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explication de texte freud L’Interprétation du rêve

Publié le 12/01/2023

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« Freud est un médecin neurologue autrichien né le 6 mai 1856 qui a été le fondateur de la psychanalyse.

Après avoir fait des études de médecine à l'Université de Vienne, il y obtient son diplôme de médecine en 1881, Freud accomplit un stage à Paris, dans le service Dr Charcot, spécialiste des maladies nerveuses.

En 1899, il publie L’Interprétation du rêve dans l’indifférence générale.

La « psychanalyse », dont le terme apparaît en 1896, repose sur plusieurs hypothèses et concepts élaborés par Freud.

D'abord, l'hypothèse de l'inconscient révolutionne la représentation du psychisme.

Sigmund Freud est père de la psychanalyse, moyen de guérir les névroses par l’analyse psychique, qu’il définit comme étant à la fois une méthode d'investigation des processus mentaux, une méthode thérapeutique et une théorie du fonctionnement psychique.

Le fondateur de la psychanalyse, Sigmund Freud, auteur de ce texte paru en 1927, veut montrer que la fonction essentielle de la culture est de protéger l’homme de la nature.

Or, les hommes ont aussi à régler la question de leurs relations mutuelles.

Dès lors, on peut se demander si la culture a bien pour fonction principale la maîtrise toujours plus grande quoique infinie de la nature ou bien si elle a plutôt pour fonction essentielle de permettre à des groupes d’hommes voire à l’humanité tout entière de vivre pleinement ensemble.

Nous essayerons donc de comprendre pourquoi les hommes se rassemblent-ils et surtout pourquoi œuvrent-ils, à ce qu’on nomme culture ou civilisation ? Tel est le problème que Freud tente de résoudre dans ce texte.

Dans un premier temps, nous analyserons pourquoi le projet de maîtrise de la nature est qualifié par Freud d’« illusion », puis dans un second temps, nous expliquerons En quel sens la nature peut-elle être à la fois « sublime » et « cruelle ». Pourquoi une illusion, sinon parce qu’il s’agirait d’un désir irréalisable.

Ce qui implique donc que la nature est toujours plus forte que l’homme.

Pour le montrer, Freud énumère les faits naturels qui, selon lui, empêchent de considérer comme possible la domination totale de la nature sur l’homme.

Ce qui confirme alors qu’il s’agit là d’une illusion.

De tels faits montrant en même temps en quoi la tâche principale de la civilisation reste entière et toujours la même.

Le premier exemple est celui du tremblement de terre.

S’il est vrai que l’homme est impuissant face à un tremblement de terre, il peut ne pas construire sur une zone sismique à partir du moment où il en reconnaît une, ni construire des immeubles qui sont des châteaux de cartes.

Bref, le tremblement de terre frappe plus durement les hommes civilisés que ceux qu’on estime primitifs ou sauvages et qui peuvent reconstruire rapidement leurs modestes habitations.

Est-ce alors la nature qu’il faut combattre ou la démesure humaine ? L’exemple des maladies est intéressant. Freud rappelle que c’est depuis peu qu’elles sont comprises comme le fait d’attaque d’êtres vivants.

Il fait référence à la révolution de Pasteur (1822-1895) qui a découvert les « microbes ». Ainsi c’est l’ignorance qui rendait les maladies immaîtrisables.

La connaissance fait justement espérer qu’on puisse diminuer, voire détruire nombre de maladies.

Dès lors, seule une connaissance absolue permettrait la maîtrise absolue de la nature.

Bref, elle n’a de sens que pour Dieu et il est sûr que l’homme n’est pas Dieu.

Mais certaines maladies sont le fait des mœurs des hommes et non de la nature.

Dès lors, il n’est pas évident que la nature soit dangereuse en ellemême et non l’homme et la façon dont il vit.

À quoi s’ajoute que la façon dont les hommes se traitent les uns les autres est tout autant source de maladies.

Dès lors, il n’est pas évident que la protection de la nature soit pour la culture une tâche plus importante que l’organisation des relations des hommes entre eux.

Enfin l’exemple de la mort quant à lui est probant.

En effet, Freud fait remarquer non seulement que personne ne la maîtrise mais que personne ne peut la maîtriser.

Si les croyants quant à eux admettent qu’ils peuvent avoir l’espérance de la résurrection, les athées qui le nient ne se voient pas réaliser la vie éternelle.

Bref, la.... »

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