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Extrait 1 : p.46-54 (l.1262-1442)1 Montrez que l’attitude révoltée de Suzanne la condamnera à la persécution

Publié le 15/12/2022

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« Extrait 1 : p.46-54 (l.1262-1442)1 Montrez que l’attitude révoltée de Suzanne la condamnera à la persécution La religieuse Ce texte est un extrait de roman « la religieuse » écrit par Denis Diderot un écrivain et philosophe et encyclopédiste français du siècle des lumières, publier à titre posthume en 1796, alors qu’il était écrit presque 30 ans auparavant.

Ce roman est en effet inspiré de vécu de la sœur de Diderot décédée folle a 28 ans au couvent des Ursulines.

Alors la religieuse est une ouvre à travers laquelle Diderot condamne la société avec son institution principale, l’Église, qui limite la liberté individuelle et exerce une emprise sur les personnes innocentes par l’enfermement imposées, contraire à l’esprit des lumières.

Ce roman se présente sous forme de mémoire d’une jeune religieuse sœur Suzanne qui s’est lancée dans une aventure a la recherche de la liberté injustement dérobée, et qu’après son échappement du couvent elle s’adressait au marquis de Croismare pour solliciter son aide.

Donc dans cet extrait de roman, nous montrerons comment l’attitude révoltée de sœur Suzanne la condamnera à la persécution. Tout d’abord, pour montrer comment latitude de révolte de Suzanne lui apporte de la souffrance et la condamne à la persécution, il est important de mentionner qu’elle a eu beaucoup de perte, la mort de ses parents, mais aussi de la mère de Moni, la supérieure de couvent Deschamps, qu’était très douce et gentille avec elle, contrairement à la nouvelle supérieure sœur Sainte-Christine qui voulait gouverner le couvent et les religieuses autrement.

Suzanne ne l’apprécie pas, ce qu’on comprend clairement dans ce passage « Ah! Monsieur, quelle différence entre elle et l’autre! Je vous ai dit quelle femme c’était que la première.

Celle-ci avait le caractère petit, une tète étroite et brouillée de superstitions ».

Par l’hyperboleexclamation, Suzanne explique la grande différence entre les deux supérieures, puis par des adjectifs marqueurs d’intensité « petit », « étroit » « brouillée ».

On constate aussi que la nouvelle supérieure est rigide avec un caractère difficile, elle oblige les sœurs de porter des chemises ou larges ceintures de crin, comme elle veut remettre en rigueur les punitions corporelles, les privations, les châtiments au quelle madame de Moni avait relancé.

L’utilisation de champ lexical en lien avec le climat malsain qui s’installais dans le couvent pour souligner la réalité vécue, qui est plein de perturbation et de maltraitance, « la maison fut plein de trouble, de haine, de médisances, d’accusations, de calomnies et de persécutions.

». Suzanne n’a pas envie de subir tous les châtiments corporels, et de se conformer à ces nouvelles exigences.

Elle rejette tout ce qui vient de la nouvelle supérieure et donc elle se rebelle et convaincre d’autres sœurs à la suivre, afin de se montrer contre l’autorité de la sœur sainte Christine.

Suzanne prend certaines dispositions qu’on voit clairement dans l’énumération pour manifester ce refus : la première, La seconde, La troisième, la quatrième, la cinquième, et l’utilisation des verbes d’action tels que « jeter, abandonner, renfermer » pour décrire en détail les actions faites par Suzanne pour se révolter.

Comme l’utilisation.... »

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