Esthétique de Platon et Aristote
Publié le 05/01/2020
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Artistique selon Hegel : \"le beau artistique c’est un infini représenté dans quelque chose » l’idée s’incarne dans l’œuvre d’art. LA caractéristique de l’art est que la pensée y est contraire de s’exprimer à travers ce qui n’est pas elle. Grace a un matériau prélevé dans l’extériorité et plus ou moins réfractaire a la spiritualisation. Hegel pose que l’homme ne serai trouver le réel authentique dans les objets qui s’impose à sa fascination, il voit dans l’art l’instrument médiateur, tout comme Platon, Hegel voit dans l’art l’instrument médiateur. L’Esprit dans l’art élever la réalité à un niveau supérieur en réalisant son accomplissement (l’art comme passeur) et selon Hegel l’homme ces tjrs servi de l’art comme un moyen de prendre conscience des idées et des intérêts les plus élevées de son esprit. L4homme a compris tôt que c’est au-delà de l’impression immédiate et des objets au perçu immédiatement qu’il faut chercher la véritable réalité. Hegel demande aux arts de dégager des formes illusoires et mensongères de ce monde imparfait et instable la vérité contenue dans les apparences pour la doter d’une réalité plus haute créer par l’esprit lui-même. « L'art n’a pas d’autre mission que celle d’offrir à la perception sensible d’offrir le Vrai tel qu’il existe dans l’esprit le vrai dans sa totalité ».
L’art n’imite pas la nature mais révèle l’esprit la particularité légale, la nature opte le même circuits, l’art devient le visage sensible de l’idée. Il n’imite pas il relève, le beau artistique est supérieur au beau naturel parce qu'il est une production de l’esprit, tout ce qui vient de l’esprit est supérieur à ce qui existe dans la nature la beauté artiste et la beauté née est comme deux foyers de l’esprit participant, le spirituel seul est vrai le beau naturel. C’est par l’art que la nature accède à la beauté et par le regard humain, nous ne dirons pas que notre attitude à l’égard des objets est déterminée par leur beauté mais que c’est notre manière de considérer l’objet qui subjectivement est belle part a d’autres fins que celle d’imiter avec habilitée la nature. Le besoin d’art est lié à la nécessité pour l’esprit de se reconnaitre dans un objet extérieur a soit de subjectivé pour pouvoir se saisir, Les choses de la nature n’existe qu’immédiatement et d’une seule façon tandis que l’homme parce qu’il est esprit a une double existence. Il existe à même titre que la nature mais il existe pour soit. Cette conscience de soi l’homme l’acquière théoriquement mais aussi pratiquement afin de se retrouver de se reconnaitre dans les objets qu’il créer. On comprend ainsi que l’art puisse jouer le rôle de miroir renvoyant à celui qu’il contemple une expérience de l’humain et par ricochets. C’est donc ainsi que l’art opéré une valorisation des êtres et des choses mémé les
«
à celui qu’il contemple une expérience de l’humain et par ricochets.
C’est
donc ainsi que l’art opéré une valorisation des êtres et des choses mémé
les plus communes (l’aspire de mannes, les souliers de Van G.) L’art
idéalise le prosaïsme de la vie quotidienne parce qu'il brise tous les liens
de la vie qui nous rattache à l’objet et nous place dans un regard
contemplatif l’art défi en quelques sortes la banalité des objets de famille,
chacun d’eux se dépouille de son utilité et devient un objet de
contemplation.
De l’anonymat quotidien il passe à l’obsession, il contraint
le regard à s’arrêter sur lui tel que l’artiste l’a délesté.
« L’amour, le sens,
l’esprit, l’âme avec lesquelles l’artiste le saisi se l’approprie et ainsi
communique son inspiration donne comme une nouvelle vie à ce qu’il
créer » L’art nous propose un monde magnifier, transfigurer, cela devient
quelque chose d’idéaliser ce qu’il le rend œuvre d’art.
Le moyen de
prédilection, le moyen adéquate est la peinture, "la peintre est à même de
jeter un pont entre l’intérieur et l’extérieur de relier l’un a l’autre, le
dedans et le dehors d’exprimer l’intériorité de l'extériorité totale.
»
« L’opinion la plus courante qu’on se fait de la fin que se propose l’art est
qu’elle consiste à imiter la nature.
Dans cette perspective, l’imitation, c’est
à dire l’habilité à reproduire avec une parfaite fidélité les objets naturels,
tels qu’ils s’offrent à nous constituerai le but essentiel de l’art, et quand
cette reproduction fidèle serait bien réussie, elle nous donnerait une
complète satisfaction.
Cette définition n’assigne à l’art que le bout formel
de refaire à son tour, aussi bien que ses moyens le lui permettent, ce qui
existe déjà dans le monde extérieur, et de la reproduire tel quel.
Mais on
eut remarqué tout de suite que cette reproduction est un travail superflu,
que ce que nous voyons représenté et reproduit sur des tableaux, a la
scène ou ailleurs : animaux, paysages, situations humaines, nous le
trouvons déjà dans nos jardins, dans notre maison, ou parfois dans ce que
nous tenons du cercle plus ou moins étroit de nos amis et connaissances.
En outre, ce travail superflu peut passer pour un jeu présomptueux, qui
reste bien en deçà de la nature.
Car l’art est limité par ses moyens
d’expression, et ne peut produire que des illusions partielles, qui ne
trompent qu’une seule sen.
En fait, quand l’art s’en tient au but formel de
la stricte imitation, il ne nous donne, à la place du réel et du vivant que la
caricature de la vie.
»
W.
GOETHE, Ecrits sur l’art
Art et artisanat (1797)
Manière d’écrire commune entre Hegel et Goethe, un fossé entre les deux
est présent.
L’artiste de ne doit pas vouloir créer une œuvre qui se
rapproche du naturel, le spectateur ne doit pas juger l’art d’après cette
norme de ressemblance.
Un œuvre d‘art parfaite est une œuvre d’esprit
humain, lorsque tout est transitoire dans la nature l’art lutte contre la
destruction (rien est incunable tout a vocation à disparaitre ou a s’altérer).
Si la connaissance de la nature n’est pas nécessaire à l’art il y a dans le
produit de l’art la même unité organique dans le produit de la nature.
L’art.
»
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