Devoir de Philosophie

fiche lecture hume de la norme du goût

Publié le 26/11/2022

Extrait du document

« Essai sur le goût Des hommes même bornés peuvent remarquer une différence de goût dans leurs connaissances et même si elles ont vécu dans le même Gouvernement avec les mêmes préjugés Les H sont enclins à appeler "barbare" tout ce qui s'écarte de notre goût/compréhension, or un jour on aura notre goût qui sera "barbare" et reproché. - Cette variété de goût est évidente pour tous mais en apparence car en réalité elle est bien plus grande que prévu - Le langage = sert à exprimer le goût = le louange/le blâme : tous les hommes doivent se mettre d'accord dans l'utilisation des termes : on est tous d'accord pour apprécier mais quand il s'agit de critiquer on utilise tous un mot différent.

Au contraire dans la science = la différence n'est pas dans les mots (détails) mais dans les points de vue. D'après hume une explication du terme (étymologie) suffit à arrêter le débat et les gens sont étonner de se rendre compte qu'ils s'engueulaient alors qu'ils étaient d'accord. - ceux qui fondent leur moralité sur le sentiment = rattachent l'éthique à la première observation et affirment lorsqu'on parle de manière/conduite qu'il y a une différence entre les hommes bien plus grande qu'on le voit.

En effet tous les écrivains peuvent importer l'époque sont pour "la justice/l'humanité/la magnanimité/ la prudence/ la véracité" - Notre accord de nos valeurs sont dû à l'influence de la simple raison cependant on peut admettre qu'il y a une harmonie de nos morales car on utilise les mêmes mots "vertu" = existe dans toutes les langues (ou à un équivalent) - EX : Homère = personnifie les héros = jamais contredit - on se sent fière quand on utilise des mots vertueux mais on ne fait pas plus que les mots : EX : charité = on ne le fait pas - il est naturel pour nous de chercher "une norme de goût" = "une règle par laquelle les sentiments divers des hommes puissent être réconciliés, ou du moins, une proposition de décision, qui confirme un sentiment, et en condamne un autre." - la différence entre le jugement et le sentiment est très vaste : tout sentiment est juste parce qu'il ne renvoie à rien d'autre que lui-même et il est toujours réel peu importe où est l'homme MAIS tout jugement " déterminations de l'entendement" n'est pas juste car elle renvoie à qqc au-delà = la réalité et qu'elle n'est pas tjrs conforme à la norme = parmi toutes les opinions il y en a une et seulement une qui est juste est vraie - un millier de sentiment sont juste car ils ne représentent pas l'objet - la beauté n'est pas une qualité inhérente aux choses elles-mêmes / elle existe seulement dans l'esprit des gens et chaque esprit peut percevoir de la difformité là ou l'autre voit de la beauté = TOUT INDIVIDUS DEVRAIT ETRE D'ACCORD AVEC SON PROPRE SENTIMENT SANS PRETENDRE REGLER CEUX DES AUTRES - il est inutile de de discuter des goûts = axiome à étendre ça aux goûts mentaux et physiques - cet axiome devient proverbe : et des gens utilise se sent commun pour le détourner (restreindre/modifier) pour dire ou lié deux choses qui n'ont rien à voir = affirmer qu'une mare est aussi grande que l'océan = le principe d'égalité des goûts n'existe plus et on a juste un paradoxe/"absurdité tangible" car des objets disproportionnés sont comparés ensemble - mais aucune règle n'est fixée par des raisonnements (a priori) et ne peut être considéré comme une conclusion "abstraite" - le fondement de ces règles est le même que pour les sciences = L'Expérience = que des observations générales concernant ce qui a plu universellement dans tous les pays et à toutes les époques = et même si la beauté est fondée sur la fausseté vaut mieux ça que de réfréner l'imagination ce qui a créé des œuvres juger laide par l'expérience universelle. - EX : Aristote plait mais pas pour son histoire mais car c'est clair, vif, varié et il y a des passions naturelles - Si notre plaisir était né de ses poèmes qu'on trouve "défauts" ça ne serait pas une objection à l'esprit critique = ça serait seulement une objection aux règles particulières de l'art qui établiraient que de tels détails puissent être des fautes et les ont représentés comme universellement blâmables.

S'ils se trouvent plaire = ils ne sont pas/ plus des fautes = ils procurent un plaisir inattendu et inexplicable - Mais même si toutes les règles de l'art sont fondées sur l'expérience et l'observation des sentiments communs de la nature humaine = ne pas imaginer que à chaque fois les sentiments seront conformes aux règles.

En effet il faut beaucoup de circonstances favorables pour avoir tel sentiment avec exactitude selon leur principe établis.

La moindre entrave / désordre perturbe tout et dérègle la machine - il faut une disposition convenable pour faire une expérience juger = avoir une sérénité parfaite de l'esprit, un recueillement de la pensée, une attention voulue à l'objet = dès lors il y a une relation obscure qui se crée entre la forme et le sentiment et il faudra une grande précision pour trouver ce sentiment - nous sommes capables d'affirmer l'influence du sentiment pas par la beauté particulière de l'œuvre mais plutôt par l'admiration durable qui reste avec l'œuvre (c'est pour ça qu'elles ont survécu à la fantaisie et à la mode et autres erreurs dû à l'ignorance et à l'envie) - EX : Homère = a plu à Athènes il y des années et malgré tous les gouvernements et toutes les époques il plait toujours - un préjugé peut donner une gloire à un artiste mauvais mais ça sera temporaire face à un "vrai génie" plus les œuvres durent plus elles sont partagées et plus l'admiration est sincère et donc elles durent - Même si l'envie et la jalousie peuvent obscurcir la vue qu'on a de l'œuvre, lorsqu'on voit la vraie beauté de l'œuvre alors on est ébloui et "tant que le monde dure, elles maintiennent leur autorité sur l'esprit des hommes’’ - Dans toute créature il y a un état sain et un état déficient mais seul l'état sain peut nous offrir une vraie norme du goût et du sentiment.

Enfin que si on peut trouver dans l'état sain une uniformité complète ou importante des sentiments parmi les hommes, qui permet d’avoir une idée parfaite de la beauté.

Or il y a de nombreux organes qui affaiblissent ou interdisent l'influence de tout ça et nous empêche notre sentiment de la beauté ou de la laideur (car ils en dépendent).

Même si certains objets dans la structure de notre cerveau sont faits exprès pour nous faire plaisir mais on ne doit pas s'attendre à ce que tout le monde aime pareillement.

Il y a toujours une exception qui empêche de ressentir pareil. - Certains échouent à ressentir le sentiment de la beauté dû à un manque de délicatesse d'imagination dont on a besoin pour prendre conscience des émotions fines. - il y a une grande ressemblance entre "le goût de l'esprit" et "le goût physique" mais l'un est interne et l'autre externe, ils peuvent être faible ou mélanger / délicatesse de goût : les sens sont assez déliés pour que rien ne leur échappe mais assez éloigner pour sentir charque ingrédient - Et grâce à la délicatesse de goût les règles de l'art sont utile car si elle n'avait pas été codifié alors le jugement d'un homme aurait été préférable à un autre et il n'aurait pas été facile de réduire au silence un homme qui à faux/ qui manque de délicatesse. - la perfection du goût mental= une perception rapide et perçante de la beauté et de la difformité et personne ne peut être content de son jugement s'il à oublier ou s'il soupçonne une imperfection et donc dans ce cas la perfection de l'homme et du sentiment sont liés. - ce jugement est important car il fait s'accorder tous les sentiments de l'humanité et donc dès qu'on fait preuve de délicatesse de goût on peut être sûr qu'on sera apprécié = le meilleur moyen de le montrer = faire appel aux modèles et principes qui ont été établis avec l'accord de tous durant des siècles. - Certes on est tous différent donc avec des différentes délicatesses de goût mais au contraire ça permet de parfaire cette faculté - lorsqu'on voit pour une première fois une œuvre : le sentiment est confus et obscure, l'esprit est incapable d'être certain sur les qualités/défauts, il est désordonné, il peut maximum dire si c'est en général beau ou laid = car il est dépourvue à ce point d'expérience - mais si vous laisser une personne acquérir de l'expérience, elle pourra gagner en exactitude et perfection en gagnant un sentiment clair, distinct, qualitatif, précis.

Et l'ombre du début se dissipe. Conclusion= la pratique que tu gagnes en travaillant, c'est la même chose pour apprendre à juger - si on veut persévérer dans la pratique du jugement, il faut comparer constamment, ça permet de fixer les louanges ou blâme et d'ajuster le degré pour juger - qqn habitué à contempler est la seule personne ayant une habilité à juger et à assigner le rang dans les productions de génie - pour arriver plus rapidement à juger il faut se vider de tout préjuger : rien prendre en considération, et toute œuvre d'art doit être considérée d'un point de vue particulier - le spectateur de l'œuvre doit se placer dans la même situation que l'auteur pour pouvoir apprécier véritablement l'œuvre - de la même manière quand une œuvre s'adresse au public, si on a de l'amitié pour l'auteur, on doit se détacher de cette situation, en le considérant comme un homme normal, tout comme moi où je dois m'oublier pour mieux juger l'œuvre.

Un homme sous préjuger est juste obstiné et ne se place pas dans le point de vue demandé pour.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles