Etre conscience nous fait-il grands et misérables ?
Publié le 22/09/2009
Extrait du document
xxx ?
Liens utiles
- Notion de conscience selon les grands philosophes
- Le fantastique, c'est tout ce qui rôde hors de l'homme et dans l'homme et le laisse, la conscience vidée par l'angoisse, sans solution, ni réaction. Le fantastique, c'est la débâcle de la conscience, son impuissance à rendre compte des grands pans d'inconnu qui s'abattent soudain. Ces propos de Louis Forestier vous semblent-ils rendre compte de l'exploitation littéraire du fantastique ?
- «Jamais ou presque jamais les contemporains n'ont eu la moindre conscience de vivre et de créer dans une période classique, réaliste, symboliste ; encore moins n'ont-ils proclamé, comme le guerrier de l'image légendaire : «En avant, chevaliers du moyen âge !» ou «Hardi, hommes de la Renaissance !» ou «Nous sommes les préromantiques»... La réincarnation chère à Pythagore jouerait les plus étranges tours aux grands hommes de terres du passé si elle leur redonnait vie et conscience humain
- Un auteur contemporain dit : « Le public ne cherche pas seulement dans la lecture l’évasion et la distraction, la sensibilité individuelle, le sentiment et la rêverie, il prend également conscience des grands problèmes du monde qui l’entoure. » Vous montrerez, à partir de vos lectures et de Manon Lescaut comment ce jugement se vérifie.
- Un auteur contemporain écrit : « le public ne cherche pas seulement dans la lecture l’évasion et la distraction, la sensibilité individuelle, le sentiment et la rêverie ; il prend conscience des grands problèmes économiques et sociaux, il s’en informe, il s’en inquiète. » Vous montrerez, à partir de vos lectures et de votre connaissance des romans, dans quelle mesure ce genre s’offre en effet comme un divertissement, une possibilité d’évasion, mais aussi comme l’occasion de réfléchir e