Hannah Arendt, Condition de l'homme moderne
Publié le 28/03/2016
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est devenu maintenant un remplacement pour des tâche non pas pénible au niveau poids, habilité à le
déplacer, mais à la facilité et la simplicité à le faire, qui créer une sorte de fainéantise.
Selon Arendt, l’homme est un fabricateur d’outil.
Ils ont permis toute sortes d’activité permettant de les
réalise.
On voit que le travail est le même rythme qu’une machine ou un ordinateur.
Mais tous ces développements ont fait perdre l’Homme.
En effet l’invention du train à Charbon est une
nouvelle innovation mais qui permet de diffuser des choses et en utiliser pour autre chose, tout comme
l’Electricité, qui a donné ensuite l’Arme atomique.
On peut dire que Arendt dénonce que ses innovations sont
intéressante mais tout nouvelle chose inventé, va être poussé pour ensuite en connaissance ses paramètre en
faire des armes ou utilisation redoutable de ce que cela l’aurai été au début.
Le travail caractérise l'animal
laborans.
Le travail consiste à subvenir à ses besoins vitaux et s'inscrit donc dans le cycle biologique de la vie.
Immergé
dans la nature, il n'est pas fondamentalement humain.
Il produit l'éphémère c'est-à-dire ce qui, étant destiné à
la consommation, n'a aucune permanence.
L'œuvre caractérise l'homo faber.
Dans cette seconde partie, Arendt différencie l’instrumentalisation de
l’animal laboris, puis l’instrumentalisation et homo faber.
Œuvrer, c'est construire des objets faits pour durer
c'est-à-dire qui soient destinés à l'usage et non à la simple consommation.
Sont des œuvres les maisons, les
temples, les peintures, les poèmes etc.
Le fabricateur est, certes, isolé mais il participe au monde commun
dans sa production d'objets durables.
Sur la place du marché, le fabricant est en rapport avec ses semblables
mais par l'intermédiaire des objets.
Il n'y vient pas voir des hommes mais des produits.
La production de
l'œuvre s'effectue au prix d'une destruction agressive de la nature et l'œuvre est toujours asservie à une fin
utilitaire.
L'œuvrer est " entièrement déterminé par les catégories de la fin et des moyens
Un peu plus tard dans le livre, on constate que Arendt va nous dire que l’animal laborans va venir détrôner
l’homo faber, et par ses activité va s’imposer.
Le développement du marché est aussi un changement de
l’Economie, on va inciter et se montrer plus facilement devant eux afin de les forcer d’acheter en présentant
que les côtés positifs des produits.
Les gens ne se décide plus à se déplacer dans l’entreprise si ils en ont besoin
et peuvent acheter des choses qu’i trouvent intéressant mais ne voulait pas.
2) Le développement technico scientifique est aussi développer au cours du temps, et ce développement fait
aussi que son reste encore très complexe et mal maitrisé que l’on ne peut pas tous les comprendre et met en
place de soucis de langage.
L’automatisation permet de libérer aussi l’Homme des tâches pénible.
Donc
l’Homme rencontre une diminution de travail avec cette automatisation.
Par rapport à cette automatisation,
les hommes ne sont plus seulement libérés des travaux pénibles, amis aussi libéré des travaux
« chiants »c’est-à-dire simple et qui ne sont pas agréable à faire.
L’homme se retrouve donc peu à peu à ne plus
rien faire.
Mais le développement scientifique a aussi ses faiblesses.
Les grandes découvertes et l’invention du bateau ont
permis de naviguer, donc découvrir et donc voir des choses nouvelles.
Ce qui est découvert sont les nouvelles
richesses et nouvelle terres qui seront plus tard pollué ensuite par les Hommes.
La modernité en est
responsable.
Arendt critique donc les inventions et les réalisations des plus grands scientifique comme Galilée,
Kepler, etc… La théorie de Galilée est aussitôt vérifiée par ces développements, notamment ici le télescope..
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