Faut il chercher le bonheur a tout prix

« Introduction : À première vue, il peut sembler surprenant d'associer le bonheur à la capacité d'apprentissage.

En fait, nous avons tendance à considérer le bonheur comme une intuition, c'est-à-dire à partir de sentiments personnels et directs, car il est difficile d'imaginer un intermédiaire qui puisse nous rendre heureux.

De plus, apprendre, c'est acquérir des connaissances, c'est-à-dire acquérir un ensemble de règles et de méthodes.

Par conséquent, l'apprentissage est bâclé car il repose sur une méthode.

Par conséquent, à première vue, ces deux concepts semblent être opposés.

Il semble impossible d'apprendre un sentiment direct et intuitif.

Cependant, ce concept de bonheur n'est que le concept de doxa qui est l’Ensemble des opinions reçues sans discussion, comme évidentes, dans une civilisation donnée, et il doit être réfutable.

De plus, nous savons qu'apprendre, c'est acquérir des connaissances : la question auxquelles nous tenterons de répondre est donc : Le Bonheur est-il le fruit du savoir et de la connaissance ? C'est pour cela que dans un premier temps, nous tenterons d'expliquer qu'être heureux s’apprends dans une première partie. Dans une seconde, et dans une 2e partie nous essaierons de montrer que le bonheur ne s’apprends pas. - La société a décrit le bonheur comme la capacité de réaliser tous les souhaits.

Mais le désir se définit comme le vœu d'avoir ce que l'on n'a pas, et se caractérise par le manque. Ainsi, satisfaire le désir revient à renouveler ce manque, créant ainsi de nouveaux désirs.

Si l’on suit la définition faite de ce terme, le désir d'avoir plus que les autres en toute chose est un symbole de bonheur. Mais pouvons-nous réduire le bonheur à ce niveau de poursuite constante ?. »