Devoir de Philosophie

explication d'une critique de l'ouvrage de Ramachandran

Publié le 05/11/2012

Extrait du document

PHILOSOPHIE La méthode de l'ouvrage de Ramachandran c'est d'étudier le cerveau pour comprendre l'esprit. En effet d'après lui il y a un lien entre le morphologique et le psychologique c'est pour cela que sa méthode repose sur l'étude des cas pathologiques, pour résumer, il cherche à comprendre le fonctionnement normal de l'esprit en examinant un cerveau anormal. Les présupposés sont nombreux dans ce texte en effet Ramachandran pense qu'il y a de nombreux syndromes, comme le syndrome du « membre fantôme «, cette théorie admet qu'un patient a perdu un membre ou qui a été amputé ressent toujours la sensation que ce membre est attaché au corps .d'après lui cette sensation est due à « une sorte d'activation croisée « entre les signaux du membre manquant et de l'aire touchée car ces aires seraient voisines. C'est pourquoi Ramachandran croit en l'illusion de Capgras qui consiste à faire bouger le membre fantôme d'un patient, en effet c'est un miroir qui donne cette illusion, le cerveau pense donc que le membre est toujours présent, ça lui permet même d'en reprendre le contrôle. Ensuite, Ramachandran émet d'autres présupposés comme celle de la vision aveugle dans laquelle une personne qui est censé être aveugle peut avoir une perception exacte ce qui prouverait que l'information continu de parvenir à un endroit du cerveau abimé. D'après lui cela montre qu'il y a deux trajets nerveux fonctionnant indépendamment : le « nouveau « et le « vieil « Il explique aussi le syndrome de Capgras par l'absence de connexion nerveuse entre la zone du cerveau qui reconnait les visages et les noyaux amygdaliens (qui traitent la réponse émotionnelle) .d'après lui l'explication de ce syndrome n'est pas psychologique mais atomique puisque c'est dû à l'absence de connexion. Un autre de ses présupposés est le phénomène de la synesthésie. Ramachandran persuad&eacut...

« l’enfant qui associait la couleur rouge au chiffre 5. Cette hypothèse l’am ène donc  à ce   qu’il appelle «l’abstraction transmodale   » qui est un autre de ses pr ésuppos és. Il pense   qu’il y a une relation qui unie ce qu’on voit  à ce qu’on entend, ce ph énom ène   expliquerait le langage par exemple. Les «   neurones miroirs   » sont l’un des piliers de ses th éories, en effet Ramachandran   pense que les neurones miroirs permettent d’absorber la culture des g énérations   pr écédentes. Plus simplement les neurones miroirs permettent d’imiter tous   comportement mouvement. Ce sont eux qui d’apr ès Ramachandran ont permis   l’ évolution du langage. Le fait de s’approprier l’identit é d’autrui serait selon lui le r ésultat de l’hyperactivit é des   neurones miroirs. De plus l’autisme serait une d éfaillance du syst ème des neurones   miroirs. Ainsi une autre se ses th éories,   «   inhibition des ondes mu   », est donc v érifi é gr âce aux   th éories pr écédentes. Ramachandran observe que chez un sujet normal, les ondes   c érébrales mu sont inhib és à chaque fois que la personne fait un mouvement   volontaire ou lorsqu’   ‘elle observe une autre personne faire le m ême geste. Alors que   chez un sujet autiste, l’inhibition est pr ésente que lorsque le sujet fait un mouvement   volontaire et est absente quand l’autiste observe quelqu’un faire ce mouvement.

  L’empathie est donc absente chez le malade. Cette maladie r ésulte donc d’apr ès lui   d’un dysfonctionnement des neurones miroirs. Ramachandran conjecture que la particularit é affective des personnes souffrant   d’autisme r ésulte entre, une perturbation du lien entre les cortex sensoriels, ainsi que   des noyaux amygdaliens et du syst ème limbique (impliqu és dans les  émotions)  ce qui   bloquerait les voies neuronales situ és entre.  «   bouba­kiki   » est une autre de ses th éories, en effet c’est d’apr ès lui ce qui a permis   au langage d’ évoluer. Il a constat é qu’il y avait un lien entre la forme d’un objet et le   son et le mouvement de la bouche lorsqu’on dit le mot .c’est ce que appelle   Ramachandran «   synkin ésie   »   Pour conclure avec les origines du langage, Ramachandran pense que le «   bouba­ kiki   », la «   synkin ésie   », la pens ée ainsi que les neurones miroirs se combinent pour   rendre le langage possible. Ramachandran explique un autre pr ésuppos é, celui de «   syndrome du t éléphone   », il   explique qu’un homme ne peut reconnaitre son p ère qu’en lui parlant au t éléphone.

 . »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles