Faut-il dire avec Paul Valery que la conscience règne mais ne gouverne pas?
Publié le 05/03/2005
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.).
En outre, par en
voulant rabaisser la c, son but est tjrs de rétablir sa souveraineté (Fr
contre les puissances de l'Ics, Nie contre esprit faibles et un corps
omnipotent(cf. importance de la notion de dicipline et maîtrise de soi),
M contre substructures).
Il semble nécessaire
d'accorder la prééminence à la c : c'est d'elle que le sujet tire sa
légitimité. On peut établir un parallèle entre la constitution d'une
Nation et celle d'un sujet. Cf. analyse de la formation de la Nation par
la personne du Roi chez de Jouvenel, Du Pouvoir. Le point
d'attache de la multitude des sujets/états psychiques est fourni par le
roi/c : le roi incarne et constitue la « c » commune de ce qui n'était
auparavant q'un agrégat disparate. Cf. conception empiriste (notamment
celle de Diderot) de la c, comme ce qui lie un « faisceau »
d'impressions psychiques et qui partant, donne sa consistance et son
identité au moi.
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- Selon André Breton, un poème doit être « une débâcle de l'intellect ». Paul Valéry affirme au contraire : « J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef-d'œuvre d'entre les plus beaux. » Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
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