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Fiche de Lecture - l'Apologie de Socrate

Publié le 13/02/2013

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Charlotte LAFEUILLE 1ere LFiche de lecture sur l'Apologie de Socrate Avant le démarrage de notre ère, exista un homme: Platon. Son nom, signifiant "large" provoqua plusieurs interprétations dès l'Antiquité. Né en 428 avant J-C, issu d'une riche famille athénienne, il reçu une education du corps et de l'esprit. Vers 408, il aurait commence à suivre l'enseignement de Socrate. Cependant, l'époque est trouble, en effet le contexte politique est complexe, les différentes cités d'Athènes s'affrontent et les hostilités s'achèvent sur une Athènes perdante contrainte de mettre en place un régime de collaboration, auquel participle deux oncles de Platon. Rêvant de faire carrière dans le monde politique, le régime met comble à la corruption et Platon doit remettre à plus tard son engagement dans la vie publique. Sa rencontre avec Socrate, à l'age de 18 ans, lui a fait ouvrir les yeux sur la réalité du monde. Il a en effet communiqué au jeune homme une conception élevée de l'importance des enjeux de la politique. Mais la mort de Socrate s'avère pour Platon un traumatisme qui changera le sens de sa vie. Il a de nouvelles ambitions et ne rennonce pas a sa carrière politique mais il entreprend un long detour théorique, ce sera un politicien philosophe qui aura pour mission de réaliser Justice, Sagesse, Bien et Bonheur... La mort de Socrate lui permet également de faire revivre d'une façon symbolique son idole en réhabilitant sa mémoire, d'explorer et de tester ses méthodes tout en poursuivant sa quête des valeurs notamment grâce à des dialogues. Vers 390, il s'embarque cependant pour un voyage en Méditerranée, où il passe par l'Egypte mais qui le conduit en Italie du sud où il rend visite à Archytas (disciple de Pythagore). Il ira ensuite en Sicile où il rêve de devenir le conseiller du tyran de Sycrause, Denis Ier. Son attente sera déçue, il se fachera rapidement avec lui.De retour à Athènes, il fonde en 387, u...
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« Socrate transporté tout autour de la scène, declarant qu’il s’élève dans les airs en débitant mille autres fadaises sur des questions auxquelles, de près ou de loin, je n’entends rien.”.

La question de savoir si Socrate enseigne à prix d’argent est également posée (19 e): “si vous avez entendu dire que j’entreprends d’instruire mes semblables et que je demande de l’argent en contrepartie, cela non plus n’est pas vrai” mais encore Socrate se defend sur sa science et l’Oracle de Delphes (en témoigne par exemple le passage 20d): “Quelle sorte de science? Celle précisemment qui a des chance d’être la science qui convient aux homes” Socrate se fait donc des amis qui n’aiment pas la vérité qui blesse.

En outre, il se justifie sur son enquête auprès des homes politiques, des poètes et des artisans (22 d): “Car j’avais conscience de ne rien savoir, pour ainsi dire, et eux du moins, j’étais sûr de les trouver sachant beaucoup de belles choses.

Et effectivemet (…) en cela ils étaient plus savants que moi” et prouve qu’il n’était pas plus savant qu’eux malgré la haine qui grandit contre lui (23 a): “Oui, c’est cette enquête Athéniens, qui m’a valu tant de haines, de l’espèce la plus pénible et la plus implacable, et celles-ci ont fait naître à leurs tour maintes calomnies et m’ont fait attribuer ce qualificatif de savant.”. Dans les accusations presentes, deux grandes questions font débats: Socrate corrompt- il les jeunes gens ? et Socrate est-il athée ? A celles-ci il se défens à travers deux arguments suivants: (26 a): “Ou bien je ne suis pas un corrompteur, ou bien, si j’en suis un, c’est involotairement, et toi, dans un cas comme dans l’autre, tu es un menteur.” et, il s’affirme en tant que disciple et non chef: (27 d): “Tu dis que je ne crois pas aux dieux, puis qu’à l’inverse je crois aux dieux puisque je crois aux demons.” En ce qui concerne la mission de Socrate auprès des Athéniens, ce dernier se défend d’abord lorsqu’on l’accuse d’être le nouvel Achille ne combatant la mort (28 e): “Lorsque les chefs que vous aviez élus pour me commander m’assignnaient à un poste de Potidée, à Amphipolis, à Délion, je serai resté là où ils m’avaient places, aussi ferme qu’un autre, an bravant la mort”.

De plus, il se justifie sur la manière avec laqeulle il remplit sa mission divine et affirme qu’il est au service d’Athènes, pour lui, il est important de s’entraider car tout les citoyens son égaux: (30 a): “Voila comment j’agirai avec celui qu’il marrivera de rencontrer, jeune ou vieux, étranger ou citoyen d’Athènes, et en priorité avec mes concitoyens, dans la mesure où vous m’êtes plus proches par le sang”. Enfin, dans ce premier discours Socrate se justifie sur son comportemant dans la cite et refuse le terme “demon” pour le qualifier, il explique ainsi que son people regretterait un homme comme lui (31 c): “ Sachez donc que, si vous me condamner à mort, moi tel que je me présente, ce n’est pas à moi, mais à vous-même, que vous ferez le plus de tord.” Il veux prouver qu’il ne se mêle pas de politique en expliquant que c’est un rêve d’enfant duquel il a été détourné et son désintéressement: (31 e): “si j’avais entrepris jadis de m’occuper de politique, il y a belle lurette que je serais mort sans avoir été la moindre utilité ni pour vous ni pour moi.” et determine les conditions exacts des ses conflits avec les democrates mais aussi avec les oligarques, il affirme que suites au conflits entre les sieges, il pris le risqué de se placer du côté de la loi en témoigne: (32 d): “En effet ce regime, si violent qu’il fût, ne réussit pas à m’ébranler par la peur et à me faire commettre une injustice.”.

C’est à la fin qu’il decide de de se justifier et décrire la relation qu’il possède avec ses compagnons, développe ses arguments expliquants ils ont le droit d’être “ami” d’un homme comme lui; d’où (33 c): “vous avez entendu mon explication, Athéniens; je vous aid dit toute la vrité: c’est qu’ils aiment m’entendre examiner ceux qui se croient savants et qui ne le sont pas.” Ainsi, je peux dire que dans ce premier discours, Socrate seul garde sa dignité là où tout les autres la perde: (35 c): “Ne m’obligez donc pas à faire devant vous ce que je juge n’être ni beau, ni juste ni pieux”. Dans son deuxième discours, Socrate se montre bienfaiteur public et pouvre qu’il. »

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