ÉPICURE: « une vision claire de ces différents désirs permet à chaque fois de choisir ou de refuser »

« bien être et la sérénité, ceux qui nous rendent « bien ».

Sans eux nous ne somme quasiment rien car il faut pour un être humain, avoir certains désirs car sinon la vie paraîtrait fade et sans but précis.

Bien sur, ces désirs ne doivent pas rendre l’homme vulnérable, c’est-à-dire à la porté du mal que peuvent provoquer les pulsions désireuses qui veulent à tout prix trouver satisfaction.

Grâce aux choix réfléchis à la distinction des différents désirs que nous ferons, nous contrôlerons plus facilement nos désirs et nous ne seront pas tenter par des désirs « inutiles » ou vains qui nous rendrons plus ou moins malheureux. B.

« Nous ne sommes en quête du plaisir que lorsque nous souffrons de son absence ».

Comme nous le savons, la réalisation de certains désirs provoque du bonheur et donc de la satisfaction. Mais lorsque par exemple ce désir est vain, la notion de bonheur n’apparaîtra pas car notre corps et notre esprit seront frustrés de ne pouvoir l’obtenir.

L’être humain normalement constituer a des désirs.

Parmi ceux-ci, certains serons réalisables d’autres non.

C’est pour cela que nous recherchons perpétuellement le bonheur (à par si bien sur nous les réalisons tous). Temps que l’homme n’arrivera pas à ce convaincre qu’il est inutile, il souffrira et sera toujours en quête du bonheur.

Lorsque l’être humain aura fait son choix (distinguer les différents désirs), et choisit ceux qui sont les plus important pour lui, son âme et son corps arrêteront enfin de courir après le bonheur car il viendra de satisfaire en quelque sorte les désirs vains par la seule force de l’esprit.

Son corps sera donc satisfait et ne recherchera plus rien d’autre car le plaisir est bel et bien là, c’est l’orage de l’âme qui vient de laisser place au bonheur tout simplement. III.

Pour l’auteur, il faudrait renoncer à certains désirs pour satisfaire le corps et l’esprit. Opinion personnelle : La question peut surprendre car nous avons tendance à associer naturellement le bonheur à la satisfaction de nos désirs.

Qu’il s’agisse de l’enfant qui obtient le jouet qu’il a désiré ou l’homme qui décroche la promotion qu’il convoitait, le bonheur semble passer par l’obtention de nos désirs.

Dans le cas contraire, nous éprouvons un sentiment de manque et de frustration. Il est en effet question non pas de la satisfaction des désirs, mais de tous les désirs.

Peut-être tient- on là une caractéristique essentielle du désir ? Ne s’épuisant jamais dans l’obtention de l’objet convoité, il renaîtrait sans cesse.

Mais peut-on vraiment parler de bonheur ? Nous serions tentés de répondre que le bonheur consiste dans la satisfaction de tous nos désirs.

Il y a en effet un lien entre les deux notions : - Tous les hommes désirent être heureux (Aristote). Derrière tous nos désirs « particuliers » se cache donc le désir de bonheur.. »