« Hegel, le grand philosophe des temps modernes, a écrit que la lecture du journal était la prière du matin». Commentez et discutez s'il y a lieu.
Publié le 08/07/2010
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Remarque. Ce sujet* peut être traité, dans un sens particulier, en examinant la citation uniquement du point de vue de la pratique personnelle; nous la traitons ici sur un plan général. Il s'agit d'examiner en quoi la lecture du journal peut se comparer à la prière du matin. Vous pouvez d'emblée adopter une conception large du sujet : de nos jours, la lecture du journal se fait aussi souvent le soir que le matin; il faut donc évidemment prendre en compte toute lecture de la presse. D'autres efforts de réflexions préalables sont utiles.
Liens utiles
- Hegel, le grand philosophe des temps modernes, a écrit que la lecture du journal était la prière du matin. Commentez et discutez s'il y a lieu ?
- La lecture des journaux est la prière du matin de l'homme moderne. Hegel. Commentez cette citation.
- Les Goncourt ont écrit dans leur journal : Voltaire est immortel et Diderot n'est que célèbre. Pourquoi ? Voltaire a enterré le poème épique, le conte, le petit vers, la tragédie. Diderot a inauguré le roman moderne, le drame et la critique d'art. L'un est le dernier esprit de l'ancienne France, l'autre est le premier génie de la France nouvelle. Expliquez, discutez, commentez ce jugement. ?
- J. Fourastié écrit dans son livre. Le grand espoir du XXe siècle : « Les machines modernes en prenant pour elles toutes les tâches serviles, qui sont du domaine de la répétition inconsciente, en libèrent l'homme, et lui laissent les seuls travaux qui ressortissent en propre à l'être vivant, intelligent et capable de prévision. » Expliquez et discutez cette réflexion. ?
- Commentez et discutez ce jugement d'André Gide : «J'ai écrit, et suis prêt à récrire encore, ceci qui me paraît d'une évidente vérité : «C'est avec les beaux sentiments qu'on fait de la mauvaise littérature.»Je n'ai jamais dit ni pensé, qu'on ne faisait de la bonne littérature qu'avec les mauvais sentiments. J'aurais aussi bien pu écrire que les meilleures intentions font souvent les pires oeuvres d'art et que l'artiste risque de dégrader sont art à le vouloir édifiant.» (Journal, 2 se