Faut il desobeir pour etre libre
Publié le 30/05/2019
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Cours de philosophie 2012/2013 Dissertation de philosophie : « Faut-il désobéir pour être libre ? » A l’attention de : Monsieur Lelotte Date de remise : 03.06.2013 HOSTERT Farah Classe : EDUCBAC 2A HOSTERT Farah EDUC BAC 2A 3/06/13 pages -1- Cours de philosophie 2012/2013 Faut-il désobéir pour être libre ? D'après la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen, les hommes naissent libres et égaux en droits. Cependant, cela n’est pas toujours le cas, et je pense que la liberté est une chose qui doit être acquise et qui n’est par conséquent pas innée. Comment faire pour acquérir cette liberté ? Certains affirme qu’être libre, c’est faire ce que l’on veut, de la manière qu'on veut. Le fait de recevoir des ordres d’une tierces personnes veut-il donc dire que celle-ci entrave la liberté ? D’ou ma question faut-il désobéir pour être libre ? Afin de pouvoir développer cette question, je pense qu'il est important de se mettre d’accord sur la compréhension des mots quel détient. Ainsi, la liberté ce définit comme suit : La liberté1 est l’état de celui qui fait ce qu'il veut et non ce que veut un autre que lui ; elle est l’absence de contrainte étrangère. Sens général : Etat de l’être qui ne subit pas de contrainte, qui agit conformément à sa volonté, à sa nature. Une autre définition2 plus détaillée est que dans le mot liberté il y a une racine indo-européenne *lib, que l’on retrouve dans l’allemand Liebe « amour », le latin libido « désir » et c’est la même idée que l’on trouve dans l’usage français du verbe plaire « il me plaît de faire ce que je veux » qui signifie « je suis libre d’agir à ma guise ». Et donc, étymologiquement, quand l’homme libre exerce sa liberté, il exprim...
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- On peut alors citer le sujet en toutes lettres : Pour être libre faut-il satisfaire tous nos désirs ?
- Faut-il être seule pour être libre?
- Faut-il être libre pour être heureux ?
- La liberté s'oppose-t-elle au travail ? Pour être libre, faut-il ne pas travailler ?
- Faut-il dire radicalement que l'homme est, ou n'est pas, libre, c'est-à-dire capable d'agir et de choisir ou vouloir indépendamment de toute contrainte ? Ou bien est-il plus exact de dire qu'il peut se libérer à travers une progression, ce qui sous-entend des étapes à franchir ? Ces deux positions, en fait, se contredisent-elles ?