Explication de texte de Freud et la religion: le désir humain de savoir

« qu'on ne la ressent pas.

La curiosité de l'enfant est un instinct qui montre l'humanité, cette curiosité qui se traduit comme l'envie de savoir sur tout et apporter la raison rationnelle à un tel phénomène.

Lorsque nous devenons adulte, par la transmission de savoir des écoles, nous essayons d'amener une réponse à un phénomène, comme Franklin qui a fait plusieurs expériences pour prouver l'existence du tonnerre.

Ce processus de la science, qui a pour but d'expliquer un phénomène pour satisfaire le besoin de savoir de l'Homme, peut tout à fait, comme dit Freud, dire que la religion assure la même fonction que la science, car elle aussi, sans preuve, apporte une réponse à un problème.            Ensuite, Freud met un accent sur le fait que son deuxième argument est l'argument principal, laquelle c'est la plus importante, ?C'est à sa deuxième fonction qu'elle doit sans doute la plus grande partie de son influence.

(l.10)?           La religion selon lui n'apporte pas seulement la satisfaction du désir humain de savoir, mais la religion apaise l'angoisse des hommes.

L'angoisse est un sentiment de trouble dont l'on ne sait la raison.

Par exemple, un enfant a peur du noit, alors qu'il ne sait pas pourquoi il a peur.            Mais en allant plus loin, la religion ne fait pas seulement apaiser l'angoisse, mais elle apaise ?l'angoisse des hommes devant les dangers et les vicissitudes de la vie (l.11)?.

La vicissitude qui signifie des événements heureux et malheureux qui se succèdent dans la vie, on peut comprendre que la religion nous apporte de la paix intérieure dans le coeur selon Freud.

Par exemple, si un homme échoue dans son start-up, par la religion, donc la foi, il peut s'expliquer lui-même que comme il y a eu une mauvaise chose, Dieu va l'aider pour son prochain affaire, et il va pouvoir compter sur Dieu pour surmonter sa peine intérieure et tourner la page, pour se relever et recommencer sa vie.

C'est ce qu'il sous-entend  avec ?consolation dans le malheur (l.13)?           La science donc ne peut rivaliser cette fois-ci avec la religion, comme le dit Freud ?La science ne peut rivaliser avec elle (l.14)?, car la science est quelque chose d'objectif, et la science ne peut pas être un abri chez les hommes car on ne peut pas espérer que la science va nous sortir du cauchemar.

Par exemple, si je perds mon Ipad, je ne vais pas espérer que la science va me la retrouver, car la science est seulement un outil que. »