Goethe écrit : « On n'est jamais trompé, mais on se trompe. » Montrez le rôle de la volonté dans la croyance.
Publié le 27/02/2008
Extrait du document
163). Cependant, l'action reste
bien mienne; elle résulte de ce que je suis et j'aurais pu échapper à
l'immersion. Beaucoup de nos erreurs s'expliquent ainsi : nous nous laissons
entraîner par nos habitudes, nos préjugés, notre milieu.
b) Mais au sens fort, le verbe réfléchi est pris au sens actif et exprime une
action que l'agent fait sur lui-même : on se regarde dans la glace. Dans cette
acception, «se tromper» signifie : se mentir à soi-même ou du moins s'induire
soi-même en erreur. L'erreur alors semble volontaire. Mais cela est-il possible
et pouvons-nous croire ce que nous voulons ?
II. LE RÔLE DE LA VOLONTÉ DANS LA CROYANCE.
A.
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