Fiche de Lecture - l'Apologie de Socrate
Publié le 13/02/2013
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Socrate transporté tout autour de la scène, declarant qu’il s’élève dans les airs en débitant
mille autres fadaises sur des questions auxquelles, de près ou de loin, je n’entends rien.”.
La
question de savoir si Socrate enseigne à prix d’argent est également posée (19 e): “si vous
avez entendu dire que j’entreprends d’instruire mes semblables et que je demande de l’argent
en contrepartie, cela non plus n’est pas vrai” mais encore Socrate se defend sur sa science et
l’Oracle de Delphes (en témoigne par exemple le passage 20d): “Quelle sorte de science?
Celle précisemment qui a des chance d’être la science qui convient aux homes” Socrate se fait
donc des amis qui n’aiment pas la vérité qui blesse.
En outre, il se justifie sur son enquête
auprès des homes politiques, des poètes et des artisans (22 d): “Car j’avais conscience de ne
rien savoir, pour ainsi dire, et eux du moins, j’étais sûr de les trouver sachant beaucoup de
belles choses.
Et effectivemet (…) en cela ils étaient plus savants que moi” et prouve qu’il
n’était pas plus savant qu’eux malgré la haine qui grandit contre lui (23 a): “Oui, c’est cette
enquête Athéniens, qui m’a valu tant de haines, de l’espèce la plus pénible et la plus
implacable, et celles-ci ont fait naître à leurs tour maintes calomnies et m’ont fait attribuer ce
qualificatif de savant.”.
Dans les accusations presentes, deux grandes questions font débats: Socrate corrompt-
il les jeunes gens ? et Socrate est-il athée ? A celles-ci il se défens à travers deux arguments
suivants: (26 a): “Ou bien je ne suis pas un corrompteur, ou bien, si j’en suis un, c’est
involotairement, et toi, dans un cas comme dans l’autre, tu es un menteur.” et, il s’affirme en
tant que disciple et non chef: (27 d): “Tu dis que je ne crois pas aux dieux, puis qu’à l’inverse
je crois aux dieux puisque je crois aux demons.”
En ce qui concerne la mission de Socrate auprès des Athéniens, ce dernier se défend
d’abord lorsqu’on l’accuse d’être le nouvel Achille ne combatant la mort (28 e): “Lorsque les
chefs que vous aviez élus pour me commander m’assignnaient à un poste de Potidée, à
Amphipolis, à Délion, je serai resté là où ils m’avaient places, aussi ferme qu’un autre, an
bravant la mort”.
De plus, il se justifie sur la manière avec laqeulle il remplit sa mission
divine et affirme qu’il est au service d’Athènes, pour lui, il est important de s’entraider car
tout les citoyens son égaux: (30 a): “Voila comment j’agirai avec celui qu’il marrivera de
rencontrer, jeune ou vieux, étranger ou citoyen d’Athènes, et en priorité avec mes
concitoyens, dans la mesure où vous m’êtes plus proches par le sang”.
Enfin, dans ce premier discours Socrate se justifie sur son comportemant dans la cite
et refuse le terme “demon” pour le qualifier, il explique ainsi que son people regretterait un
homme comme lui (31 c): “ Sachez donc que, si vous me condamner à mort, moi tel que je me
présente, ce n’est pas à moi, mais à vous-même, que vous ferez le plus de tord.” Il veux
prouver qu’il ne se mêle pas de politique en expliquant que c’est un rêve d’enfant duquel il a
été détourné et son désintéressement: (31 e): “si j’avais entrepris jadis de m’occuper de
politique, il y a belle lurette que je serais mort sans avoir été la moindre utilité ni pour vous ni
pour moi.” et determine les conditions exacts des ses conflits avec les democrates mais aussi
avec les oligarques, il affirme que suites au conflits entre les sieges, il pris le risqué de se
placer du côté de la loi en témoigne: (32 d): “En effet ce regime, si violent qu’il fût, ne réussit
pas à m’ébranler par la peur et à me faire commettre une injustice.”.
C’est à la fin qu’il decide
de de se justifier et décrire la relation qu’il possède avec ses compagnons, développe ses
arguments expliquants ils ont le droit d’être “ami” d’un homme comme lui; d’où (33 c):
“vous avez entendu mon explication, Athéniens; je vous aid dit toute la vrité: c’est qu’ils
aiment m’entendre examiner ceux qui se croient savants et qui ne le sont pas.”
Ainsi, je peux dire que dans ce premier discours, Socrate seul garde sa dignité là où
tout les autres la perde: (35 c): “Ne m’obligez donc pas à faire devant vous ce que je juge
n’être ni beau, ni juste ni pieux”.
Dans son deuxième discours, Socrate se montre bienfaiteur public et pouvre qu’il.
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