Freud commentaire: (Freud, Malaise dans la civilisation, chapitre VII)
Publié le 13/10/2023
Extrait du document
«
Freud analyse bc why not
.
On ajoutera : même celui
qui n’a pas fait ce mal, mais qui a perçu en lui la faculté originelle, pour ainsi dire
naturelle, de distinguer le bien et le mal.
Le mal n’est souvent pas du tout ce qui
est nocif ou dangereux pour moi, c’est au contraire aussi quelque chose qu’il
souhaite, qui lui procure du plaisir.
Là se manifeste donc quelque influence
étrangère celle qui détermine ce qui devra s’appeler bien et mal.
Puisque ses
propres sentiments n’auraient pas conduit l’être humain sur la même voie, il faut
qu’il ait un motif pour se soumettre à cette influence étrangère : la peur de
perdre l’amour.
On appel cet état : > mais en vérité il
ne mérite pas ce nom, car à ce stade la culpabilité n’est que la peur de perdre
l’amour, une peur >.
Chez le petit enfant, ce ne peut jamais être
autre chose mais même chez beaucoup d’adultes cela ne change plus, sinon que
la place du père ou des parents est prise par la communauté humaine plus vaste.
C’est pourquoi ils se permettent de faire le mal, pourvu qu’ils soient sûrs que
l’autorité n’en saura rien ou ne pourra rien leur faire, et leur peur est uniquement
d’être découverts.
Il n’intervient un grand changement qu’à partir du moment
où, par l’instauration d’un surmoi, l’autorité est intériorisée.
Ce n’est qu’à partir
de là qu’on devrait parler de conscience morale et de sentiment de culpabilité.
Désormais même la peur d’être découvert n’a pas lieu d’être, et à plus forte
raison la distinction entre faire le mal et le vouloir, car devant le surmoi rien ne
peut se cacher, même les pensées.
>>
(Freud, Malaise dans la civilisation, chapitre VII)
Introduction :
Ce texte provient de l’œuvre Malaise dans la civilisation de Freud, cet écrit à pour
sujet la conscience morale il est introduit notamment par l’évocation du
sentiment de culpabilité et l’interprétation du bien et du mal, comme étant la
base de la conscience morale.
Nous allons voir que les enfants d’après Freud ne
possèdent pas cette distinction.
Entre le bien et le mal et c’est que plus-tard en
étant adulte qu’ils auront ce savoir.
C’est là que nous pourrons évoquer
notamment la différence entre être amorale et immorale.
Dans une première
partie nous allons évoquer la construction de la conscience morale, dans une
seconde partie, nous allons évoquer la différence entre un enfant et un adulte au
niveau de la conscience morale.
Comment la morale évolue d'un enfant à un adulte ?
I)
La construction de la conscience morale
A.
Est-ce que la conscience morale est innée ?
B.
L’autorité, fondateur de la conscience morale
C.
La formation de notre surmoi.
II)
La
A.
B.
C.
différence entre la morale d’un enfant et d’un adulte.
Peut-on parler de conscience morale chez un enfant ?
La différence entre un être amorale et immorale.
Le surmoi l’emporte sur le ça.
On peut avoir pour idée que la conscience morale est quelque chose de
naturelle avec le temps, « même celui qui n’a pas fait ce mal, mais qui a perçu
en lui la faculté originelle, pour ainsi dire naturelle, de distinguer le bien et le
mal » (Ligne 3 à 5).
Dans cet extrait Freud nous démontre un sentiment
tellement encrée en nous qu’il nous semble inné.
Néanmoins d’après Freud la
conscience morale n’est pas innée car l’enfant ne peut pas distinguer le bien et
du mal on peut le voir notamment dans cet extrait : > (ligne 9 à 10) a ces lignes Freud nous laisse sortir que ce
n’est pas encore par la propre définition de l’individu du bien et du mal qui est
question.
Mais bien de la peur de la punition causée par l’autorité extérieur, donc
du moment que l’individu, dans ce cas l’enfant n’est pas vu par cette dernière il
peut faire le mal sans avoir de culpabilité véritable, comme l’on peut le voir dans
cet extrait du texte : « la culpabilité n’est que la peur de perdre l’amour, une
peur >.
Chez le petit enfant, » (ligne 11 à 12).
Cette citation nous
laisse penser que Freud veut dire que si l’enfant n’est pas vu par l’autorité
extérieur à lui il ne ressent aucune culpabilité, et si dans le cas qu’il est vu il
ressent une culpabilité pour son acte seulement car il a peur de perdre l’amour.
Il y a une étape supplémentaire qui permet d’inculquer cet autorité au plus
profond de nous, Nous appelons cet autorité intérieur le « surmoi » qui permet
de contrôler nos émotions et nos désirs qui sont symboliser par le « ça ».
C’est
une notion que l’autorité extérieur à l’enfant possède déjà et veut enseigner à
l’enfant, on peut le remarquer grâce à ce passage du texte : « Il n’intervient un
grand changement qu’à partir du moment où, par l’instauration d’un surmoi,
l’autorité est intériorisée.
Ce n’est qu’à partir de là qu’on devrait parler de
conscience morale.
» (Ligne 16 à 17) Ce passage du texte nous laisse penser que
Freud voudrait dire que du moment que du moment que l’autorité n’est pas
intériorisé, le surmoi ne peut pas exister.
Le surmoi permet donc d’après Freud
de posséder une conscience morale.
Chez un enfant l’autorité n’est pas encore intériorisé on peut le voir
notamment d’après Freud grâce à cette extrait : « à ce stade la culpabilité n’est
que la peur de perdre l’amour, une peur >.
Chez le petit enfant, ce
ne peut jamais être autre chose » (ligne) On peut interpréter que Freud voudrait
nous dire que c’est la peur de la sanction qui influence la façon de penser les
actions des petits enfants.
On peut le voir notamment grâce à cet extrait :
« C’est pourquoi ils se permettent de faire le mal, pourvu qu’ils soient sûrs que
l’autorité n’en saura rien>> (ligne) Dans cet extrait Freud veut peut-être nous
indiquer l’extérioration de l’autorité chez l’enfant ce qui prouve d’après Freud que
l’enfant dépend encore de l’autorité extérieur à lui.
Ainsi il ne possède....
»
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