« Il faut considérer que nous pensons à quantités de choses à la fois, mais nous ne prenons garde qu'aux pensées qui sont les plus distinguées : et la chose ne saurait aller autrement, car, si nous prenions garde à tout, il faudrait penser avec attention à une infinité de choses en même temps, que nous sentons toutes et qui font impression sur nos sens. » Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, 1704. Commentez.
Publié le 22/02/2012
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- « On m'opposera cet axiome reçu parmi les philosophes : qu'il n'est rien dans l'âme qui ne vienne des sens ; mais il faut excepter l'âme même et ses affections |...|. » Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, 1704. Commentez
- « Or l'âme renferme l'être, la substance, l'un, le même, la cause, la perception, le raisonnement, et quantité d'autres notions, que les sens ne sauraient donner. » Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, 1704. Commentez.
- « [...] Il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous, mais sans aperception et sans réflexion, c'est-à-dire des changements dans l'âme même, dont nous ne nous apercevons pas, parce que les impressions sont, ou trop petites et en trop grand nombre, ou trop unies [...]. » Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, 1704. Commentez.
- « Dire : je pense, donc je suis, ce n'est pas prouver proprement l'existence par la pensée, puisque penser et être pensant est la même chose; et dire : je suis pensant, est déjà dire : je suis. » Leibniz, Nouveaux Essais sûr l'entendement humain, 1765 (posth.). Commentez cette citation.
- Explication de texte – Leibniz extrait « préface aux nouveaux essais de l'entendement humain ». Extrait étudié : « Les sens quoi que nécessaires [ …] jamais avisé d'y penser. »