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EXPOSE DE PHILOSOPHIE MATHEMATIQUE ET VERITE

Publié le 06/11/2023

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« EXPOSE DE PHILOSOPHIE MATHEMATIQUE ET VERITE Page 1 SOMMAIRE INTRODUCTION DEVELOPEMENT CONCLUSION [Tapez un texte] Page 2 Pour certains philosophes l'existence humaine se définit dans le temps : l'oubli, en ce sens, est considéré comme un défaut.

Cependant, d’autres s’opposent à cette conception de la définition de l’oubli pour eux on n'oublie jamais vraiment : on refoule dans l'inconscient les choses mauvaises notamment, ce qui peut être nocif à la stabilité psychique. Donc l'oubli est essentiel pour vivre et rend l'existence supportable. Face à cette polémique l’on se pose la question : Quel est donc la nature de l’oubli ? Pour répondre à cette préoccupation nous avons mené notre étude qui étayera deux grands axes à savoir : Pour commencer nous montrerons que la mémoire est indispensable à l’homme Puis nous expliquerons comment l’oubli peut devenir nocif donc une faiblesse pour la mémoire. Enfin nous démontrerons que l’oublie présente des forces pour la mémoire donc source de bonheur. [Tapez un texte] Page 3 Ce qui distingue l’homme des autres êtres vivants est sa conscience qui lui donne le pouvoir de se représenter ce qu’il vit et ce qu’il a vécu. L’homme est donc un être de mémoire qui a la capacité de retenir le passé dans son esprit, sans que celui-ci soit simplement un gigantesque lieu de stockage mécanique. I- La mémoire comme condition essentielle de l'existence humaine a.

Exister, pour l'homme, c'est se projeter dans le temps On ne peut envisager autrement l’existence humaine que dans le temps. Être humain, c’est avoir nécessairement rapport au temps et, d’une façon ou d’une autre, chercher à le fixer dans la pensée.

En effet, exister, pour l’homme, c’est ne jamais se contenter d’être purement et simplement dans le présent. Le temps pour l’homme est une « distension de l’âme », comme le dit Saint Augustin : l’homme a la capacité de retenir le passé (grâce à la mémoire) et, inversement, d’envisager le futur (grâce à l'« attente »). L’existence humaine se forge donc selon une double tension : à la fois mémoire du passé et attente de l’avenir.

La mémoire, qu’elle porte sur le passé (dans le souvenir) ou bien sur le futur (dans la promesse) est donc bien ce qui caractérise l'homme. Mais nous retiendrons que pour saint Augustin, il n'existe, fondamentalement, qu'un seul temps : le présent. « Du moins est-il limpide et clair que ni le futur ni le passé ne sont rien et que l'expression : trois temps, passé, présent, futur, est impropre, mais que peut-être l'expression propre serait : trois temps, un présent où il s'agit du passé, un présent où il s'agit du présent, un présent où il s'agit du futur.

» (Confessions) Alors que tous les autres êtres vivants vivent dans l'immédiateté, l'homme, lui, garde une trace de ce qu'il fait et son existence est orientée selon le sens qu'il donne au temps. [Tapez un texte] Page 4 II- L’OUBLI FAIBLESSE DE LA MEMOIRE. 1- L'oubli est un défaut de mémoire Si la mémoire définit l’homme, son contraire, l’oubli, semble donc apparaître comme un défaut vu négativement comme une marque de faiblesse.

L’homme, vis-à-vis de son passé, a un « devoir de mémoire », et, s’il oublie ce qu’il a vécu, il est en faute.

On attribue souvent comme rôle à l’histoire de donner des leçons du passé afin de mieux appréhender l’avenir.

Dans ce cas-là, celui qui oublie son passé (le sien ou celui de ses ancêtres) perdra une partie essentielle de ce qui le constitue et aura du mal à faire face au futur.

De la même façon, sur le plan individuel, celui qui devient amnésique perd tous ses repères et même son identité.’ Par conséquent, l’oubli est une perte pour la conscience.

Les absences de la mémoire sont considérées comme des lacunes.

Ce sentiment de manque est redoublé par le fait que nous ne savons pas ce que nous oublions (puisque justement nous l’avons oublié).

Ce qui nous manque nous échappe donc d’autant plus que nous ne pouvons pas même le nommer.

Par conséquent, la mémoire semble davantage caractériser l’existence humaine que l’oubli.

Cependant, si la mémoire nous constitue, ne peut-elle pas parfois nous détruire, au point que l’oubli puisse sembler nécessaire ? 2- L'oubli peut devenir nocif Mais le refoulement n’est pas un oubli pur et simple.

En effet, même lorsque ce qui fait souffrir semble effacé de la conscience, il est toujours présent dans.... »

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