut une chose qui ne dépende de rien pour assurer l’existence de tout ce qui existe.

Celui çi ne peut être trouvé dans le monde sensible donc existe dans le monde non sensible DONC conclusion identique, le monde sensible présuppose l’être intelligible qui permet celui ci Comment définir le monde inteligible et le dit Dieu.

Il faut une unité qui regroupe toutes les autres, c’est le premier moteur, l’idée de bien ou encore l’un La caractéristique essentielle des idées est la suivante : la beauté.

Car l’idée conditionne toute les réalités, les visions. L’idée de bien est comparé par Socrate au Soleil car sa lumière créer sa beauté et qu’il éclaire les objets sensibles (réels) pour la vue (l’un des sens) et le soleil est comparable à l’être premier. « La beauté désigne la plénitude de l’être » donc transcende la réalité « Être beau, c’est être, et être, c’est être beau », « est beau ce qui est pleinement et parfaitement qu’il doit être » Le vrai est lié au bon et au beaule vrai est lié au bon et au beau car beau = utilité (citation du dessus) de l’etre donc vrai et bon. Le beau est inséparable du bien et du vraiLa beauté est la perfection de l’etre, ce qui signifie qu’il y a des être supérieurs et inférieurs, des êtres parfaits et imparfaits Le beau est associé à l’être suprême comme première caractéristique (premier moteurs…) La beauté sensible (perce dans le monde physique), prouve l’existence de l’intelligible (immatériel, parfaite) donc intelligible dans le sensible. Dans la métaphysique aristote précise à son tour: La beauté des idée et la nature mathématique du beau car celon lui beau est associé avec « l’ordre, la symétrie, le définis » qui permettes le « bel object » 1.L’intégralité et la totalité Est beau ce qui correspond entièrement à ce qu’il doit être donc le beau est lié à la totalité d’une unité.

Ce qui est inachevé est considéré comme laid Le beau s ‘oppose au vide. 2.L’ordre et l’harmonie Potin - « l’accord et la proportion des parties entres elles et avec le tout » Le beau réside dans l’ordre et l’harmonie des proportions, de l’ordre.. Le laid serait irrégulier, disgracieux 3.La simplicité et l’unité Est beau ce qui n’est pas complexe inutilement, ce qui est simple et de ce fait transmet au mieux son rôle.

Il ne doit pas y avoir de « parure », des détails non essentiels, supperficiel 4.L’immobilité et la sérénité Pas d’altératon donc de changement du modèle (déformation, modifications..) Le beau doit représenter quelque chose qui dure dans le temps, qui est continue et doit donc éviter la représentation du mouvement qui « tend à la disparition de la forme » donc de l’objet d’origine 5.La félicité Le beau est forcément lié d’une quelconque manière au bonheur et donc au bien.

Il faut alors représenté sa manifestation.

De plus la félicité amène finalement à la divinité par la perfection que le bien apporte. 6.

La clarté Le divin ou soleil étant le summum du bien et du beau, la beauté est liée à la lumière (De plus la lumière créer la couleur) « Tout ce qui dépend de la lumière et qui l’amplifie pourra être considéré comme beau » La clairté s’oppose à la fois à l’obscurité et au flou (rappel à l’intégralité et la totalité) La clarté, la lumière ramène à « l’idée claire et distincte. 7.

La vérité Beauté est nécessairement.... »

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