fiche de lecture sur Rousseau, du contrat social chapitre 1 et 4, Hobbes le léviathan chapitre 13 et 14
Publié le 31/10/2013
Extrait du document
«
détruisent pas les biens priv és : « M ême en pleine guerre un prince juste s’empare bien en pays ennemi de tout ce qui
appartient au public, mais il respecte la personne et les biens des particuliers ; il respecte des droits sur lesquels sont
fond
és les siens » selon Rousseau, à partir du moment o ù l’homme d épose les armes ce n’est plus une menace.
Enfin, Grotius n’a que pour fondement la loi du plus fort. Pouvoir faire un homme esclave n’est pas venu du droit de
tuer, mais c’est un
échange inique. Ces personnes ont donc cr éé une convention de l’esclavage, ils ne surprirent surtout
pas la guerre, il la continue.
Aucune personne n’a droit sur une autre, les mots esclavage
être droit sont contradictoire, car c’est ill égitime et que ce
droit est absurde.
· Hobbes, le L
éviathan
- Chapitre treize : de la condition naturelle des hommes en ce qui concerne leur f
élicit é et leur mis ère.
Ce Treizi
ème chapitre du L éviathan a pour th ème : la guerre et les hommes. Hobbes va mettre en évidence pour lequel
les hommes sont toujours attir
és à se faire la guerre et trouver des raisons dans les lois fondamentales.
Les hommes ont naturellement des aptitudes
égales. Les hommes sont égaux par rapport aux facult és du corps et de
l’esprit. Chaque homme peut avoir des facult
és plus grandes qu’un autre (corporelle ou intellectuelle) pour dominer.
Les facult és de l’esprit seraient l’ égalit é la plus parfaite. Les hommes ont mal à croire que d’autres peuvent avoir la m ême sagesse. « Car ils voient leur propre esprit de tout pr ès et celui des autres de loin » Les hommes sont dans leurs natures plus égales qu’in égales. « Car d’ordinaire, il n’y a pas de meilleur signe d’une distribution égale de quoi que ce soit, que le fait que chacun est satisfait de sa part » L’origine de la violence chez les hommes. « C’est pourquoi, si deux hommes d ésirent la m ême chose alors qu’il n’est pas possible qu’ils en jouissent tous les deux, ils deviennent ennemi » la violence viendrait de l’ égalit é entre les hommes, car ils veulent tous dominer donc il devienne ennemi et l’un dans d’eux devient le faible. Il y aura toujours une concurrence entre les hommes. Ils peuvent s’entraider, mais il y aura toujours agresseur nouveau. Certains hommes voudront toujours avoir le dernier mot et écraser les autres. Cette partie de la population veut le pouvoir, ils veulent toujours plus. « En, cons équence, un tel accroissement de l’empire d’un homme sur un autre, étant n écessaire à sa conservation, doit être permis » Les hommes cherchent souvent une personne sup érieure afin de canaliser la population. La guerre est l’ état naturel de l’homme. Selon Hobbes, il y a trois causes a la guerre : la rivalit é qui entraine l’offensive des hommes (sur sa famille, biens) donc la violence apr ès il y a la m éfiance pour leur s écurit é, mais se r ésum é a des confits sans aucun int érêt. Enfin, les hommes sont fiers, ils veulent d éfendre leur famille, leurs biens. Les hommes ont besoin d’une personne sup érieure, car ils ne peuvent pas se canaliser seuls ce qui entraine une guerre perp étuelle. « De m ême nature de la guerre ne consiste pas dans un combat effectif, mais dans une disposition av érée, allant dans se sens, aussi longtemps qu’il n’y a pas d’assurance du contraire » A chaque fois que les hommes sont guerre, le reste de la vie ne fonctionne pas : le commerce, la culture et alors « la vie de l’homme est alors solitaire, besogneuse, p énible, quasi animale, et br ève ». »
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