etude de texte durkheim
Publié le 07/06/2021
Extrait du document
«
quelque chose de supérieur à nous.
Le sentiment du devoir à donc pour origine certaine quelque chose de plus puissant que nous , reste
à savoir de qui ou quoi il s'agit.
Mais quel origine est ce que les Hommes ont donné au sentiment du devoir ? Qui est pour eux
cette être supérieur ? Durkheim nous présente alors l'explication courante de ce fait : comme il
nous est difficile de comprendre quelque chose qui semble nous dépasser nous avons inventés nous-
même son origine,par les mythes.
Depuis toujours les Hommes se sont réfugiés dans les représentations pour expliquer, tenter de
donné à un sens à ce monde qui les entours à chaque nouveaux phénomènes qu'ils rencontrent.
Ces
représentations sont ainsi des idées toute faites de certaines choses souvent des choses qui nous
effraient que nous ne connaissent pas ou très peu.
Elles sont censées nous garantir une certaine
sécurité.
Car plutôt que de chercher des réponses logiques qui risquent de nous déplaire nous
préférons fabriquer les réponses qui nous conviennent.
C'est le cas par exemple des religions qui
nous avons créer pour nous donner ce qu'on appelle la sécurité existentielle c'est à dire donner un
sens aux questions existentielle tels que : Quel sens a ma vie ? Dois-je craindre la mort ?
C'est donc dans ce but là/de la même façon que «l'imagination » des Hommes a ressenties le besoins
de créer toute sorte de mythes qui seraient responsable du sentiment du devoir.
En effet Émile
Durkheim qualifie même le sentiment du devoir, ;la voix de «mystérieuse» ce qui a bien sur
précipité l'invention de toutes ces croyances car plus nous nous interrogent sur une chose qui nous
paraît inexplicable plus ces interrogations deviennent une source d'angoisse, nous sommes donc
pressé de lui trouver un sens au risque de se tromper.
A qui avons nous donc attribuées cette voix ?
Comme nous le savons ce sentiment du devoir, cette voix à une grande emprise sur nous que nous
n'avons pas sur elle et bien plus que simplement l'entendre nous la ressentons en nous, de ce fait elle
n'a rien d'une «voix humaine ».
Elle est supérieur et doit donc appartenir à ces êtres « supérieurs à
l'Homme » comme des divinités ou des « personnalités transcendantes » dont le contrôle et
l'existence nous dépassent à l'image de cette étrange voix.
Ces croyances sont tellement rependues qu'elles le sont même chez un grand philosophe comme
Descartes avec son dualisme.
Selon lui l'Homme n'est pas immanent à la nature donc il n'obéit pas à
aux lois de la natures, il serait ainsi porteur d'une âme immatérielle et transcendantes par rapport à
la nature.
Il existerait donc deux ordres de réalités : un ordre matérielle auquel appartient le corps et
un ordre immatérielle auquel appartient l'âme.
Dans celle-ci serait contenue notre conscience
morale qui nous parle avec cette « voie » qui nous rappelle à notre devoir quand bien même nous y
aurions manqué/malgré que l'on ne l'ai manqué.
Mais que deviennent ces « êtres supérieurs » crées
par l'Homme ?
On leur vout un « culte » , on les vénères, les sacralisent puisqu'ils sont supérieurs.
Mais que
signifie en vérité le culte que l'on leur vout ? Pour Durkheim le culte n'est que «le témoignage
extérieur de l'autorité qui leur est reconnue » c'est à dire que par le culte nous leur prouvons que
nous reconnaissons la supériorité de cette « voix » que nous lui montrons notre obéissance et
témoignons donc de l'existence de ce sentiment du devoir qui surgit en nous en dépit de notre gré.
Nous avons donc vu que l'Homme a fabriqué ses propres mythes comme origine du sentiment du
devoir pour y trouver une certaine sécurité , éviter l'angoisse et auxquelles il vout un culte comme
preuve du pouvoir que ce sentiment exerce sur nous.
Ces mythes étant infondés quelle est alors selon Émile Durkheim la véritable origine du
sentiment du devoir ? Il corrige ainsi cette explication courante de l'origine du sentiment du
devoir : nous devons repousser ces mythes car la « voix » nous vient de la société.
Par les mythes nous avons donc tenter d'expliquer d'où venait notre conscience morale et cela.
»
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